Phèdre Innocente Ou Coupable

Séquence 3 Phèdre de Racine II sc.5 l'aveu Intro : jean Racine = poète dramatique. Orphelin à 3an, recueilli par religieuses de Port-Royal. Devient ami avec fils de grandes familles du royaume. Ces relations lui seront très utiles dans sa futur carrière. Ami avec La Fontaine et Boileau. Dans cet extrait, Phèdre répond à Hippolyte, qui garde espoir que Neptune ramène Thésée. Problématique : A quoi tient la force dramatique de cet extrait ? I) Glissement vers l'aveu A) Le Glissement Phèdre = répond

la rapidité à cet amour. S'ajoute également à ces déclarations le fait qu'elle dans sa nature était innocente et pure : « je n’avais point dans l’âme des inclinations vicieuses. La modestie et l’honnêteté m’étaient chères ; j’aimais à les nourrir dans une vie simple et laborieuse. ». Puis c'est le caractère de l'amour et de la passion qui nous est décrit, on peut y voir d'abord une référence à Phèdre, qui elle aussi a souffert d'un amour fatal : « Dès le premier jour que j’eus le malheur de te voir

catholiques qui a choisit d’interpréter rigoureusement les textes sacrés. Doctrine de la prédestination, les Hommes avant même leur naissances sont condamnés et d’autres sont sauvés. La nature humaine est considérées comme profondément coupable. Nul n’est innocent, la vertu même est suspecte. L’ennemi principal des jansénistes est le libertin. Tout ça est ramené à la misère à la nature pécheresse de l’homme. « La grandeur de l’Homme est grande en ce qu’il se connaît misérable » Pascal Les jansénistes

I. – Scène II. – Scène III. – Scène IV. – Scène V. – Scène VI. – Scène VII. – Scène VIII. – Scène IX. – Scène X. – Scène XI. • Acte cinquième – Scène I. – Scène II. – Scène III. – Scène IV. – Scène V. – Scène dernière. 10 Théâtre complet • Phèdre • Préface • Acteurs • Acte premier – Scène I. – Scène II. – Scène III. – Scène IV. – Scène V. • Acte deuxième – Scène I. – Scène II. – Scène III. – Scène IV. – Scène V. – Scène VI. • Acte troisième – Scène I. – Scène II. – Scène III. – Scène IV.

Ah ! Je n’en puis plus. Voilà pour me faire mourir. Texte 3 : Phèdre, Jean Racine, Acte 1, scène 3 | | Personnages: PHÈDRE, ŒNONE PHÈDREN'allons point plus avant, demeurons, chère Œnone. Je ne me soutiens plus; ma force m'abandonne: Mes yeux sont éblouis du jour que je revoi; Et mes genoux tremblants se dérobent sous moi. Hélas! (elle s'assied.)ŒNONE Dieux tout-puissants, que nos pleurs vous apaisent ![…] | PHÈDRE Insensée ! où suis-je ? et qu'ai-je dit ? Où laissé-je égarer

l’enfant, l’enfant bâtard, était sorti sans peine et sans tortures. Dans son âme misérable et troublée, elle faisait entre elles une comparaison incessante ; et elle maudissait Dieu, qu’elle avait cru juste autrefois ; elle s’indignait des préférences coupables du destin, et des criminels mensonges de ceux qui prêchent la droiture et le bien. Parfois la crise devenait tellement violente que toute idée s’éteignait en elle. Elle n’avait plus de force, de vie, de connaissance que pour souffrir. Dans les minutes

un auteur du XVIIe siècle qui appartient au mouvement littéraire et culturel du classicisme. Sa devise était « Instruire et plaire » ( placere et docere ) et pour atteindre ce double objectif il va reprendre un genre antique utilisé par Esope et Phèdre, celui de la fable. Cet extrait est une de ces fables, un genre relevant de manière plus générale de l’apologue, un court récit ici en vers dont on tire un enseignement moral. Intitulé « Les animaux malades de la peste », elle fait partie du livre

ambition dont elle reste maîtresse jusque dans le choix de sa victime. Or la tragédie classique, morale, cathartique, suppose la désignation d’un coupable. Chez Sénèque, la fin de la tragédie met en scène Jason reniant les dieux ; à partir de Corneille, la fin de la tragédie est consacrée à la punition (possible ou impossible) du coupable — autrement dit, à l’enseignement qu’on peut tirer des passions ; même si le procès de Médée demeure impossible, puisque la magicienne s’envole sur un char

explicite, c'est une histoire édifiante qui illustre une morale.) La Fontaine se spécialise dans le genre, son premier livre paraît en 1668 (Psychée → roman mythologique). Dans les 12 livres de Fables sa principale source est du aux Anciens (Ésope et Phèdre). Le rôle de l'auteur classique selon La Fontaine lorsqu'il écrit des fables, se trouve dans la préface du livre I : « Rendre quelques fables antiques nouvelles par quelques traits qui en relèvent le goût. » et il défini l'apologue ainsi : « Il est

de choses vont ê soulignées dans leur rapport pour les opposer : * Corneille = vertu romaine (Ms Nicomède c’est en Bithynie, Rodogune c’est en Syrie, Le Cid en Espagne médiévale, Médée en Grèce) * Racine = lyrisme de la poésie grecque (= Phèdre, Bajazet -> on est dans le mythe, ça n’a rien de grec) Méfions-nous des stéréotypes ! Britannicus = pièce qui, avec Bajazet … Dans sa concept° même de la trag, Corneille tendait tjs à minimiser la place de l’amour qui …. (En orange : A reprendre