Pib Indicateur Parfait

dysfonctionnement : Abus de positions dominantes, ententes entre intervenants, les contrats léonins, la concurrence déloyale. Entraine une réduction de l’efficacité éco. Il risque une hausse de prix sans remettre en cause le M. 3) Concurrence pure et parfaite et concurrence monopolistique. Atomicité : acheteur et vendeurs sont nombreux. Aucun ne peut influencer le prix. Homogénéité : Les produits échangés sont identiques et substituables les uns et les autres Transparence : L’information des agents

droit fiscal( tva impôt sur le revenu), le droit du travail (les employeurs veulent plus d’aide de l’Etat et un meilleur salaire…), le droit de la concurrence B L’Etat et les marchés imparfaits 1. La théorie Le modèle concurrence pur et parfaite est un modèle théorique. En situation CPP c’est le marché qui fixe le prix d’équilibre, c'est-à-dire le prix pour lequel la quantité d’un bien est égal à la quantité offerte de ce bien, ce prix s’impose alors aux entreprises qui ne peuvent l’influencer

1 : croissance, capital et progrès technique T1-1- Sources et limites de la croissance I. Les déterminants de la croissance (les facteurs ou les sources de la croissance) Rappel : Les mesures de la richesse produite se calculent avec le PIB, le PNB ou le RN. Qu’est ce que la Valeur ajoutée (VA) ? Pour passer de la VAB à la VAN il faut enlever les amortissement à la VAB. La valeur ajoutée brute se traduit par le chiffre d’affaire mais sans les consommations intermédiaires. C’est à dire

vin sans contrainte). La mobilité internationale des capitaux est supposée quasiment impossible. Le capital est une accumulation de travail, cela renvoie aux théories sur « la valeur-travail » de Smith, Ricardo, Malthus. La concurrence est pure et parfaite au sein de la nation. La seconde dimension émane, selon Ricardo, d’une liaison dite » organique entre les capitalistes et les capitaux. Le déplacement à l’étranger des seconds impliquent celui des premiers. Il explique que cette liaison repose sur

besoins. Comment ces ressources sont-elles allouées ? Processus d’allocations : * Féodalité * Communisme * Le marché -> prix : indicateur de rareté et d’utilité * L’Etat * L’entreprise * Ménages Le marché est un processus d’allocation des ressources. Qui ne paye pas ne consomme pas. Le prix décide de la répartition. C’est un indicateur de rareté et d’utilité. Le marché est sous tendu par un mécanisme indirect : le droit de propriété. On a : d’une part le droit de propriété

consommateur, nous pouvons très facilement mettre ces chapitres en relation avec ce livre qui parle justement du mode de consommation de la population mondiale. Ce livre traite aussi d’autres sujets que nous avons vu en classe comme les limites du PIB, la croissance économique, le marché du travail et du problème des multinationales dans le monde. 3) Sommaire de l’ouvrage Chapitre 1 : Un doigt de pénurie, ou un zeste d'effet de serre ? Combien d'esclaves ? Dans les griffes de l'effet de serre

second théorème de Ronald Coase, que dans un monde : d'informations parfaites accessibles à tous à coût nul, donc un monde sans coûts de transactions où tous les droits de propriété sur tous les objets économiques sont bien définis, il ne peut y avoir d'externalités, donc d'imperfections de marchés. C’est ce qu’illustre le cas évoqué ci dessus d’une usine polluant une ville : en information parfaite et si les droits de propriété sur l’air sont bien définis, usine

consommation réalisées sur le territoire, épargnes etc… NIVEAU DE PRODUCTION (PIB) ( NIVEAU DE L’EMPLOI ET DES REVENUS DISTRIBUES ( REVENUS DES PERSONNES ( ÉPARGNE ET/OU DEPENSES DE CONSOMMATION ( PREVISION DE LA PRODUCTION A REALISER ( NIVEAU DE PRODUCTION (PIB) Chacune de ces fonctions économiques est mesurée par la comptabilité nationale par une grandeur appelée Agrégat. • La production sur le territoire : PIB • Les revenus redistribués collectivement vont êtres évalués par les

production à court terme. C’est un phénomène conjoncturel, dont le retournement peut aboutir à la récession. La croissance économique peut se définir comme un accroissement durant une longue période de la performance économique. Elle est mesurée par le PIB ou PNB. Tous les pays de monde cherchent la croissance éco pour restaurer l’équilibre macro-économique, diminuer le chômage, réduire la pauvreté et accroître le bien-être des populations. La croissance est dite extensive lorsqu’elle résulte d’une augmentation

hausse importante du PIB et donc une hausse importante de l’activité économique. Le taux de croissance est supérieur au taux de croissance observé sur une longue période. * La récession : Phénomène conjoncturel (court terme) caractérisé par une faible hausse du PIB et donc une faible hausse de l’activité économique. Le taux de croissance est inférieur au taux de croissance observé sur une longue période. * La dépression : Phénomène à court terme caractérisé par une baisse du PIB et donc une baisse