Pituite

fondé sur leur organisation physiologique. Cette façon de concevoir l’être humain vient d’Hippocrate, de Claude Galien et est reprise par Ambroise Paré. Le tempérament est la conséquence de la proportion relative des humeurs : le sang, le phlegme ou pituite, la cholère ou bile jaune, la mélancolie ou bile noire. Gargantua est ainsi dominé par le phlegme (p.95) ce qui explique son appétit insatiable, sa paresse, sa vie passée à dormir, boire et manger, comme on le voit dans les chapitres sur son enfance

Première partie : Nous avons été visité l’hôpital Notre Dame de la Rose à Lessines, qui est sans doute un des derniers endroits où il est permis d’admirer une incroyable variété d’instruments médicaux du 17ème au 20ème siècle illustrant parfaitement l’art de soigner à travers les siècles. On y découvre, qu’à cette époque, les gens craignaient de se laver. En effet, les miasmes, bactéries de l’époque, étaient présentent dans l’eau et dans l’air. La saleté leur donnait l’impression d’être protégé

diffuse dans l’extrait.Cette force s’exprime dans le langage des corps , dans celui du rêve et puis plus directement dans le language même. Premiers détails chez lui. Ivresse d’abord gaie. Le bon appétit. La graisse, cauchemars, faiblesse. Pituite, ne mange plus, ne sort plus, tremblements léger des mains, chatouillement, etc. Picotement à la peau, pied et main, froid et chaud anormaux, crampe, faiblesse des jambes et tremblement des mains, éblouissement. Bourdonnements. Étourdissement

se plombait, avec des tons verts" , l.11-12, "il restait un gros quart d'heure plié en deux", l.20-21. IA De même pour le pittoresque sordide de certaines notations auditives. On entend Coupeau "toussant et claquant des os (...) et lâchant de la pituite", ce liquide glaireux que les alcooliques rejettent le matin à jeun : les vomissements ne nous sont épargnés ! II° PARTIE Les "ravages" du corps s'accompagnent de "ravages" comportementaux et conjugaux. 1° § Le couple de Gervaise et Coupeau

ST GERMAIN COURC. TAUXELLES−FOUCHY TILLEULS ST GERMAIN COURC. ST GERMAIN COURC. DUFY CEZANNE PRINTEMPS MAIRIE ST GERMAIN MARAIS PONT DE L’ARCHE PAPIN ZI PIVOISONS PAPIN PERRIERES PITUITES COMTE OLIGNY LOGE GAULIN ANTES CIMETIERE INT. MEDERIC CTRE CIAL ST ANDRE MAITROT BALTET MAUGOUT TILLEULS DIDIER DELESTRAINT J. D ARC GARE PATTON GARE CARNOT PALAIS DE JUSTICE DE GAULLE J. MOULIN ARGENCE GARE PERIER FONTAINE JAURES SAUSSIER HALLE THEATRE DE CHAMP. TOUR JACQUIN BILLOTTE TAMARIS BROCARD SECURITE

substantif « humour» est un emprunt à l'anglais au XVIIIe siècle alors même que le mot anglais s'est forgé à partir du français « humeur ». A l'époque, on désignait en français par « humeur» les liquides censés gouverner le corps (le sang,le flegme (pituite), la bile, l'atrabile). Dans la pensée médicale de l'époque, leur équilibre assurait celui du corps humain, toute atteinte pathologique étant le résultat d'un déséquilibre. La fréquence des saignées au XVIIe siècle illustre cette croyance: une bonne

l’alcoolisme devient chronique, Coupeau ne travaille plus. (texte 31) – Coupeau, malade, a dévasté la chambre, ce qui pousse Gervaise dans celle de Lantier. (texte 32) – "Le pichenet et le vitriol l’engraissaient, positivement." (texte 33) – la pituite. Coupeau se soigne à l’eau-de-vie. (texte 34) – à Sainte-Anne, fluxion de poitrine, délire passager. Cauchemars, hallucinations puis rémission. (texte 35) – "la boisson lui ôtait toute conscience du bien et du mal". (texte 36) – "Son corps imbibé

Coupeau vie. Zola utilise également un vocabulaire assez cru pour renforcer l'impression de réel, avec ces expressions "fricot","viande". b)Symptôme de l'alcoolisme et comportement Les symptômes de Coupeau : -la présence des crampes, des pituites de Coupeau: allusion à la dépendance alcoolique. -le tremblement des mains de coupeau 'accentue les symptômes d'un alcoolique. -L'hyperbole utilisé amplifie les méfaits de l'alcool : Les crampes abominables de Coupeau -Les tremblements de Coupeau:

* Précoce : aliments peu fragmentés; * Tardif : aliments digérés qui ont été ingérés 1 à 2 jours auparavant : vomissements de stase qui témoignent d'un obstacle à l'évacuation gastrique; exemple : sténose du pylore. * Aqueux : la pituite est le rejet par la bouche, le matin à jeun, d'un liquide filant, aqueux, alcalin, symptomatique d'une gastrite le plus souvent éthylique. * Bilieux : * Le rejet de bile peut survenir normalement à la fin d'un vomissement alimentaire;

le suc pancréatique et l'insuline.       Pancréatectomie Ablation partielle ou totale du pancréas. Pancréatite Inflammation du pancréas.        Parotidite Inflammation des glandes parotides. Péritonite Inflammation du péritoine.         Pituite Vomissement glaireux. Pléthorie Enorme appétit au moment des repas. Polydipsie Soif excessive. Polyphagie Besoin excessif de manger. Proctologie Etude des maladies de la région anale et rectale. Pylore Orifice faisant communiquer l'estomac