Pinatubo

lorsque son diamètre est plus équilibré par rapport à sa hauteur en raison de la plus grande viscosité des laves ; il s'agit des volcans aux éruptions explosives comme le Vésuve, le mont Fuji, le Merapi, le mont Saint Helens[5] ou un des plus connus le Pinatubo; • En volcan dit faille formé par une ouverture linéaire dans la croûte terrestre ou océanique où s'échappe de la lave fluide ; les volcans des dorsales se présentent sous forme de faille comme le Laki ou le Krafla[6]. c) Composition

capter du carbone (carbone management). Nous allons étudier les différentes techniques de géo-ingénierie : 1) Les injections de sulfate dans l’atmosphère : Cette idée provient de l’observation d’irruption volcanique. L’irruption du Mont Pinatubo par exemple à causé une chute des températures globale d’environ un demi degré Celsius pendant quelque mois après son explosion. L’idée est simple, injecté du sulfate dans l’atmosphère à l’aide d’appareil volant pour bloquer en partie les rayons

couche d’argile pouvant provenir de la décomposition du basalte. • Si l’on se réfère aux plus grandes éruptions volcaniques connues (Krakatoa entre les îles de Sumatra et de Java en Indonésie en 1883, El Chichon au Mexique en 1982 (Doc. 1), Pinatubo aux Philippines en 1991), les conséquences sur le climat seraient voisines de celle d’un hiver nucléaire. En effet, les particules et les gouttelettes d’acides sulfuriques constitutives des nuages de poussières volcaniques absorbent les infrarouges

aux pierres, alors que les pneus étaient aussi une formulation subtile, essentiellement -pour ne pas dire totalement- chimique. - au niveau du chauffage, la situation devint dramatique dès le début du 2e hiver. La deuxième irruption du volcan PINATUBO aux Philippines, avait créé une situation difficile car, en polluant l'atmosphère jusqu'à 24 km d'altitude, détruisant 20 % de la couche d'ozone, il avait provoqué une modification climatique telle que la température chuta brutalement. Les hommes

serait diminuée. Cependant cette idée parait invraisemblable, et difficile à mettre en place. Les adeptes de la géo-ingénierie proposent d'injecter du soufre dans la stratosphère pour refroidir le climat, comme lors de l'éruption du mont Pinatubo aux Philippines en 1991. Mais le souffre fait peur, et il vaut mieux réduire les émissions de gaz à effet de serre plutôt que de seulement retarder le processus. Une autre stratégie consisterait à piéger une partie du dioxyde de carbone en excès

les volcans explosifs tels que comme : Le mont saint Hellens aux Etats-Unis, la montagne pelée en Martinique, le krakatoa en indonésie, Le tombora en indonésie, la ceinture de feu du Pacifique comme le Klioutchevskoï, le Merapi, le mont Unzen, le Pinatubo, le Mayon. Durant notre Tpe nous allons nous interressé aux volcans explosifs car ceux-ci sont généralement les plus rare et les plus dévastateur, il se situe généralement autour de la ceinture de feu (ring of fire) se situant en bordure de l’océan

plus profondes du globe. Les manifestations visibles de cette dynamique sont une activité sismique intense, due aux frottements des deux plaques, et la fusion partielle des matériaux profonds créant un volcanisme aux éruptions gigantesques, comme le Pinatubo en 1991, ou le Mont Saint Helens en 1980. | Les points chauds Le volcanisme de point chaud est un volcanisme intraplaque, qu'on retrouve principalement, mais pas exclusivement, sur les plaques océaniques. Une concentration locale de chaleur amène

causerait des dégâts gigantesques, équivalant à environ 1 000 fois celle du mont Saint Helens (Washington - USA) en 1980. En effet, l'explosion du mont St. Helens avait engendré l'émission d'un kilomètre cube de matière dans l'air, l' éruption du mont Pinatubo aux Philippines en 1991, dix kilomètres cubes. or, la dernière éruption de Yellowstone il y a 640 000 ans, a rejeté 1 000 kilomètres cubes de matériaux. Passons aux dangers provenant de l'espace. Certains appellent ça un tsunami cosmique mais

être encadrés par les autorités, comme la politique de transmigration indonésienne, qui voulait vider les flancs du Merapi (Java) pour peupler les fronts pionniers de Sumatra, de Bornéo ou de Papouasie, ou comme les Aetas vivant sur les flancs du Pinatubo (Philippines). La résilience est alors absente, puisque l’espace ne retrouve pas ses fonctionnements d’avant la crise. Le plus souvent, cependant, une fois l’éruption terminée, les populations évacuées retournent chez elles, et reprennent

ans avant et 5 ans après et on fait la moyenne) * Aérosols sulfatés : particules de 0,2 à 1 μm, effet direct de diffusion de lumière solaire, plus de noyaux de condensation pour les nuages, entraîne refroidissement de la planète. Ex : érupt° Pinatubo 1991, 10 à 30MT de soufre émis, le nuage a fait une migration latérale autour globe. Provoque diminution globale de t° due aux particules fines. Modèles de prédict° s’affinent mais pas certains à 100%, ne connait pas encore tous les processus en