Phonographe

développer son ouïe. Et un jour cet espoir se trouva confirmé d'une manière entièrement inattendue. L'enfant entendait... Nous achetâmes un phonographe. Quand l'enfant entendit de la musique pour la première fois, il fut tout émerveillé et accapara rapidement l'appareil. Un jour, il fit tourner le même morceau pendant presque 2 heures, debout devant le phonographe, les dents soudées au bord du coffre. Plus tard, nous apprîmes que l'os est bon conducteur du son et c'était la raison de cette attitude

développer son ouïe. Et un jour cet espoir se trouva confirmé d'une manière entièrement inattendue. L'enfant entendait... Nous achetâmes un phonographe. Quand l'enfant entendit de la musique pour la première fois, il fut tout émerveillé et accapara rapidement l'appareil. Un jour, il fit tourner le même morceau pendant presque 2 heures, debout devant le phonographe, les dents soudées au bord du coffre. Plus tard, nous apprîmes que l'os est bon conducteur du son et c'était la raison de cette attitude

de la diffusion du son : Téléphone, Radio, Disque A. Le téléphone 1. « Bell Rings » 2. Des usages multiples • Le téléphone d’affaires • Le téléphone privé • La mise en réseau B. Du phonographe à l’industrie musicale 1. Cros/ Edison : poésie contre industrie ? 2. Du phonographe au gramophone 3. Du cylindre à l’industrie musicale • Vers les reproductions en série • Les catalogues 4. Musiques et sphère privée C. C. Marconi et les débuts de la radio 1. Un contexte scientifique

développer son ouïe. Et un jour cet espoir se trouva confirmé d'une manière entièrement inattendue. L'enfant entendait... Nous achetâmes un phonographe. Quand l'enfant entendit de la musique pour la première fois, il fut tout émerveillé et accapara rapidement l'appareil. Un jour, il fit tourner le même morceau pendant presque 2 heures, debout devant le phonographe, les dents soudées au bord du coffre. Plus tard, nous apprîmes que l'os est bon conducteur du son et c'était la raison de cette attitude

secrétaires de direction) s’inscrivent toutes dans cette recherche d’une identité professionnelle. (2) En 1880, une publicité pour une marque de machine à écrire disait : “toute femme qui joue du piano et qui possède une bonne connaissance du phonographe, peut devenir une excellente dactylographe, un métier parfaitement adapté aux femmes ”. L.FINE “ un genre venu d’ailleurs ” Autrement 1994. 11 Observatoire Les évolutions actuelles tant au niveau des dénominations tendant à remplacer le

historique pour mieux faire surgir la vérité d’un passé muet.             Le Congolais Sylvain Bemba fait surgir le passé depuis le présent. Ses personnages ne sont pas narrateurs mais vecteurs d’un voyage halluciné dans le passé. C’est un vieux phonographe acheté aux enchères qui permettra aux protagonistes du Soleil s’est levé à M’Pemba (1982) de prendre « un petit bain d’histoire ». Sylvain Bemba nous plonge dans un espace-temps labyrinthique dans lequel vient se glisser un siècle d’histoire du

began during the middle years of the twentieth century, when we started devoting more and more of our time and attention to the cheap, copious, and endlessly entertaining products of the first wave of electric and electronic media: radio, cinema, phonograph, television. But those technologies were always limited by their inability to transmit the written word. They could displace but not replace the book. Culture’s mainstream still ran through the printing press. Now the mainstream is being diverted

sentinelle de par une volonté inconnue. « — À une heure de l’après-midi, Excellence ! » Cette phrase revenait, prononcée sur tous les tons : tantôt joyeuse et ironique, tantôt irritée, tantôt obstinée et stupide. On eût dit qu’une centaine de phonographes, placés dans la chambre, criaient l’un après l’autre, avec l’idiote application des machines : — À une heure de l’après-midi, Excellence ! Et cette « une heure de l’après-midi » du lendemain qui, si peu de temps auparavant, ne se distinguait

grouillement d’hommes bistrés et résonne de rauquements arabes. En un instant, les petits débits alignés en une double file ont aspiré toute cette foule : sous la lumière rare, entre les murs fumeux, les Nord-Africains s’entassent et, tandis qu’un phonographe se met à nasiller un air du pays, les dominos s’alignent sur le bois des tables, les cartes courent entre les doigts bruns : la ronda, la baya commencent leur danse endiablée qui, peu à peu, grignote les payes, entame les économies, fait perdre

conférences avaient plutôt goût de veillée dans les campagnes. Mais cela sert plutôt de loisirs collectifs et c’est l’occasion de faire des rencontres. Ce qui attire également, ce sont les monologues de théâtres, le fait d’écouter de la musique au phonographe et les chorales d’enfants. Mais le clou de la soirée, c’est la projection lumineuse (1896). Cela s’appelle une lanterne magique. On y montre des images, toutes commentées, pour distraire mais aussi pour instruire (éducation du regard). En 1901,