Phédon

Phédon (trad. Cousin)La bibliothèque libre.   | | | | | | | Aller à : Navigation, rechercher Œuvres de Platon,traduites par Victor Cousin Tome premier Phédon | Argument philosophique | Notes ◄   Criton | Index | Théétète   ► | [ 183 ] ~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~ PHÉDON. OU DE L’ÂME. ———───——— Premiers interlocuteurs : ÉCHÉCRATE, PHÉDON. Seconds interlocuteurs : SOCRATE, APOLLODORE, CÉBÈS, SIMMIAS, CRITON, PHÉDON ;

place Platon occupait parmi les disciples de Socrate. Ces incertitudes sont d'autant plus remarquables que tous les dialogues de Platon, sauf Les Lois, mettent en scène Socrate, quoiqu'en ne lui donnant pas toujours le premier rôle. Quand, dans le Phédon[p. 40], Platon fait la liste des proches de Socrate ayant assisté à sa mort, il souligne sa propre absence par cette remarque : « Platon, je crois, était malade. » On ne saurait mieux faire sentir l'incertitude des relations entre Socrate et Platon

parmi les animaux, l'homme se sait mortel: cruelle certitude qui limite son horizon et l'oblige à composer avec sa propre disparition, comme avec celle des êtres auxquels il est attaché. Pour Platon, la mort est un «beau risque à courir». Dans le Phédon, Socrate définit la mort comme la séparation de l'âme et du corps; délivrée de sa prison charnelle, l'âme immortelle peut librement regagner le ciel des Idées, patrie du philosophe. Épicure tient la mort pour un non-événement, puisque jamais nous

dialogues : le Ménon, le Phédon, le Banquet, le Phèdre et la République. Ce ne sera qu’après le Thééthète et le Parménide que Platon aura clairement mis à jour les failles de sa conception des formes. La solution ne sera découverte que dans le Sophiste et au prix d’un remaniement de sa conception des formes. Afin de rendre compte de l’évolution de la notion de participation chez Platon, je traiterai cette notion dans sa perspective évolutive, à savoir : La séparation, dés le Phédon du monde sensible et

prédécesseurs. Il devine dès le début les idées de César et le qualifie avant l'heure de tyran. Durant la guerre civile il fut un allié de Pompé contre César mais après la défaite militaire à Thapsus en 46 a.c, il s'enferme dans Utique relit le « Phédon » œuvre où Platon traître de l’immortalité de l'âme et se plante son épée dans le corps. *Stoïcisme :rationalisme qui lie la logique, la physique et la morale. Il considère l'univers comme un tout gouverné par la raison prône l'accord avec le destin

telles que La République ou La Timée par exemple, nous parle de la musique et de ce qu’elle représente pour l’être humain. 2°) Platon et sa conception de la musique : b) Platon et sa conception de la musique Bien que dans le Phédon, Platon rejette la conception métaphysique de l’âme-harmonie, il accepte dans La République la conception psychologique de la structure musicale de l’âme. En effet, pour lui, les sons envahissent les trois parties de l’âme humaine. Il érigea ainsi

allégorique (c’est-à-dire métaphorique) du propos. Socrate dit à Glaucon : « Représente-toi de la façon que voici l'état de notre nature relativement à l'instruction et à l'ignorance ».  Néanmoins on découvre, dans d'autres dialogues, notamment dans le Phédon, que Socrate considère le monde sensible comme la prison de l'âme. Quant au monde intelligible, auquel peuvent accéder ces mêmes âmes par la philosophie, il est la seule réalité authentique pour lui. L'allégorie de la caverne est pour Platon plus

part que dans l’âme. C’est unité qui renferme une multiplicité (théorie kantienne) . Chez platon, il n’y a pas l’idée que la forme puisse être représentée de manière abstraite( Le phédon) puisque la pensée n’est produite que ,et dans, l’âme. Platon arrive ) la conclusion que l’eidos est une chose intrasèque. Le Phédon : Dialogue de la maturité. Platon est dejà chef d’école et c’est un dialogue qui s’intercalle entre ses œuvres majeures ( la république ; le gorgias ; le phèdre ) .Le sous titre

manteau grossier, et consacre son énergie à enseigner gratuitement, contra d'éduquer les hommes et pense que l'ignorance est la source de l'injustice car son enseignement est entièrement oral. Ses dialogues, ses pensées et sa méthode de ré Platon (Phédon, Apologie de Socrate, Criton, Le Banquet) contradictions. Faisant semblant de les ignorer, il amène cet interlocuteur à prendre consci de tyrannie d'inimitiés chez les athéniens. Accusé d'impiété et de corrompre la jeunesse, il est conda disciples

capacité à penser (ex : ds le sommeil) 2 courants de pensées antagonistes : le matérialisme et le spiritualisme. •Matérialisme : l’ensemble du réel (y compris l’esprit) est composé de matière. •Spiritualisme : la seule réalité est l’esprit ( Phédon de Platon le corps est assimilé « le tombeau de l’âme ». 1.Le corps comme poison et tombeau de l’âme (Platon) a. Le dualisme ou la prééminence de l’âme : •Socrate oppose le corps à l’âme, et à la question « qu’est-ce que l’homme » ( «L’homme