Phèdre Les Personnages

IV, 6 v. 1214 à 1294 INTRO Phèdre est une pièce de théâtre écrite par Jean Racine en 1677. (Le dramaturge français a principalement écrit des tragédies et lorsqu’il publie Phèdre, sa dernière tragédie, il est au sommet de sa gloire.) Cette pièce en 5 actes appartient au courant du classicisme dont elle respecte les règles. Elle se montre ainsi fidèle aux unités de temps, de lieu et d’action. Elle suit aussi les règles de bienséance et de vraisemblance. De plus, comme beaucoup de tragédie classique

Théramène : Remarques sur l'exposition de Phèdre « Rien n'est plus difficile que de faire une bonne exposition », rappelle justement Jacques Schérer dans sa Dramaturgie classique en France [1]. Sans m'étendre sur tous les problèmes qui se posent alors au dramaturge, je me contenterai de rappeler que la principale difficulté consiste à renseigner le spectateur d'une manière aussi vraisemblable et naturelle que possible. Car les personnages doivent apprendre aux spectateurs un certain nombre

 Nom de l’auteur : Jean Racine  Titre de l’œuvre : Phèdre  Titre de l’extrait : «Un aveu involontaire»  Lieu et date de création ou de publication : Paris, 1677  Courant littéraire: Classicisme  Genre et forme littéraires: Dramatique, tragédie  Propos ou mise en situation: Le destin de l’homme condamné par ses passions (Phèdre avoue à Hippolyte son amour incestueux : 2e aveu qui va précipiter le destin tragique des personnages.)  Lien avec le contexte : Ranime l’essence de la tragédie

prime toujours) - destin et fin tragique des personnages, décidés par le fatum - fonction didactique (Instruire par des références mythologiques ou instructions, par exemple) - les dieux décident pour les personnages dans Phèdre - aristocratie toujours représentée, présence de confidents et thèmes nobles (politique, religion, passion) - contient souvent la folie d’un personnage à cause de la passion extrême (passior en latin, souffrir). ● Définir un personnage tragique : Se trouve toujours face à un

Phèdre de Racine Développement des clés d’analyse Par Anne Régent et Laurent Susini Petits Classiques Larousse -1- Phèdre de Racine Acte IV, scène 2 Clefs d’analyse Compréhension L’affrontement ♣ L’organisation du dialogue est remarquable par le manque d’évolution : en effet Thésée garde toujours le rôle d’accusateur et empêche le dialogue de progresser vers une compréhension mutuelle, tandis qu’Hippolyte ne fait que se défendre sans jamais passer à l’accusation, sauf à la fin de la scène où

Tirade de Phèdre, Acte I scène 3 A' la première représentation de Phèdre le 1er Janvier 1677, Racine est au sommet de sa carrière théatrale. En effet elle est sa dernière oeuvre praphane. C'est une tragédie exemplaire qui correspond parfaitement à l'idée qu'on pouvait se faire au XVIIe siecle de ce genre de pièce. On retrouve chez le personnage de Phèdre une dimension cachée. Cette dimension est le fil conducteur de l'histoire. L'amour que Phèdre éprouve pour Hippolyte, amoureux de Aricie

Commentaire littéraire « Les aveux de Phèdre » Racine, Phèdre, 1677, Acte I, scène 3 Cet extrait est tiré de la pièce de théâtre Phèdre qui a été écrite par Racine en 1677. Dans cette extrait, Phèdre, par une longue tirade, avoue à sa confidente Œnone la passion interdite qu’elle éprouve pour Hippolyte son beau-fils. En quoi Racine, dans cet extrait, en décrivant la passion amoureuse que ressent Phèdre envers Hippolyte laisse-t-il envisager le destin tragique de celle-ci? Tout d’abord, cette

I) Les similitudes avec Phèdre de Racine. L’acte I de Médée comme celui de Phèdre a pour rôle d’exposer le contexte. Médée comme Phèdre avoue dans le premier acte. Phèdre avoue son amour pour Hippolyte et Médée sa volonté criminelle. Dans l’acte II de Phèdre, deux grandes étapes ont lieu. Hippolyte avoue son amour à Aricie et Phèdre propose à Hippolyte de prendre la place de son fils sur le trône. Dans Médée, Médée et la nourrice font des menaces contre la mari infidèle et Créon le tyran. Créon

héros tragique est alors confronté au destin, bien souvent synonyme de divinité ou, du moins, de transcendance. Mais encore, innocent, il est alors le jouet de cette transcendance, de cette mystérieuse fatalité. Ainsi, dans la préface de sa tragédie Phèdre, Racine, dramaturge français du XVIIe siècle, écrit qu'elle est «ni tout à fait coupable, ni tout à fait innocente». En effet, victime des forces des Dieux, plus précisément de Vénus, celle-ci tombe dans une passion inassouvie et dévastatrice envers

Objet(s) d’étude, perspectives et orientations principales (problématique retenue) Objet d’étude : le roman et ses personnages, vision de l’homme et du monde. Problématique : la vision de l’homme à travers le personnage de roman. En quoi les scènes de rencontre témoignent-elles de l’évolution du personnage de roman à travers les siècles et les mouvements littéraires. . LECTURES ANALYTIQUES Auteurs, Extraits. - La rencontre de La Princesse de Clèves et de Monsieur de Nemours, La Princesse