Pierre de Lune

l’atmosphère créée par l’auteur, on s’attachera à mettre en évidence l’image que le poète donne de lui-même. L’atmosphère qu’évoque Le crapaud est déjà significative et pesante dans les trois premiers vers, qui situent le décor : une nuit sans air la lune le vert sombre Ce décor est très sobre et ne sera complété que par “un massif”, “la boue”, mais il est très suggestif par le champ lexical utilisé : celui d’un paysage nocturne et marécageux. Il est le lieu d’une promenade à deux, où les personnages

{draw:frame} {draw:custom-shape} {draw:custom-shape} {draw:frame} a Lune a-t-elle une influence sur les végétaux ? {draw:custom-shape} Pauline Lucile Pierre Brun Grange Martin-Dussaud {draw:custom-shape} {text:soft-page-break} Sommaire Introduction I] La Lune, satellite de la Terre II] Jardiner avec la Lune III] Influence potentielle de la Lune sur la vie à la surface de la Terre IV] Expérience : la pousse du cresson 1 - Protocole de semis 2 - Calendrier de

l'apparition d'un chant Vers I à 3 : Un cadre inquiétant -mise en place d'un cadre naturel et nocturne propice à la rencontre et à la promenade amoureuse :champ lexical de la nature et de la nuit : « nuit », « lune » (promenade amoureuse au clair de lune), « vert »,« massif » => cadre qui pourrait être une invitation à la promenade ou la rêverie. Rappelle le locus amoenus, le cadre bucolique cher aux romantiques et que l'on retrouve

les objets page I)Armes : Epees : ------------------------------------------------- Epée du guerrier : ------------------------------------------------- Attaque 63 ------------------------------------------------- 1 épée de soldat, 1 pierre brute, 1 heaume de guerrier ------------------------------------------------- Epée large d’acier : ------------------------------------------------- Attaque 45 ------------------------------------------------- 1 épée large de fer, 1 minerai

Elisabeth Thible, le 4 juin 1786. Cette idée de vol fût donc un succès, en 1785 Jean-Pierre Blanchard traversa même la Manche. Jules Verne : 1865 De la Terre à la Lune, Trajet direct en 97 heures 20 minutes Dans ce roman d’anticipation (SF) Jules Verne imagine qu’après la guerre de Sécession un club américain tente d’envoyer un obus habité par trois personnes sur la Lune. Une des premières idées de voyage sur la Lune. L’auteur se base sur des recherches scientifiques réelles. Il fait même des calculs

physis (=nature) est analysable en un certain nombre de mouvement. On observe que les choses se meuvent : la pierre tombe, les planètes tournent, etc. Dans la physis d'Aristote, il y aune théorie du mouvement. Il y a 2 types de mouvements : le mouvement naturel et le mouvement violent. Le mouvement naturel est le mouvement qui amène une chose à son lieu naturel (le leu naturel de la pierre est la terre, le bas, quand elle tombe c'est un mouvement naturel). La chose n'est en mouvement que par une form

Maupassant, Pierre et Jean, 1888 En une décennie, Maupassant a marqué la littérature française. Quand il publie le roman Pierre et Jean sous forme de feuilleton dans la nouvelle Revue entre le premier décembre 1878 et le premier janvier 1888, Maupassant a déjà écrit trois romans et de nombreuses nouvelles. Maupassant fait partie de l’école naturaliste et réaliste. Cette œuvre est composé d’un récit réaliste qui est à la frontière du naturaliste et de la préface intitulée Le Roman. Pierre et Jean propose

La lune, Sujet qui me touche profondément, alors que je suis en train de travailler sur mon identité féminine…et qu’en tant qu’apprentie, je suis éclairée par elle. Recherche d’expressions… - Lunatique….Bizarre, versatile. - Coup de pied à la lune (en l’air) Action inutile, sans résultat possible - Lune de miel  Période heureuse succédant au mariage - Demander la lune Demander l'impossible - Aboyer à la lune …..C rier on ne sait après quoi - Pêcheur de lune…..Rêveur - Chien

dans une nuit sans air… – La lune plaque en métal clair Les découpures du vert sombre. … Un chant ; comme un écho, tout vif Enterré, là, sous le massif… – Ça se tait : Viens, c’est là, dans l’ombre… – Un crapaud ! – Pourquoi cette peur, Près de moi, ton soldat fidèle ! Vois-le, poète tondu, sans aile, Rossignol de la boue… – Horreur ! – … Il chante. – Horreur !! – Horreur pourquoi ? Vois-tu pas son œil de lumière… Non : il s’en va, froid, sous sa pierre. . . . . . . . . . . . . .

donnent déjà l'impression d'un poème qui s'affranchit d'une forme imposée et classique. Ou peut-être qui se . . . rit de lui-même. Le poème serait lui-même crapaud si l'on considère le sens dérivé et technique du mot signifiant un défaut dans une pierre précieuse. Point de grands mouvements lyriques non plus. II/ Les éléments du décor Une atmosphère suggérée plus que décrite (impressions auditives, visuelles) : pourquoi ce « flou » ? 1. Impression auditive qui semble croître par l'anaphore