Pisanello

équestre. Dans chaque loggia, on voit un entablement, des pilastres corinthien, la voute à caisson influence du panthéon de Rome. Cette façade est le signe du pouvoir, elle est entourée de tour. D. La sculpture : Donatello à Padoue & médailles de Pisanello Il y va en 1443 pour faire un monument équestre selon Vasari. Padoue dépendait de Venise mais était également une ville universitaire comprenant de nombreux humanistes et antiquaires (collectionneurs). Il y a donc un gout prononcé pour

portrait en médaille, prenant modèle sur les pièces romaines et grecques – les souverains italiens, autour de 1450, ont un grand goût pour les médailles les représentant. C’est Pisanello, peintre et sculpteur de médaille, célébré par Vasari, qui réalise nombre de ces médailles (Ferrare, Naples, Sigismond Malatesta - Rimini) Pisanello, Médaille de Sigismond Malatesta, 1445, 10 cm de diamètre. Portrait de profil de Sigismond, avec écrit dessous « capitaine général de la sainte Eglise romaine » présenté comme

; with an essay by Martin Royalton-Kisch. Cambridge (Mass.), Harvard university art museums ; New Haven, Yale university press, cop. 2002. 299 p. Salle F – Art – [741.094 92 BRUE 6] [Exposition. New York, Pierpont Morgan Library. 1990] From Pisanello to Cézanne : master drawings from the Museum Boymans-van Beuningen, Rotterdam : [exhibition], May 15-August 5, 1990, the Pierpont Morgan library, New York, August 18-October 21, 1990, Kimbell art museum, Fort Worth, November 13, 1990-January 13,

reconnue comme le foyer de culture le plus brillant. 6. Une émulation entre les cours Les voyages étaient l’occasion de repérer les artistes pour ensuite, les faire venir dans sa cour et les retenir par des moyens plus ou moins coercitifs (Pisanello fut menacé d’une saisie de ses biens si il quittait Ferrare). III. L’art au service du prince ordonnateur A. La construction, premier art princier Tous les arts ne concourent pas également à l’affirmation des pouvoirs de l’Etat.

faits avec des fragments d’obus ou des ceintures de 75, des allume-cigarettes composés de deux sous anglais auxquels un militaire était arrivé à donner, dans sa cagna, une patine si belle que le profil de la reine Victoria y avait l’air tracé par Pisanello ; c’est encore parce qu’elles y pensaient sans cesse, disaient-ellles, qu’elles en portaient, quand l’un des leurs tombait, à peine le deuil, sous le prétexte qu’il était ‘’mêlé de fierté’’, ce qui permettait un bonnet de crêpe anglais blanc (du

détail (flamand). Antonello fait un voyage à Venise et baigne alors ses tableaux de lumière avec un travail plus nuancé des tonalités utilisées ; contours adoucis. _St Sébastien. En Vénétie (province du nord est de l’Italie) _ Antonio Pisano, dit PISANELLO (1395-1450) Remarquable dessinateur ; graphisme d’une qualité exceptionnelle. Il représente souvent des animaux, avec des angles de vue différents et des perspectives accentuées. _ Andréa MANTEGNA (1431-1506) Homme de grande rigueur, passionné de

été dépêché par le duc auprès d’Alphonse V d’Aragon qui se trouvait à cette époque en Vénétie. Au cours d’une halte à Vérone, il avait fait la connaissance d’Antonio Pisanello. Bien que leur manière de peindre fût à l’opposé l’une de l’autre, une amitié spontanée s’était nouée entre le Flamand et le Pisan. Mis en confiance, Pisanello l’avait entraîné dans l’église SainteAnastasia pour lui révéler sa dernière 78/649 fresque. Quel chef-d’œuvre que ce Saint Georges et la princesse ! Un homme, une

1er janvier 2012 Architecture renaissante Renaissance florentine du XV Domaine des arts visuels et de la musique Brunelleschi, la chapelle Pazzi à Florence, vers 1430 e Donatello (1386-1466), Fonts baptismaux de la cathédrale de Sienne, 1427 Pisanello (1395-1455), La Vision de Ste-Eustache, 1435, Londres, National Gallery Ucello Paolo (1397?-1475), La Bataille de San Romano, 1456?, Londres, National Gallery ; St-Georges et le dragon, 1456?, Londres, National Gallery Fra Angelico (1400?-1455),

d’acquisition qui voit en quelques années le Louvre s’enrichir à un titre ou à un autre des donations His de la Salle, du legs Granet, des achats à la vente de Guillaume II des Pays-Bas et du Codex Vallardi contenant plus de trois cents dessins de Pisanello et de son cercle. A la suite de la donation du baron Edmond de Rothschild en 1935, les collections de dessins deviennent autonomes. Après la guerre, la générosité des donateurs se manifeste à nouveau (donation D. David Weill). En 1950, les collections

faits avec des fragments d'obus ou des ceintures de 75, des allume-cigarettes composés de deux sous anglais auxquels un militaire était arrivé à donner, dans sa cagna, une patine si belle que le profil de la Reine Victoria y avait l'air tracé par Pisanello; c'est encore parce qu'elles y pensaient sans cesse, disaient-elles, qu'elles en portaient, quand l'un des leurs tombait, à peine le deuil, sous le prétexte qu'il était "mêlé de fierté"; ce qui permettait un bonnet de crêpe anglais blanc (du plus