Pietà

taureau comme La paix, impossible à instaurer dans ce contexte de guerre et violence L’oiseau 4-La mère et l’enfant La mère hurle son enfant mort dans se bras Elle est une référence à « la piéta » figure de la vierge pleurant la mort de son fils, le Christ. Mère portant son enfant mort « La piéta, 1498-1499, Michel-Ange, 5-Le soldat mort  C’est le symbole des républicains Les lignes de la main :sont brisées comme la vie de cet homme Les yeux renversés: symbolisent la mort Le démembrement

épaules, aurait sauvé de la noyade César. Or Enée symbolise une vertu cardinale romaine, la « piétas », le respect filial. Mais cette valeur est détournée de son sens dans la bouche de Cassius : Cassius n’a pas sauvé César, comme Enée, pour faire preuve de soumission à son père, mais au contraire pour prouver que César est un vieil homme affaibli, et qu'il le bat en force et en courage. L’image sacrée de la piétas est ainsi retournée par Cassius en image d’impietas. 4)   Comment la Respublica a-t-elle

divise le tableau en 2 grandes parties : la partie gauche est beaucoup plus sombre que la partie droite. Alors que 4 parties correspondent aux différents groupes de personnages : d’abord la femme avec l’enfant (qui pourrait être un référence à la piéta) et le taureau (qui symbolise la force et la cruauté) viennent ensuite le cheval (qui correspond au peuple innocent et dont la texture rappelle la presse écrite par laquelle Picasso a apprit le bombardement de Guernica) et la lampe (symbole de l’espoir)

L'enfant mort dans les bras de sa mère ressemble à celle d'une piéta (vierge avec l’enfant). Cette figure exprime une douleur et traduit l'horreur de la guerre. Ses yeux en forme de larme, sa langue en forme de couteau, son visage tourné vers le ciel (l’origine du drame), tout en elle exprime la souffrance. La douleur et les hurlements de la mère sont perceptibles. L'enfant mort dans les bras de sa mère ressemble à celle d'une piéta (vierge avec l’enfant). Cette figure exprime une douleur et

femmes puisque le bombardement visait les civiles (femmes + enfants car les hommes combattaient). Leurs têtes sont tous levés vers le ciel. La femme avec son enfant mort dans ses bras renvoie à la célèbre « piéta » de Michel Angelo, peintre italien mais sans le côté religieux . La piéta est une sculpture en marbre représentant la vierge marie avec Jésus Christ dans ses bras morts. A droite, le personnage est pris dans les flammes. Il peut faire envoyer au tableau « El tres de Mayo »

tout le monde peut comprendre. Certains symboles utilisés par Picasso nous font penser directement à d'autres œuvres extrêmement connues ce qui renforce son universalité. Aussi, notre esprit rattache la mère et son enfant à une représentation de la pietà ( Marie portant Jésus, son fils mort sur la croix) telles que celle de Michel Ange (1498-1499). Le cheval percé d'une lance peut lui aussi se rapprocher d'une représentation religieuse: « le Christ percé d'une lance ». Quand à la femme bras en l'air

entre 1503 et 1506 sur du bois. LA JOCONDE réalisée entre 1503 et 1506 Léonard de Vinci Les fresques de la Chapelle Sixtine commencée par Michel Ange en 1477 B/ La sculpture Les principaux thèmes de la sculpture sont le nu et la piéta. Le nu en sculpture est au départ une imitation presque à l'identique des statues antiques, romaines principalement, dont certaines subsistent en Italie. Les canons de beauté du début de la Renaissance vont donc être les mêmes que les canons de beauté

dans les bras : Ses yeux sont en forme de larmes. Langue en forme de couteau : violence. Elle montre toute l’horreur du bombardement qui touche des civils innocents. C’est aussi une référence à une figure récurrente de l’art : la Piéta Michel Ange, « La pieta » représente le thème biblique de la Vierge Marie tenant sur ses genoux le corps du Christ descendu de la croix avant sa mise au tombeau. 1498-1499, marbre, 174 cm × 69 cm, Basilique Saint Pierre. Une femme tombe d’un immeuble en flammes

même père décevant pour toujours sur son « piédestal ». De la même façon, dans le second extrait, Claude ne pardonne toujours pas à son père : « le moment du pardon pourrait peut être venu. On était dans la position de la pietà! T'étais mon enfant pis j'étais ta mère! Une pietà sous la pluie d'eau tiède! Pi si je le voulais je pouvais te pardonner. Mais je ne ressentais rien. Absolument rien. Aucune... je sais pas si le mot générosité est le bon, mais aucune disposition à la générosité. » Cet extrait

Ses sculptures les plus connues sont le David (1504) qui a longtemps orné la façade du Palazzo Vecchio de Florence avant d'être transféré dans l'Académie des Beaux-Arts de la ville, La Pietà (1499) exposée dans une chapelle latérale de la basilique Saint-Pierre de Rome, ou le Moïse (1515) du Tombeau de Jules II dans la Basilique Saint-Pierre-aux-Liens. Le plafond de la chapelle Sixtine, peint entre 1508 et 1512, et le Jugement dernier (influencé par la fresque de Melozzo da Forlì Ascensione di Cristo)