Pitié

• métaphore filée de la blessure de l’épée (métaphore sur plusieurs lignes)  percé (1) ; atteinte imprévue, mortelle (2) ; âme abattue (5) ; coup qui me tue (6)  inspire la pitié pour la souffrance de Rodrigue • Champ lexical : souffrance  « peine, misérable, malheureux » • tragédie grecque : doit inspirer terreur et pitié. Pour la catharsis : laver les pensées malsaines • Périphrases (désignation d’une personne ou d’une chose par une autre expression)  insiste sur son misérable sort • oxymore :

souffrance dont nous sommes tous témoins, soit en tant qu'agents et en tant que patients. La "pitié", en effet, est la seule vertu morale qui ait véritablement un sens profond au regard de la condition humaine .C’est, davantage encore que dans la pitié, dans la charité qui est, aussi, bien que pas seulement, "amour de l’humanité", que le phénomène moral se manifeste avec le plus de force et de clarté. La "pitié" est alors définie comme un sentiment intérieur entièrement spontané, Schopenhauer ne considère

pour grignoter et les dévore. On a en effet le champ lexical de la boucherie, on dirait qu’on parle de deux bêtes, des cochons : « comme des chiots, il les assomma » (v.289) (ici il nous compare les hommes avec des chiots pour éveiller en nous de la pitié), « La cervelle en giclant mouillait le sol. » (v.290), « Découpés membre à membre. » (v. 291), « entrailles, chair et os … » (v.293). Il a du plaisir à les savourer, et il y a même des indications sonores sur la boucherie : « Giclant » (v.290), ici

mission, coup de théâtre, Hermione lui reproche ce crime. Oreste sombre ds la folie. En quoi ce dénouement est-il caractéristique d'une tragédie? Dénouement tragique, lié à la violence, au sang et à la mort, ms règles de bienséance. Terreur et pitié. I)Un dénouement provoqué par une série de catastrophes a)scène 5 : enchaînement des péripéties, révélations qui précipitent le dénouement. b)Quiproquo qui vient accentuer le caractère tragique de la scène. (vers 1597-1604) met à jour la cruauté

Pistoia. Machiavel montre la nécessité de la force, de la cruauté et que la cruauté vaut mieux que la pitié, de plus on ne fait pas de la politique avec de bons sentiments. Les deux autres exemples de Machiavel montre la même chose ; celui d’Hannibal cruel mais admiré pour ses exploits et celui de Scipion honnête et méritant mais discrédité. Ces exemples historiques montrent que l'excès de pitié en politique ne peut qu'amener des désordres. Il oppose l'individu à la collectivité. Le tyran est bénéfique

Idem pour l’amour passionnel – négatif à nouveau car, on veut posséder l’autre, il n’y a plus de « challenge », une fois en couple on veut toujours plus, on devient alors jaloux et insatisfaisable - ainsi que la charité - négative parce qu’on a alors pitié de l’autre, qui lui deviendra dépendant de nous. En ne « tombant » pas dans l’amour passionnel, ni dans l’amour amical, ni dans la charité, ni dans aucune autre forme de l’amour autres que celui du destin, Nietzsche emprunte le chemin menant au bonheur

comportements de gravité différente, quels sont-ils ? Illustrez vos propos d’exemples issus du livre. Le registre dominant est le registre pathétique car c’est la pitié du lecteur qui est suscitée dans ces passages. Par exemple l’étudiant Kelmar qui ne voulant pas aller dans le camp, se fait battre à mort d’une façon sanguinaire et sans pitié. C’est de l’intolérance qu’on retrouve chez les allemands, cette intolérance se traduit par de l’humiliation comme quand « chien Brodeck » en est réduit à vivre

héros tragique devient alors le porte-voix de cette angoisse. Le registre tragique s'exprime donc au moyen de différents procédés : l'imprécation qui appelle à la colère divine contre quelqu'un ou quelque chose et la supplication qui implore la pitié font fréquemment appel au procédé de l'apostrophe : « Et toi, Neptune, et toi, si jadis mon courage   D'infâmes assassins nettoya ton rivage,   Souviens-toi que pour prix ... | | I. Les tragédies classiques→ Cf. mythe, mythologie, catharsis

est aussi un sujet commun qui va s'exprimer de plusieurs manière. Dans le premier document la thématique de la mort et de la souffrance est présente : "tuer" , "bruler" , "égorger"... Ce qui provoque au lecteur une grande émotion et un sentiment de pitié. Ce qui peut faire écho au tableau "Guernica", car on y voit des cadavres, à droite une personne se faire bruler, et la mort y est représentée de divers façon pour que le spectateur voit l'ampleur de la catastrophe et pour qu'il soit touché. Puis le

· Def comédie selon Aristote : « l’imitation d’hommes sans grande vertu» (p.91) · Def Tragédie  selon Aristote : La tragédie a lieu d’être tant qu’elle « suscite la pitié et la crainte, elle opère la purgation propre à pareilles émotions » p(.93) · Différence poésie-histoire : La poésie ne cherche pas à raconter les choses telles qu’elles sont arrivées mais telles qu’elles