Pierre Puvis de Chavannes

influencé: Il s'agit d'un groupe très hétérogène d'artistes que réunissent surtout leurs refus. On y recense des anglais (Rosseti, Whisler);des allemands (Klinger); l'autrichien Klimt; le belge Esnor; les français Maurice Denis, O.REdon, G.Moreau ou Puvis de Chavane; des suisses (Hodler, Schwab)..pour s'en tenir à quelques noms. Les influences sont aussi nimbreuses que variées.Citons: le romantisme, allemand en particulier; la philosophie platonicienne des idées, le préraphaélisme anglais et l'œuvre de

nécessite une presse particulière. -On utilise une pierre épaisse blonde et soifarde comme un buvard. -L’inventeur est monsieur Senefelder en 1796. -Le principe de la litho, c’est le principe du rejet de l’huile par l’eau (rejet d’un corps gras par l’eau). -Jamais posé ses mains sur la pierre sinon les empreintes sont incrustées à vie dedans. -Prendre des crayons et de l’encre lithographique. -Toujours dessiner en miroir. -Dessiner sur la pierre. -On dessine avec des corps gras (comme si on mettait

le terme décadent, à la faveur d’un article sur BARRÈS, parle de décadent comme formant une école, meme si B hésite sur les membres qui composeraient cette école. Mallarmé, Verlaine, Catulle Manès, Pierre Loti (romancier de l’exotisme), Huysmans Mais aussi des peintres : Gustave Moreau, Puvis de Chavanne… Verlaine J’aime le mot de décadence, tout miroitant de pourpre et d‘ or .J’en révoque bien

étudièrent les monuments antiques : le Panthéon, le Colisée, le théâtre de Marcellus, les vestiges du forum, les arcs de Septime Sévère et de Titus, les thermes de Dioclétien et de Caracalla, la basilique de Maxence et celle de Constantin (l'antique Saint-Pierre démolie au début du XVIe siècle). De nouveaux principes  En revenant au style de l'Antiquité, la Renaissance se soumettait implicitement à un certain nombre de règles générales - régularité, symétrie, proportion - qui devait présider à toute création

d’éventails et de céramiques, et qui dit regretter de n’être point artisan, l’idée du décoratif est au centre des préoccupations des artistes . Annoncée par le caractère émaillé de la peinture de Gustave Moreau et par la planéité de celle de Puvis de Chavannes, stimulée par le japonisme puis par l’Art Nouveau avant de l’être par l’Art Déco, portée par la critique d’art, elle s’impose dans le mouvement nabi tout comme dans la génération suivante, celle du fauvisme. Dufy lui-même voit dans le goût de

(Delaunay, Gleizes, Le Fauconnier, Léger, Metzinger, Archipenko, La Fresnaye, et Marcel Duchamp) hormis les initiateurs, Braque, Picasso. Le public pense alors, de bonne foi, mais à tort, que le véritable cubisme est celui-là. C’est lors de ce salon que Pierre Cabanne différencie les « cubistes » des « cubisteurs » (Gleizes, Metzinger, Le Fauconnier…) qui s’éloignent du cubisme déterminé par Braque et Picasso, et que ces derniers ne rejoignirent jamais. Par exemple, à côté de la salle 41 des cubistes, on

poésie. La nouvelle fantastique et le romantisme noir Le paysage : des réalistes au romantisme Passion pour la liberté : Beethoven Le Symbolisme Le Symbolisme en poésie : Baudelaire – Verlaine – Rimbaud Le Symbolisme pictural : Gustave Moreau – Puvis de Chavannes – Le Symbolisme en musique : Claude Debussy La modernité et l’art contemporain Le manifeste surréaliste en littérature Le mouvement Dada : Duchamp. Le cubisme L’art contemporain : Nam June Paik – Arman La musique populaire avec Bela Bartok.

Bleriot > COLLONGES-AU-MONT-D’OR (69660) TABAC - 9 rue Trêves de Pâques > CORBAS (69960) TABAC - Centre Commercial «Les Balmes» TABAC - 71 rue centrale > COUZON-AU-MONT-D’OR (69270) TABAC - 6 rue de la République > CRAPONNE (69290) TABAC - 115 avenue Pierre Dumont TABAC - 29 avenue Edouard Millaud > CREPIEUX (69140) TABAC - 35 route de Genève > DARDILLY (69570) TABAC - 13 place de la Mairie > DECINES (69150) TABAC - 110 avenue Jean Jaurès TABAC - 9 avenue Jean Jaurès TABAC - 232 rue Jean Jaurès TABAC

la symbolique républicaine de 1880 à 1914, Paris, Flammarion, 1989. *M ANGELO, Mario D’, et coll., Les Politiques culturelles des villes et de leurs administrateurs, Paris, 1989. ANGRAND, Pierre, Naissance des artistes indépendants, 1884, Paris, Nouvelles Éditions Debrasse, 1965. *I, M, G-D ANGRAND, Pierre, «L’Etat-mécène, période autoritaire du second Empire, 1851-1860», Gazette des beaux-arts, mai-juin 1968, pp.303-348. BAL, Mieke, and Norman BRYSON, «Semiotics and Art History», The Art Bulletin

aura l'impression d'un Mons ieur ressemblant à tous les autres et qui reste stupéfait de s'être miré, par exemple, dans une source. Le génie de l'artiste découvrant le génie de l'Homme, pour le lui révéler, c'est tout le sujet de l'Hommage à Puvis de Chavannes. Mais ne dirait-on pas que c'est aussi saint Jean qui surprend le secret d'Hérodiade (« Vous mentez, ô fleur nue de mes lèvres... »), l'esprit qui comprend enfin le désir du cœur (cet instinct de ciel qu'on appelle l'âme), et qui le délivre