Phonème

mènent aux faits synchroniques généraux. Unités linguistiques : Phonème: plus petite unité ds une langue parlée qui a une valeur quand elle est mise en relation avec d'autres unités. Ex: sot et chaud ont un phonème commun et un phonème différent : (s) et (o) et (ch) et (o). phonème : son Morphème : plus petite unité qui fait sens . Ex : les . Au premier abord on penserait que c'est un morphème, mais en fait il y a 2 phonèmes : (l) et (è) et 2 morphèmes : (l: détermination ) et (es: marque du

valeur déterminée par la place qu’occupe ce mot au sein d ’un réseau de relations mutuelles Linguistique structurale • Caractère linéaire de la langue – l’ordre des constituants a une valeur distinctive (double articulation) • ordre des phonèmes : ex. /lam/ et /mal/ • ordre des mots : ex. « le chat mange la souris » et « la souris mange le chat » – axe syntagmatique = enchaînement des unités (syntaxe) – axe paradigmatique = choix de chaque unité Caractère linéaire de la langue

de langue, tel qu’on peut l’isoler à un moment déterminé (exemple 2), et diachronie l’étude de l’évolution historique de cette même langue (exemple 1). c. Commentez ces propos d’André Martinet en définissant clairement les concepts suivants : phonème, monème, première articulation du langage, deuxième articulation du langage et économie de la langue. Vous expliquerez notamment en quoi ces concepts nous aident à comprendre l’organisation de la langue, dont parle Martinet. N.B. Votre commentaire

| Il a de la difficulté à exprimer et comprendre ses idées. | «Lateau pour râteau» lesponse pour réponse» « taille pour chaises» laize pour fraise» «laie pour craie» | Forme : phonologie : ne prononce pas les phonèmes (R, CH, FR) | Communication : prononciation de son simple (phonèmes) et élocution. | «popotame pour hippopotame» «dinateur pour ordinateur» | Forme : phonologie : omet des sons, omission de la première syllabe. | Communication : prononciation de mot long et élocution. | Il a

La rime est en poésie un jeu d'homophonie entre des phonèmes répétés à la fin de plusieurs de vers (c'est une forme d'homéotéleute). La rime est ainsi constituée par le retour de sonorités identiques, à commencer par la dernière voyelle tonique et des sons consonantiques qui la suivent s'ils existent, à la fin d'au moins deux vers. La rime a remplacé l'assonance médiévale en imposant cette reprise des sons consonantiques qui suivent éventuellement la dernière voyelle tonique : les poètes du xvie

6.La phonologie Le i, le u et le a sont appelés des voyelles cardinales .( Voir fiche) Le Systéme phonologique: En français on a un systéme vocalique plus riche . En phonologie on va s'intéresser aux catégories sonores abstraites. Un phonème on le decrit par sa fonction distinctive ( plus important en phonologie) Pont =/po avec vague/ Bon = /bo avec vague/ C'est parce que j'entend la distinction entre p et b que j'entend la différence entre pont et bon . Lorsqu'on on a pas l'habitude

rimes  La rime constitue un cas particulier d’écho sonore. C’est une homophonie (identité des sons) entre les derniers phonèmes des vers. • Pour étudier la richesse des rimes, on distingue : -Les rimes pauvres : un seul phonème commun, ex : matin / chemin. -Les rimes suffisantes : deux phonèmes communs, ex : brève /sève. -Les rimes riches : trois phonèmes communs et plus, ex : parade /estrade. • Pour étudier la qualité des rimes on distingue les rimes féminines terminées

est une répétition de sons vocaliques : « Les mains des amantes d’antan jonchent ton sol » (Apollinaire). • Les rimes sont plates ou suivies (aabb), embrassées (abba), ou croisées (abab). • La rime est dite pauvre si un seul phonème est répété, suffisante pour deux phonèmes, et riche à partir de trois. 2 La strophe et le vers • On nomme la strophe par le nombre de vers qui la compose ; soit de 1 à 10 : monostiche, distique, tercet, quatrain, quintil, sizain, septain, huitain, neuvain, dizain.

menées sur cette maladie. Comme nous le verrons par la suite, les énoncés aphasiques se définissent avant tout par la manifestation intermittente d'erreurs phonétiques, par la présence d'un grand nombre de substitutions, d'omissions et d'ajouts de phonèmes et par l'incidence de perturbations grammaticales et lexicales. Nous allons donc nous intéresser tout particulièrement aux phénomènes linguistiques et pragmatiques qu’entraînent l’aphasie et observer les symptômes aphasiques aussi bien sur le plan

adopté l’alphabet latin pour transcrire le français. C’est un choix logique car le français est issu du latin. Mais, en raison d’une insuffisance de signes, les scribes ont créé des artifices pour pallier cette absence de phonèmes (« h », «s », « ^ ») en latin (il y a plus de phonèmes en français). L’un des plus vieux textes français est les serments de Strasbourg de 842 : les clercs tendent d’adapter l’alphabet français en latin ce qui marque le début de l’orthographe française chancelante. Après le