Piano droit

monologue de Baricco raconte l'histoire unique de Danny Boodmann T.D. Lemon Novecento. Né et abandonné sur un paquebot en 1900, il sera adopté par l'équipage et grandira parmi eux sans jamais descendre à terre. Doué pour la musique, il apprend à jouer du piano et devient un virtuose. Tous ceux qui l'entendent jouer le considèrent comme le plus grand pianiste de tous les temps. Adulte, il n'est encore jamais descendu à terre, mais sa réputation le rend célèbre et un autre pianiste de génie décide de le provoquer

grands auteurs, la littérature: Goethe, Shakespeare...En 1827, Berlioz rencontre l'actrice irlandaise Harriet Smithson qu'il épousera en 1833. Mais avant, Hector avait été fiancé à Marie- Félicie Moke, laquelle, en épousant le très célèbre facteur de pianos Pleyel, avait rompu ses engagements avec le compositeur. C'est l'époque de la Symphonie fantastique, (30) œuvre autobiographique, histoire d'un amour non partagé. Pendant l'époque du prix de Rome, il voyagera en Italie et aura de nombreux amis italiens

Naissance du jazz moderne Dans les années 1920-1930, quand le quartier mal famé de La Nouvelle Orléans fut nettoyé, ces musiciens partirent pour la grande métropole de Chicago ou un style plus moderne, qui porte le nom de cette vile, se développa ( le piano, saxophone et la contrebasse remplaçant les anciens qu’étaient le banjo, le trombone et le tuba). Parmi ces pionniers, on peut citer King Oliver et Louis Armstrong.

travailla sur le bateau trouva un bebe et “ l’adopta ” et le nomma “1900”. Il lui apprit que les meres sont des chevaux, mais un jour, son pere adoptif mourra. Ensuite, 1900 se trouve seul sur le bateau, et un jour, quand il decouvrit le piano, il commenca a jouer le piano tout seul, comme un jeune prodige. *Flashback Au debut du film, on voit un homme qui veut vendre sa trompette. En donnant sa trompette, il entend de la musique, et il se souvient d’une matrisse de quelques annees, et sur cette

finale « Avec le temps on aime plus » Cette répétition « Avec le temps tout s’en va » nous explique qu’on peut aimer toute sa vie mais qu’à la fin on se retrouve tout seul. •La chanson est interprétée par une voix soliste homme qui accompagné d’un piano et orchestre •L’évocation musicale est de nature sombre, nostalgique, sombre, pesant, dramatique. •La sonorité se situe entre le médium et le grave • Tempo lent, régulier Démarche Documentaire On c’est aider d’Internet

2. CATALOGUE 2.1 Mélodies, une voix et piano……………………………… 2.2 Arrangement une voix et piano……………………….. 2.3 Polyphoniques…………………………………………….. 2.4 Œuvres pour le chant perdues……………………… 2.5 Musique de chambre………………………………………. 2.6 Flute et piano …………………………………………………. 2.7 Violon et piano…………………………………………… 2.8 Violoncelle et piano ………………………………….. 2.9 Orgue…………………………………………………… 2.10 Piano 2.11 Orchestre 1. MEL

un jour ou l'autre, à choisir un camp. | b) La musique Voici une version simplifiée de la structure :Première partie de l'introduction : piano soliste, horizontal, dans un tempo lent.Suite de l'introduction : verticalité avec des accords au piano + rythme sur une des cymbales de la batterie. Tempo plus rapide.Fin de l'introduction : piano redevient horizontal, avec batterie. Le tempo reste Seconde partie : Interprétation a) Comment et par qui la chanson est-elle interprétée ?

et mort dans cette même ville le 19 novembre 1828. Il est le 12e enfant d'une famille de quatorze, dont cinq atteindront l'âge adulte.Son père Franz Theodor, instituteur, lui donne ses premières leçons de violon, et son frère Ignaz lui apprend le piano et le Kapellmeister de l'église de Lichtental, Michael Holzer, l'orgue, le chant et dès 1808, Schubert est premier soprano de l'église de Lichtental. Il composa de la musique vocale comme « La truite », de la musique chorale comme « An die Sonne »

comme le personne parait. Cette bande sonore est présente 3 fois dans le film. II / LES DIFFERENTS CONTEXTES Histoire : Auparavant, le son n’existait pas dans le début du cinéma mais lorsqu’un film était projeté il était souvent accompagné par un piano ou bien un orchestre. Cela se nommait « illustration de film », au fur et à mesure du film le musicien créait la musique. Il devait faire en sorte que le mouvement, l'intensité, corresponde au rythme et à la puissance des images. Cela se faisait pour

Paris, les dix-neuf quatuors à cordes op. 42 (1785), op. 50 (1787), op. 54-55 (1788) et op. 64 (1790), la version originale pour orchestre des Sept Paroles du Christ (1787), les deux sonates pour piano no 58 (1789) et no 59 (1789-90), cette dernière dédiée à Marianne von Genzinger, et treize trios pour piano, violon et violoncelle. Durant ces six années, qui marquèrent un premier apogée du style classique viennois, Haydn et Mozart se connurent personnellement et profitèrent l'un de l'autre, mais leurs