Pistolet

siècle sur les gisements avec la cartographie de Dumont d’Urville.d) Vestiges archéologiquesTrès peu d’élément de structures navales.Le mobilier :Saumons de plomb : lest mobile Canon de calibre de 6 Pistolet et fusils : le grand nombre de balles de plomb et de silex retrouvés témoigne des multiples pistolets, mousquet et fusils

immobile mais il semble en mouvement. Mais également après ce ‘’pas’’ l’action et les évènements semblent agir tout seul sans que Meursault en soit conscient comme par exemple : « La gâchette a cédé » Comme si Meursault n’avait rien fait et que le pistolet a tiré tout seul. Il n’est pas conscient de ce qu’il fait car il est aveuglé par la lumière du Soleil mais aussi par sa chaleur qui provoque la sueur, le narrateur emploi même des métaphores : «  d’un voile tiède et épais » (l-14-15) ou « ce rideau

• Joseph Pontus, A la ligne, 2019 Extraits étudiés 1. Première partie, « La deuxième rencontre » (depuis « Il était six heures du soir… » jusqu’à « … mon coeur n’a jamais cessé d'être à toi ») 2. Première partie, « L’évasion » (depuis « Un pistolet ! » jusqu'à «… suivant sa promesse. ») 3. Deuxième partie, « Le Prince italien » (depuis «Mais entendant ouvrir la porte… » jusqu'à « … que je ne pouvais attribuer qu’à l’amour. » Textes étudiés dans le parcours Pas pour l’oral blanc Lectures

sauva sans se préoccuper des appels du maître-coq… Chapitre13: Jim, après s’être sauvé de Silver, prit la décision d’épier celui -ci ainsi que les les autres pirates. Il était désespéré et croyait qu’il allait mourir ou de faim ou d’un coup de pistolet. C’est ainsi qu’il assista de loin au meurtre de d’Alan et de Tom, deux marins honnêtes qui refusèrent de suivre le complot de Silver. Jim était triste, fatigué et impuissant. Il continua son chemin jusqu’à l’autre bout de l’île; une sorte de forêt

ne fait pas le droit car le sujet n’obéit pas à la loi comme il cède à la menace d’un pistolet : “Qu’un brigand me surprenne au coin d’un bois : nn slmt il faut par force donner la bourse, mais quand je pourrais la soustraire suis-je en conscience obligé de la donner? Car enfin le pistolet qu’il tient est aussi une puissance.” Ce qui est important dans cette citation est l’usage du mot “conscience”>le pistolet du brigand me contraint d’un point de vue extérieur, je vis la contrainte comme hétéronome

autres. Ligne 17 à 27 : accumulation de questions rhétoriques qui renvoient Bougainville à ses contradictions, à l’absurdité de son raisonnement, sa non légitimité : vole la liberté et les terres aux Tahitiens mais ne supporte pas le vol d’un de ses pistolets, ligne 23. Il les rend esclaves mais préférerait la mort que d’être lui-même esclave. Lg 30 à 32 : enchaînement de questions qui récapitulent ce qu’on fait les Européens quand ils ont posé le pied à Tahiti : dénonciation de la colonisation : Domination/agression/pillage/attaques

objets suivants : * Toutes les armes à feu (pistolets, revolvers, fusils, armes de chasse, carabines, etc.) * Des copies d’armes originaux et des imitations d’armes à feu  * Parties d’armes à feu   (à l’ exception des cibles télescopiques et les jumelles de tir) * pistolets pneumatiques, carabines et fusils à plomb * fusées de détresse * pistolet de starter * Tous les jouets armes * Armes pour débutants * Pistolets industriels de boulonnage et de clouage  *

doit se battre en duel pour soutenir sa réputation et l’honneur de La Vie française. Il est terrifié à l’idée de sa propre mort dans ce duel au pistolet. L’extrait choisi se situe au moment du duel. Duroy voit arriver la voiture de son adversaire. Les témoins de Duroy, Rival et Boisrenard, se dirigent vers ces étrangers pour tirer au sort les pistolets. Le docteur Le Brument s’efforce de rassurer Duroy. Il est favorisé par le tirage et on lui ôte son pardessus ainsi que tout portefeuille ou papier

Herbal dessinait avec un crayon de charpentier. L'oncle d'herbal avait à tuer un ami parce qu'il n'avait plus un remède et qu'il ne voulait pas qu'il souffre, mais quand il l'a vu l'oncle de Herbal n'a pas pu le tuer et c'est Herbal qui lui a mis le pistolet à la tempe et l'a abbatu. Après Herbal s'est souvenu du crayon que l'homme qu'il venait d'abattre portait sur l'oreille. Le peintre ne savait rien du garde Herbal. Herbal savait que le peintre avait jeté des pierres sur une maison d'un garde de

Verrières un dimanche matin. Il entra chez l'armurier du pays, qui l'accabla de compliments sur sa récente fortune. C'était la nouvelle du pays. Julien eut beaucoup de peine à lui faire comprendre qu'il voulait une paire de pistolets. L'armurier sur sa demande chargea les pistolets. Les trois coups sonnaient; c'est un signal bien connu dans les villages de France et qui, après les diverses sonneries de la matinée, annonce le commencement immédiat de la messe. Julien entra dans l'église neuve de Verrières