Picasso Celui Qui Le Regarde

penche pour se regarder dans un miroir. Il tient un pinceau à la main. Sur la toile qui est face à lui, on voit son visage en partie dessiné. Norman Rockwell s’est donc représenté trois fois : deux fois de face et une fois de dos. Cela explique le titre. III) Interprétation de l’œuvre
1) Un autoportrait pas très sincère
a) La volonté de bien faire
- Le peintre prend des modèles (de haut en bas : Albrecht Dürer (1471-1528). Rembrandt (1606-1669). Vincent Van Gogh(1853-1890) Picasso 20e)
- Il fait

est assis de dos sur un tabouret. Il est face à une toile et se penche vers le miroir à gauche pour y regarder son reflet. Le miroir est doré et est décoré de l’aigle américain (symbole des Etats-Unis). Sa main droite est levée et tient un pinceau posé sur la toile où se trouve le portrait de l’artiste en noir et blanc. L’image dans le miroir correspond au reflet du peintre en train de se regarder (même taille, couleurs et posture). Nous ne pouvons pas voir ses yeux car ceux-ci sont dissimulés sous

une fois déroulées, aboutissent à une contradiction logique (la science du beau artistique [Esthétique] laisserait de côté une grande partie du domaine artistique !) et doivent donc être rejetées ; on retrouve ici un type de démonstration analogue à celui du raisonnement par l’absurde en mathématiques. En effet, si l’on admettait la thèse adverse, l’Esthétique ne pourrait pas rendre compte de tous ces arts qui sont indifférents à la nature et à ses manifestations, puisqu’ils ne cherchent en aucune façon

concerne la réparation des engins électroniques. Il aime jouer à des jeux de stratégies. Il vit avec sa mère, malade psychologiquement, qui reste toute la journée devant la télévision à se bourrer de médicaments. Il a un frère, Gilles, qu’il voit peu. Celui-ci s’était porté volontaire pour la Bosnie mais semblait au fil des mois avoir perdu ses illusions. Eric est amoureux d’Elena, la réfugiée yougoslave de son école, mais n’ose pas lui avouer ses sentiments. Il est très timide et maladroit avec les filles

Rodríguez1 à Santa Cruz de La Palma dans les Îles Canaries d'un père tchèque et d'une mère espagnole, Manolo Blahnik est élevé dans une plantation de bananes familiale sans voisin autour. La famille voyage souvent à Paris et Madrid. Manolo aimait regarder les magazines de mode auxquels sa mère était abonnée, et il a reçu très tôt un apprentissage de la chaussure en regardant sa mère fabriquer ses propres paires à base de dentelle et de rubans. Plus tard, sa famille part en Suisse, où il étudie à

aujourd'hui jugés comme beaux. Qu'ils soient vases, statues, peintures, ils n'avaient principalement pour but que d'être pratiques. Il apparaît donc que lorsque l'utilité a disparu, la beauté prend sa place. Mais alors, la beauté qui se traduit dans le regard de chacun, n'est-ce qu'une aberration ? Et bien non, ces objets se trouvaient non seulement pratiques, mais aussi d'une grande beauté, souvent enfouie sous cette praticité. Et une fois cette utilité enfuie, seule la beauté est mise en avant, et cela

commun postmoderne a plutôt tendance à voir dans l’art une sorte de décoration originale. Seulement, même ainsi, on ne se débarrasse pas si aisément de l’idée de l’imitation. Elle subsiste encore comme imitation de l’art par l’art. Après tout, à y regarder de plus près, les artistes se copient très souvent les uns les autres et tous commencent par le plagiat. Il semble difficile d’évacuer entièrement la notion d’imitation de la création artistique. La justification de l’imitation n’est pas simple

Le terme apparaît en 1908 et devient matérialité avec la toile de Picasso les demoiselles d'Avignon. Avec ce tableau, il révolutionne l'art. En effet, plus de rapport entre figure (ce qui représenté ) et fond (le décor); c'est une reconstruction de la réalité par la décomposition des plans et la présence simultanée de différents points de vue qui bouleversent la perspective. La palette chromatique est réduite à quelques tons. Picasso, Delaunay, Braque, Gris, Archipenko, Lipchitz seront les artistes

que les autres, car il regarde la réalité nue et sans voiles. Voir avec des yeux de peintre, c’est voir mieux que le commun des mortels. Lorsque nous regardons un objet, d’habitude, nous ne le voyons pas ; parce que ce que nous voyons, ce sont des conventions interposées entre l’objet et nous ; ce que nous voyons, ce sont des signes conventionnels qui nous permettent de reconnaître l’objet et de le distinguer pratiquement d’un autre, pour la commodité de la vie. Mais celui qui mettra le feu à toutes

com man dé pour la cl r Regards su e e le xx siècl e as se de 3 lettres d’écrivains AntHoLoGIE Édition de Lucile Sévin Août 1914 : l’Allemagne déclare la guerre à la France. Plus de quatre millions de Français sont mobilisés. Comme de nombreux poilus anonymes, des écrivains ont envoyé des lettres à leur famille, à leurs aimées, à leurs amis. Les mots d’Apollinaire, d’Alain-Fournier, de Barbusse, et de bien d’autres, précipitent le lecteur dans l’enfer des tranchées. Une parcelle