Picasso Celui Qui Le Regarde

l’influence de la technique de nos sociétés moderne, notamment grâce à la possibilité de les reproduire en masse (bien que cette reproductibilité existait déjà avant, mais dans une bien moindre mesure) et de les diffuser à un large public sans que celui-ci ait à se déplacer. Dès lors, nous pouvons nous interroger pour savoir si le progrès technique a fait perdre à l’œuvre d’art sa valeur, ou bien s’il s’agit plus simplement d’un changement de son statut. Les premières œuvres d’art avaient une valeur

Le portrait en peinture : Le portrait, la représentation sculptée ou peinte de la figure humaine : « Un portrait n’appartient ni à son auteur, ni à son modèle, ni à son commanditaire, ni à ses héritiers. Un portrait appartient à celui qui le regarde. Libre à lui d’en faire ce qu’il veut. Tout ce qu’il veut. » Pierre ASSOULINE “ bien peindre , ce n’est pas reproduire , mais voir l’âme. “ saint jean - Le projet de faire le portrait de quelqu'un n'implique pas forcément de le reproduire

sous-titrer la pièce que celui-ci était en train d'achever, Les Mamelles de Tirésias, « drame surréaliste » plutôt que « surnaturaliste »6. Le concept est divulgué par la plaquette de présentation qu'Apollinaire est chargé par Serge Diaghilev de rédiger pour la première de Parade, ballet réaliste en un tableau le 18 mai 1917 au théâtre du Châtelet à Paris. Du spectacle total conçu par Jean Cocteau conjuguant « le premier orchestre d'Erik Satie, le premier décor de Pablo Picasso, les premières chorégraphies cubiste de Léonide

ville de Paris présente en effet de nombreuses et multiples activités culturelles. Par exemple, Paris est une ville de divertissement et de bien-être. En effet, tout d’abord, la Belle Epoque marque la naissance du grand cabaret qu’est le Moulin Rouge. Celui-ci était très connu est sa notoriété perdure jusqu’à aujourd’hui. De plus Paris possède des cafés-concerts qui sont à leur apogée et où se produise des grandes stars de l’époque comme notamment Yvette Guilbert (qui se produisit ensuite dans le monde

pratiques et de nos représentations. Si l'art n'est pas absolument nécessaire à notre survie, son omniprésence dans nos vies n'est pas totalement innocente. Ce sentiment de « besoin d'art » repose t-il sur une possible utilité pragmatique de l'art, ou celui-ci serait-il au contraire un luxe ? Comment l'art est-il utile à la société ? Est-il un support de connaissance fiable, un pur reflet de la réalité ? L'art n'est-il pas source de nombreux plaisirs, n'est-il pas un échappatoire à la sphère du besoin

L’ART ET LE BEAU I Le beau existe-t-il dans la nature ou dans l’art ? 1 L’art imite la nature 2 La nature imite l’art II Le beau existe-t-il dans les choses ou dans le regard que nous portons sur elles ? 1 Le beau n’est pas la représentation d’une chose belle, mais la belle représentation d’une chose 2 Le beau n’est pas l’agréable. L’universalité du jugement de goût III Le beau existe-t-il encore dans l’art ? 1 Un certain art contemporain : les objets triviaux

ville de Paris présente en effet de nombreuses et multiples activités culturelles. Par exemple, Paris est une ville de divertissement et de bien-être. En effet, tout d’abord, la Belle Epoque marque la naissance du grand cabaret qu’est le Moulin Rouge. Celui-ci était très connu est sa notoriété perdure jusqu’à aujourd’hui. De plus Paris possède des cafés-concerts qui sont à leur apogée et où se produise des grandes stars de l’époque . De plus, l’Olympia, ce grand music-hall, fut construit et inauguré le

ramener à la vie. L’expression finale « Aimant l’amour » fait écho à cet échec car le poète se résout à aimer un concept, une idée plutôt qu’une femme réelle qui reste inaccessible. Il est condamné à la solitude et à la souffrance. La gravure de Picasso symbolise la mort d’Orphée, attaqué par les Ménade. Les formes géométriques m’interpellent car tous les personnages se retrouvent divisés et réduits en ces formes géométriques. Les corps représentés sont difformes, disloqués, amputés, ce qui me fait

de dos, assis sur un tabouret. Il est face à une toile et se penche pour regarder son reflet dans un miroir situé sur une chaise à sa gauche.   Ce miroir doré est décoré de l’aigle américain symbole des Etats-Unis. La main droite du peintre est levée, elle tient un pinceau posé sur la toile, où se dessine le portrait de l’artiste en noir et blanc. L’image dans le miroir correspond au reflet du peintre en train de se regarder (même taille, couleurs et posture). Il porte des lunettes qui dissimulent

nous, des choses qui ne frappaient pas explicitement nos sens et notre conscience ». Si l'artiste montre, c'est qu'il révèle, qu'il dévoile ce qui est toujours présent, mais qu'ordinairement nous ne pouvons ni ne savons voir. L'artiste n'est donc pas celui qui perçoit une autre réalité, ou qui en invente une, mais « un homme qui voit mieux que les autres », dont la faculté de percevoir est plus étendue que celle des autres. Cette thèse pousse Bergson à s'interroger sur ce qui permet à l'art d'agir comme