Pistolet

gauche de l'image, on peut distinguer que l'homme de gauche tien un sabre, celui-ci est vêtu d'une salopette sur chemise blanche, à sa taille un foulard bleu, blanc, rouge et son pistolet. Celui de droite en tunique et haut-de-forme, tenant de ses mains un fusil. Le jeune garçon situé a gauche du tableau est armée de pistolets, d'une sacoche en bandoulière et une casquette-béret sur la tête, il regarde vers le spectateur. Derrière eux une foule qui lève leurs armes et piques. Les vêtements des acteurs

réapparaissent, cette fois-ci beaucoup plus directes, vu que ce sont des énumérations nominales. Ou bien l'auteur nous énumère des substantifs, et plus précisément, les armes utilisées : « on se pourvoit de piques, de bâtons, de fourches, de sabres, de pistolets », ou bien des adjectifs : « soixante mille citoyens sont organisés, armés, équipés ». Chateaubriand veut bien provoqué l'émotion à travers ces énumérations, essayer peut-être de transférer l'euphorie du moment. Il serait bien aussi de remarquer

un gaulois (français blanc) un blème (un problème) une galère (une mauvaise idée / situation) ramer (avoir des problèmes) la tune / thune (argent) tchatcher (discuter / faire une conversation) un pote (ami) le frangin (frère) un pétard (joint / pistolet) sapé (habillé) s‟arracher (partir) branché (à la mode) cramer / brûler zarbi (_______________) relou (lourd, pas cool, qui prend la tête) reuch (_______________) renoi (_______________) reup (_______________) reus (_______________) vénère (énervé)

Image 9 : Schéma simplifié de l'organisation du service préparation/réapprovisionnement Image 10 : Poste de préparation Image 11 : Ecran du poste de contrôle Image 12 : "Pistolet" Image 13 : Stock des gares Image 14 : Convoyeur de la gare 02 Image 15 : Machine à coiffer Image 16 : Ilot âme Image 17 : Ilot gainage Image

refuse de répondre et la nouvelle se finit par une chute :l’inconnu a confié une arme à l’enfant ‘’simplet’’. Lorsque son père s’en rend compte, il se dit que ‘’seul un fou’’ ‘’peut donner un pistolet chargé à un idiot’’. Ici le lecteur peut aller plus loin dans la réflexion et comprendre que le pistolet représente l’arme totale ou encore plus largement les applications de la science et le petit garçon retardé mental représente l’humanité qui n’est pas encore mûre. Ainsi la dernière phrase a un

qu’il méprise en même temps. Or, Julien veut se donner une contenance, se donner du courage et certaines de ses répliques pourraient l’assimiler à une sorte de matamore car elles sont fortement hyperboliques : « j’ai toutes sortes d’armes et de pistolets ». En fait, l’attitude de Julien s’explique par une phrase très sèche qui résume bien la situation : « il n’avait pas d’amour du tout ». Cette expression se situe à la fin d’une phrase au rythme ternaire : « Julien était fort embarrassé, il

et vendre sa virginité au plus offrant. Maman s'interpose tandis qu'ils essaient de la sauver, Salim sort alors un pistolet et le tue. Plus tard il se fait recruter par la bande rivale de Javed( un malfaiteur ) puis revient à leur chambre avec Latika qu'il considère comme son bien. Il ordonne à Jamal de partir et les deux frères s'affrontent, Salim menaçant Jamal avec son pistolet. Pour le sauver, Latika demande à Jamal de l'abandonner et il reste seul, alors que Salim et Latika s'enfuient pour

l’utilisation de cette formule a pour effet de souligner la vitesse et la précision de de son action. « J’entrai » « la pressai » suite d’actions rapides tout de suite argumentée par les compléments circonstancielles de manières : « lui mettant un pistolet sur la gorge » « un air menaçant » ce qui nous semble déplacé, car Léonarde est une vieille femme, et ils sont seuls dans la cuisine. De plus agresser une vieille dame est contraire aux les lois de la chevalerie = parodie du genre « air menaçant »

| | |temps de stabilisation 20mn mini |(escabeau) | |Température du sol |/ (°C) | |Pistolet infra-rouge | |Vitesse d’air |Va (m/s) |Fil chaud, suivant 3 axes perpendiculaires |+/-(0,05+0,05 x Va)m/s | | | |Va=(vx2 + vy2 + vz2)0,5

cabanon et mis ca capuche, la fille apeurée l’attendait la batte à la main près de la porte lorsque soudainement une ombre surgit derrière elle, c’était Leonardo. Il la prit, la plaqua contre le mur en lui disant de se taire, ce dernier sortit un pistolet, toute paniquer Anastacia lui demanda ce qu’il allait faire mais il ne répondit pas. L’individu capuché entra pas plus de deux secondes car son corps ressortit tout aussi vite, une balle entre les deux yeux le percuta. A la grande surprise d’Anastacia