Phrases Daccroche

= caractère aristocratique, noblesse naturelle quand ils sont dans le royaume des airs. Les couleurs : le blanc et le bleu ( ailes et l’azur) = connotation de la pureté, de la beauté et de l’innocence des oiseaux. Des sonorités, des phrases au rythme régulier = aisance, la majesté des oiseaux. 3) L’action a) Dimension narrative : présentation de la strophe 1 => « A peine » = rupture, début de la scène de confrontation. Strophe 2 => capture de l’albatros. Strophe 3 => développement

cette scène de saloon. C’est sa perception des choses qui est exposée. Il est présent grammaticalement dans toutes les phrases, il est appelé Rastignac, ou Eugène, ou l’étudiant, et plus souvent désigné sous forme de pronom sujet ou complément. Les effets magiques de sa filiation aristocratique sont clairement perçus pas Eugène ainsi placé en position centrale. Une phrase résume ses réflexions : « l’étudiant… comprit qu’il avait un état dans le monde en étant cousin avoué de Mme de Beauséant

je me suis présenté à Mme T., j'ai adapté ma communication afin que la relation me liant à cette personne ne soit pas perturbée par des soucis venant brouiller la communication. Dans le cadre de Mme T. , il convient de parler fort en faisant des phrases courtes allant à l'essentielle. Quand je suis arrivé en sa présence, la personne qui m'a accompagné m'a présenté à cette dernière en me donnant les recommandations de forme du langage : parler fort avec des mots simples. Il est évident qu'une personne

«frères» (L23), «bénir» (L27). La répétition de la tournure classique «fais que ...», (L7,8,11 ... etc) nous montre encore bien qu’il s’agit d’une prière. Voltaire reprend aussi un certains nombre de topoi/thèmes chrétiens: dans les premières phrases, il oppose l’imperfection de l’homme, sa faiblesse et la puissance de l’éternel, qui se traduit par deux champs lexicaux opposés : les adjectifs «faibles» (L2), «perdues»(L2), «imperceptibles»(L3), «(vie)pénible et passagère»(L8) opposés à «immuable»

pour un passage à l’acte inexistant…) • La colère du personnage éclate avec emphase au v.231 avec notamment des allitérations en [r] à noter  il profère une menace vengeresse • On observe dès lors une longue phrase avec des propositions juxtaposées (v.232 à 242) + modalités de phrases exclamatives = état émotionnel exacerbé • v.233-234 : rythme ternaire (à travers les 3 verbes) qui donne de la grandeur, de la solennité au propos = Parodie du personnage épique à travers celle d’un discours

texte à commenter, il doit être explicite, favoriser 2 parties -rédaction du commentaire Cas pratique Lecture et relecture du sujet puis mettre en évidence la question, le point de droit qui est posé. Mettre le problème de droit en 1 ou 2 phrases maximum. -Résumé les faits qui semblent pertinents. -identifier problème de droit (« le problème de droit est… ») Fiche d’arrêt Apprendre à lire une décision de justice, appréhender méthode de caractère d’arrêt. -lire de manière intégrale

lieu d’origine du message ne sont pas cités néanmoins la présence du marqueur temporel aujourd’hui en phrase d’accroche donne une indication de valeur temporelle subjective. L’identité du destinataire n’est pas clairement mentionné on peut en déduire qu’il s'adresse à toute personnes susceptible de contracter un prêt ou un rachat de crédit. L’ensemble et basé sur un registre courant avec des phrases énoncées comme des axiomes. L’utilisation du registre courant est ici une forme d’implication de la

genre hybride à mi-chemin entre le récit, le dialogue, le discours et presque le conte philosophique cher à Voltaire. Il met en scène l’abbé Chateauneuf qui rencontre une femme d’aristocratie, la Maréchale de Grancey, qui fulmine contre une phrase qu’elle a lue dans les Epitres de Saint Paul : « Femmes, soyez soumises à vos maris ». Elle exprime son mécontentement et expose sa vision de la femme, qu’elle défend contre les hommes en prononcant un plaidoyer fortement argumentatif. C’est

Hyperbole : Exagération dans le choix des mots, c'est grossir un trait. (Un bruit a réveillé les morts). Anaphore : Répétition d'une même expression, d'un même mot en début de phrase ou de vers. (Partout l’image idée, partout la pensée fleur, partout les fruits). Antithèse : Deux termes de sens opposés dans une même phrase. (Le navire était noir, mais la voile était blanche). Allégorie : Représentation concrète d'une idée abstraite. (Marianne, allégorie de la République). Allitération : Répétition

« discrètement- remus-ménage » antithèse « le père reprit cependant la parole » = ils s’ennuient alors que P n’a pas finit de parler ( l. 35 « on » =fidèles + lecteur ( « Dieu refait le reste » discours indirect libre = on ne sait pas qui dit cette phrase = ambiguë. « reste »= ironique= Dieu fera rien 5 Position de Camus aux antipodes de Paneloux ( VS religion car humiliante pour l’homme qui doit se soumettre à quelque chose d’abstrait et qui n’est d’aucun secours ( La peste peut