Phèdre Est Innocente

catholiques qui a choisit d’interpréter rigoureusement les textes sacrés. Doctrine de la prédestination, les Hommes avant même leur naissances sont condamnés et d’autres sont sauvés. La nature humaine est considérées comme profondément coupable. Nul n’est innocent, la vertu même est suspecte. L’ennemi principal des jansénistes est le libertin. Tout ça est ramené à la misère à la nature pécheresse de l’homme. « La grandeur de l’Homme est grande en ce qu’il se connaît misérable » Pascal Les jansénistes étaient

publié en 1694, quelques mois avant la mort de l'auteur. Il est dédié au duc de Bourgogne, le petit-fils du roi. Les sources et inspirations de Jean de La Fontaine Travail de réécriture des fables d’Ésope (par exemple La Cigale et la Fourmi), de Phèdre, d'Abstémius, mais aussi de textes d'Horace, de Tite-Live (« les Membres et l’estomac »), de lettres apocryphes d’Hippocrate (« Démocrite et les Abdéritains »), et de bien d'autres encore, elles constituent une somme de la culture classique latine

France sous Louis XIV. Jean Racine a composé, de nombreuses tragédies comme La Thébaïde (1664), Alexandre (1665), Andromaque (1667), Britannicus (1669), Bérénice (1670), Phèdre (1677), Esther (1689), Athalie (1691). Les principaux thèmes sont : les tragédies profanes qui présentent un amour impossible entre deux jeunes gens innocents ; les théories jansénistes, soit l'homme a reçu la grâce divine, soit il en est dépourvu, rien ne peut changer son destin, il est condamné dès sa naissance. Les sources

principal Mlle de Chartres, qui deviendra la Princesse de Clèves par la suite. On la décrit comme une jeune femme de grande beauté, élevée dans la rigueur et la vertu. b) En ce qui concerne son caractère : elle est influençable (par sa mère), innocente (car elle ne connaît rien à l'amour) et vertueuse (elle lutte contre son amour pour le Duc de Nemours). c) Au cours du roman, elle évolue : elle perd son innocence et sa naïveté (elle croit aimer le Prince de Clèves, mais découvre le sentiment

indique avec force que le chien était loin d’être « bête » et qu’il s’est comporté en chien prudent et finaud. Autre exemple de litote cité par Fontanier Iphigénie Je saurai, s'il le faut, victime obéissante, Tendre au fer de Calchas une tête innocente, Et respectant le coup par vous-même ordonné, Vous rendre tout le sang que vous m' avez donné. Si pourtant ce respect, si cette obéissance Paraît digne à vos yeux d'une autre récompense, Si d'une mère en pleurs vous plaignez les ennuis, J'ose

maladie. Montaigne : Déjà Montaigne dans les Essais, plus particulièrement dans Des Cannibales et Des Coches, nous dresse un portrait de ce que l'on appellera au dix-huitième siècle le "bon sauvage" et nous vante les mérites de ces peuples purs et innocents, à l'inverse des Européens, vils et cruels. Il fait l'éloge de leurs qualités morales, la loyauté, la franchise, le courage, la fermeté, la constance, de leur bon sens, de leur habileté. Ils n'attachent à l'or et aux pierres précieuses qu'une importance

1705 soumettre richesses de à 1710 Cléopâtre 33 PERSONNAGES PASSIONS α Phèdre Amour tel-00272376, version 1 - 11 Apr 2008 Phèdre Hippolyte Amour conjugal Mépris Thésée Désir (aventure, plaisir) Ex : v. 432 Colère Thésée Phèdre/ Nourrice Colère et impudence Hippolyte, Garnier OBSTACLES PASSIONS PERSONNAGES aux DESSEINS β DESSEINS des Pα des Pα Refus de l’amour de Séduire Phèdre et son Hippolyte exclusion de Haine Hippolyte la société féminine Perpétuer la Garder

parcours initiatique au cours duquel le cadet est envoyé loin de la guerre, exilé, il doit quitter ses frères sasœurs et Massaba. En l’éloignant ainsi son père voulait qu’il soit confronté au monde. Au débutSouba est un jeune homme encore naïf, innocent qui ne comprend pas la volonté de son père maisobéit. Il se demande pourquoi son père l’a choisi lui et pas un autre de ses fils. Souba au cours duvoyage tente de comprendre qui était son père et quel est le sens de sa quête. Il a pour missiond’explorer

naissent de la passion même des personnages. Les tragédies profanes (c’est-à-dire Esther et Athalie exclues) présentent un couple de jeunes gens innocents, à la fois unis et séparés par un amour impossible parce que la femme est dominée par le roi (Andromaque, Britannicus, Bajazet, Mithridate) ou parce qu’elle appartient à un clan rival (Aricie dans Phèdre). Cette rivalité se double souvent d’une rivalité politique, sur laquelle Racine n’insiste guère. Le génie de Molière (1622-1673) est inséparable

paternité sophistique cette thèse est exposée dans le Gorgias de Platon. Sommé par Socrate de s’expliquer sur son art, la rhétorique, Gorgias répond que la rhétorique est une technique, or une technique étant un simple moyen, elle est, par définition, innocente des fins pour lesquelles on peut la mobiliser. Gorgias défend une conception purement instrumentale de la technique. Ex : Un couteau est un simple moyen. Il est neutre moralement. Il est disponible pour n’importe quel usage (celui du boucher