Pierre de Lune

de La Chanson des Jours) Francis Ponge : Texte sur l'électricité (extraits, dans Lyres, Gallimard 1962) Wystan Hugh Auden : Promenade nocturne (dans : Poésies choisies, trad. J.Lambert, Gallimard) Yves Bonnefoy : L'été de nuit (exrait, dans Pierre Ecrite, Gallimard 1965) Jacques Réda : La tourne (La tourne, 1975) Firmaments Aratus: Phénomènes (extraits, dans Germanicus : Les Phénomènes d'Aratos, trad. A. Le Boeuffle, Les Belles Lettres, 1975) Callimaque : La Boucle de Bérénice (Elégies

I- Le mouvement de la Lune.    1)- Le mouvement de la Lune pour un observateur terrestre. -          Pour un observateur terrestre, la Lune se lève à Est et se couche à l’Ouest.  -         La trajectoire de la Lune dans le ciel change d’un jour à l’autre. -          Le mouvement de la Lune par rapport à la Terre est complexe.  -          Le référentiel terrestre n’est pas adapté pour l’étude du mouvement de la Lune. -          On préfère utiliser le référentiel Géocentrique. 2)- Le référentiel

que je désire; j'épouserai celui qui réalisera mon souhait." Mais la jeune fille n'avait aucune envie d'épouser qui que ce soit, aussi demanda-t-elle des objets extrêmement difficiles à trouver. Au premier des jeunes gens elle demanda la coupe en pierre du bouddha, qui se trouve en Inde; au deuxième, l'arbre dont le tronc est en or et les fruits des perles; au suivant, la peau de la souris du soleil, dont on dit qu'elle se trouve en Chine; au quatrième, le joyau aux cinq couleurs que le dragon

En allant vers la droite du tableau de Loge je remarque que cette même pierre est toujours là mais cette fois-ci elle est cubique, à pointe et est placée sous le soleil représentant la Lumière et la Clarté. Des fenêtres, au nombre de trois,sont apparues me faisant penser qu’une fois ce chemin parcouru, de pierre brute à pierre taillée, les fenêtres présentes laissent à l’esprit l’occasion d’avoir une vision plus élargie qu’avant sur la pensée et

avec le temps. Rappelez-vous qu'un soir, couchés sur notre couche, En caressant nos doigts frémissants de s'unir, Nous avons échangé de la bouche à la bouche La perle impérissable où dort le Souvenir. Pierre Louýs *** L'aube de la Lune Regarde la naissance ardente de la lune, Ô Stulcas! c'est un coeur qui répand sur les eaux Le sang d'une aube horrible au sommet des roseaux Où Syrinx va gémir à sa triste fortune Les ombres des palmiers s'éveillent,et chacune Traîne deux fils

dans une nuit sans air... La lune plaque en métal clair Les découpures du vert sombre. ... Un chant ; comme un écho, tout vif Enterré là, sous le massif... – Ça se tait ; Viens, c’est là, dans l’ombre... – Un crapaud ! – Pourquoi cette peur, Près de moi, ton soldat fidèle ! Vois-le, poète tondu, sans aile, Rossignol de la boue... – Horreur ! – Il chante. – Horreur ! ! – Horreur pourquoi ? Vois-tu pas son oeil de lumière... Non, il s’en va, froid, sous sa pierre. I. Un univers proche du

La règle a 24 divisions La règle est un outil conceptuel, un codex que l’homme a créé, a la différence du soleil ou de la lune qui sont aussi des symboles dans la loge, mais qui sont (mais pas que) des symboles de notre univers proche, la lune et le soleil existant bien avant l’homo sapiens. .La règle cosmique n’a pas été inventée par l’homme, mais relève du GADLU. La règle a certainement été élaborée après que l’homme est d’abord utilisé la corde comme outil de mesure. Dans la loge, la règle

précèdent les quatrains. Corbière semble commencer par la fin. Une énonciation instable: Le dialogue ne nous permet pas de savoir avec précision qui parle et quand ! On peut même hésiter sur certaines prises de paroles (Pourquoi un tiret avant « La lune »? Est-ce le même énonciateur pour: « Vois-tu pas/ Non ». Et la phrase finale est détachée du reste: Est-ce le crapaud qui s'exprime? Est-ce une « métaphore » énoncé par un des deux interlocuteurs? ) Une syntaxe éclatée: Les points de suspensions

nuit sans air... La lune plaque en métal clair Les découpures du vert sombre. ... Un chant ; comme un écho, tout vif, Enterré, là, sous le massif... - Ça se tait : Viens, c’est là, dans l’ombre... - Un crapaud ! - Pourquoi cette peur, Près de moi, ton soldat fidèle ! Vois-le, poète tondu, sans aile, Rossignol de la boue... - Horreur ! - ... Il chante. - Horreur !! - Horreur pourquoi ? Vois-tu pas son oeil de lumière... Non : il s’en va, froid, sous sa pierre. ..................

1er degré - Lune et soleil (2015-1-29)1 Lune et soleil Lecture du 29/1/2015 1er degré – Nicolas R :. Vénérable maître, vous tous mes sœurs et mes frères, Au premier moment d’écriture de cette planche symbolique, j’avais envisagé une introduction expliquant pourquoi j’ai choisi la lune et le soleil comme sujet de réflexion, d’étude et d’exposé. J’aurais fait référence à ma première vision de l’Orient lors de la levée du bandeau, à la lumière, à la flamme du troisième voyage. Et puis, chose