Pisistratides

Buste d'Eschyle. Eschyle (526 à 456 avant Jésus Christ.) est le plus ancien dramaturge grec dont nous avons conservé quelques écrits. Naissant au sein d'une famille noble d'Eleusis, en Attique, Eschyle assista dans sa jeunesse à la chute des Pisistratides[1]. Remportant 13 premiers prix tout au long de sa carrière, Eschyle laissa son empreinte dans le théâtre de son époque. Il introduisit le principe du deuxième acteur (auparavant, il n'y avait qu'un seul acteur tout au long de la pièce.), et

magistrature n’étaient d’ailleurs pas si nombreux car il fallait passer une année entière au service de l’Etat et donc délaisser ses affaires privées. La méfiance : les athéniens se souvenaient des difficultés qu’ils avaient éprouvés pour se défaire des pisistratides . Leur méfiance était donc grande a l’égard de tous ceux qui pouvaient exercer un pouvoir. Tirer les magistrats au sort et limiter leur mandat permettait de limiter la présences ds individus poussés par leur ambition personnelle. «Contrairement

remettaient au hasard, il porta contre eux cette loi singulière : Quiconque, en temps de trouble, ne prendra pas les armes pour l'un des deux partis, sera frappé d'atimie et exclu de la cité. Voilà ce qui concerne les magistratures.   La tyrannie des Pisistratides vers 600 av. J.-C. - 527 av. J.-C.) Il est l'instigateur d'une vaste réforme politique et sociale (création de tribunaux ambulants) qui prolongeait l'œuvre de Solon. Issu de la famille des Eupatrides, il prit le pouvoir et s'attaqua aux privilèges

de gouvernement (aristocratique puis (pré)démocratique) furent suivis par la tyrannie de Pisistrate (qui s'était allié à Sparte) puis celle de ses fils, qui donnèrent cependant à la cité une grande puissance navale et commerciale. Lorsque les Pisistratides furent renversés, Clisthène (en grec Κλεισθένης / Kleisthénês, vers 570/507 av. J.-C.) établit la première véritable démocratie en (500 av. J.-C.), avec un pouvoir tenu par une assemblée de citoyens masculins. Comme garant de cette démocratie,

ces travaux et par la promotion des cultes civiques, il contribua à renforcer la collectivité athénienne en la soudant autour de cultes communs.    C'est pour toutes ces raisons que la tyrannie fut communiquée à ses fils.   4E PARTIE : LES PISISTRATIDES ET LA FIN DE LA TYRANNIE    A sa mort, Pisistrate laisse le pouvoir à ses deux fils : Hippias et Hipparque. Ces deux frères exercent la tyrannie conjointement et continue la politique de leur père face aux aristocrates. A) Constructions

d’éclater la carapace et de pouvoir dévorer l’animal. Eschyle L’œuvre & son aut e u r Eschyle, né en Attique en 526 av. J-C et mort en 456 av. J.-C. en Sicile est issu d’une famille noble Il est témoin dans sa jeunesse de la tyrannie des Pisistratides (fils de Pisistrate, tyran d’Athènes) au VI siècle av. J.-C. Il est l’un des dramaturges les plus connus de l’antiquité avec Sophocle et Euripide et le plus âgé des trois. Véritable précurseur selon Aristote, il a introduit un deuxième personnage

possède. Pour Aristote le régime de Solon est timocratique car la participation aux magistratures est réservée aux classes possédantes. La république romaine sera typique d’une timocratie au sens aristotélicien du terme. § 5. La tyrannie des pisistratides Il y a Pisistrate (le père), Hippias (le fils ainé), Hipparque (le fils cadet). Après son année de législature, Solon quitte le pouvoir et très rapidement les tensions reviennent. Il semble que trois groupes de la population antagonistes

toutes ces informations. En effet, le travail en commun était la règle de l’école péripatéticienne. Ils vont ainsi recourir aux grands historiens grecs, comme Hérodote ou Thucydide, pour reconstituer l’histoire archaïque d’Athènes. Son récit des Pisistratides ressemble à celui d’Hérodote, bien qu’en diffère dans des traits importants. Il aura recours notamment à des traditions antérieures et aux auteurs d’histoires locales (les atthidographes). Il paraît aussi qu’Aristote aurait pu être influencé par

d'un groupe de jeunes gens ivres. La thèse du complot s'impose immédiatement, sans qu’on en discerne les motifs, ce qui jette la ville dans la panique. On craint que la démocratie ne soit renversée en faveur d'une tyrannie semblable à celle des Pisistratides. Les magistrats offrent alors une forte prime (100 mines) pour encourager la dénonciation. Selon Thucydide5, on décrète que « quiconque [a] connaissance de quelque autre sacrilège [doit] le dénoncer, sans crainte pour sa personne, qu'il [soit]

THALES) : En 594, pour calmer les troubles, SOLON décide d’ouvrir l’assemblée à l’ensemble des citoyens mais il maintient le système de classe censitaire (les classes les + riches avaient accès aux magistratures) 2. 2e phase, à la fin des Pisistratides (fils de PISISTRATE, tyran d’Athènes) : En +/- 510, il y a un retour à la « démocratie ». CLISTHENE propose des réformes qui donnent naissance à la démocratie athénienne classique : la démocratie directe (>< représentative). L’assemblée