Photographie

- ) Date: 21 octobre 1967 Photographie en noir et blanc, de presse Format rectangulaire image horizontale Lieu: Washington, Etats-Unis Cette photographie montre une jeune fille faisant face a un groupe de soldats armes, elle tient une fleur blanche entre ses mains. Les soldats pointent leurs armes sur elle et pourtant son visage ne montre pas la peur. Face aux baïonnettes, elle ne tremble pas. Son nom est Jane Rose Kasmir. 2. Contexte Cette photographie a été prise pendant la manifestation

La Chambre claire, Note sur la photographie[modifier] La Chambre claire, par opposition à la chambre noire où l’on développe la photo, est un éclaircissement, une philosophie, selon Roland Barthes. Celui-ci reste abasourdi par une photo de 1852 représentant le dernier frère de Napoléon. Il se dit alors : « Ces yeux ont vu l’Empereur! ». Puis la photographie culturelle l’éloigne peu à peu de cet étonnement. Il veut cependant savoir ce que la photographie est « en soi », si elle dispose d’un « génie »

regroupe diverses techniques, que ce soit de la peinture pour modifier légèrement l’aspect de la toile, ou encore de simplement passer une photographie en noir et blanc jusqu’à aller modifier complètement l’apparence d’une image, tout cela qualifie une retouche d’image. Il y a cependant une définition plus précise de la retouche d’image en matière de photographie, il s’agit de corriger des défauts d’aspects, d’éclaircir et assombrir l’image, jouer sur les contrastes et la saturation. Après, il est

Le reportage de guerre | |Parmi les toutes premières photographies de guerre figurent celles prises par le photographe britannique Roger Fenton qui réalise des images de la guerre de Crimée (1853-1856). Il rapporte en Angleterre 360 clichés très soigneusement composés de campements, de fortifications et de panorama d'officiers, dans lesquels l'horreur de la guerre est sciemment occultée. En revanche, la dure réalité de la guerre de Sécession est montrée par Mathew B. Brady (quelque 3 500 clichés

Tass). E. Khaldei, Berlin, 2 mai 1945 (version originale conservée par le photographe). Quelques définitions pour aider à analyser une photographie. La prise de vue. Hauteur d’œil : C’est la position normale, le photographe est à la même hauteur que le sujet. Plongée : Dans cette position, le photographe se situe plus haut que le sujet à photographier, il oriente donc l’appareil photo vers le bas (d’où le terme plongée…). […] La plongée donne plus d’importance aux lignes en accentuant les

Lors de voyages de travail photographiques a l’étranger, il déménage avec sa famille pour Paris et y ouvre un laboratoire photographique. Ses photographies sont publiés dans le monde entier dans la publicité, illustrations et magazines. Parallèlement, Vormwald découvre la peinture, video et d’autres. Depuis 1999, Vormwald est professeur de photographie a l’université de Düsselsorf. Selon l'encyclopédie universalis, le terme «comique» s’adapte a plusieurs genres, designant la qualité d’un personnage

Roubert Édition commentée du "Public Moderne et la photographie" de Charles Baudelaire Études Photographiques n°6, mai 1999, pp.22-32. Notice “Le public moderne et la photographie” de Charles Baudelaire (1821-1867) constitue la deuxième partie de l’introduction du Salon de 1859, commandé par la Revue française. Cette introduction se décompose en deux temps : le premier (“L’artiste moderne”, “Le public moderne et la photographie”), relatif au phénomène des Salons, ses artistes et

commence la série des Compositions, avec des photographies de très grands formats comparables à ceux des tableaux en peinture. 1984 : exposition rétrospective au Musée national d'art moderne. Elle se compose de deux parties, l'une autour du thème de l'autobiographie avec des pièces faites de documents et d'archives ; l'autre présente de grandes photographies plus proches d'un travail pictural classique. 1985 : début de la série des Monuments : des photographies de visages anonymes sont installées au

vivre plus ou moins bien leur homosexualité ? » Sébastien Lifshitz, entretient au Monde le 28 novembre 2012. Obsédée moi aussi par la photographie anonyme, par ces bouts de réalités jaunies, évanescentes, qui se retrouvent dans des brocantes à côté du batteur électrique Moulinex, j’ai été particulièrement marquée par le travail de Sébastien Lifshitz. Ces photographies sont-elles le témoignage d’une histoire, produisent elles du sens, un discours ? Si oui, lequel ? J’émets ici l’hypothèse que les mises

Champs délicieux publié à Paris en 1922. L’album est introduit par une préface de Tristan Tzara « la photographie à l’envers ». Une annonce de souscription parait dans les revues Le Cœur à barbe et Les Feuilles libres au mois d’avril 1922 : (cf. image) Il y était prévu 40 exemplaires numérotés. Le format de l’ouvrage est de 37 par 29 cm. Il faut préciser que Champs délicieux est un album de photographies de rayographies et non des rayographies originales. Les originaux n’ont d’ailleurs jamais été retrouvés