Place du Châtelet

Il est surtout reconnu pour ses natures mortes, sespeintures de genre et ses pastels. (La raie, bénédicité...) Mme de Châtelet: Gabrielle-Émilie Le Tonnelier de Breteuil, plus connue sous le nom de "marquise du Châtelet", est née à Paris le 17 décembre 1706, et morte à Lunéville le 10 septembre 1749. Si elle est reconnue dans le monde des savants, la marquise du Châtelet suscite des écrits assez acerbes de la part de certains de ses contemporains : elle est souvent décrite comme une femme laide

chiffrer le nombre de peines capitales prononcées au Moyen Âge est vaine. Les sources judiciaires sont trop fragmentaires et elles ne donnent qu’une vue partielle. Elles peuvent aussi être biaisées comme cela a pu être le cas pour le Registre du Châtelet à Paris pour la période 1389-1392 qui recense 73 condamnations à mort, mais dont on sait maintenant que c’est un apax à but politique, pour tenter de montrer ce que doit être une justice exemplaire. L’application de la peine de mort dépend aussi

Malakoff Plateau de Vanves Mairie d’Issy ( fin 2014) Porte Porte de Vanves d’Orléans Tolbiac Maison Blanche* 4 Buzenval Bercy Campo Quai Formio* de la Gare* Nationale* Adrienne Bolland Dugommier Saint Marcel Place d’Italie Glacière Plaisance* Parc des Expositions Corvisart Porte des Lilas Marie de Miribel Picpus Montgallet Gare d’Austerlitz Mairie des Lilas* Séverine Alexandre Dumas Reuilly–Diderot Les Gobelins

Dans le vocabulaire médiévale, en gros on peut dire que l'on distingue deux types de ville : – La cité, qui est une ville épiscopale, généralement une ancienne cité gallo-romaine. Qui se caractérise par son enceinte urbaine (qui remonte, si on se place aux début du XII ème siècle, l'enceinte urbaine remonte au IIIème ou IVème siècle [donc à l'époque des invasions]) et se caractérise aussi par la présence de l'église-cathédrale, et puis en générale beaucoup d'autres églises. Cette cité avait été le

de l’industrialisation est la cause initiale de ce bouleversement. L’armature de la ville éclate : -547 000 habitants en 1801 -1M en 1835 -2M en 1860 -3M en 1885 -4M en 1900 L’afflux de la population concentre principalement les quartiers de Chatelet, des Halles et St Antoine. -Années 1830 : préfet Rambuteau constate les embarras de la circulation et les problèmes d'hygiène qui se posent dans les vieux quartiers surpeuplés : il dit, « il faut donner aux Parisiens de l'eau, de l'air et de l'ombre »

bâtiments qui posent problème tombent en ruine pour contraindre les propriétaires à respecter les alignements de rue, est remplacé par une politique nouvelle d'expropriation massive. On fait de même pour la rue de la Bourse, autour du Louvre et de la place Vendôme. Deux types de blocages vont empêcher ces Préfets d'aller plus loin. Le premier est législatif, le second financier. La Loi du 16 septembre 1807 donnait aux pouvoir publics des moyens de contrainte pour forcer les nouveaux propriétaires

la langue est redevable du mot faire gémir la presse, maintenant sans application. L'imprimerie arriérée y employait encore les balles en cuir frottées d'encre, avec lesquelles l'un des pressiers tamponnait les caractères. Le plateau mobile où se place la forme pleine de lettres sur laquelle s'applique la feuille de papier était encore en pierre et justifiait son nom de marbre . Les dévorantes presses mécaniques ont aujourd'hui si bien fait oublier ce mécanisme, auquel nous devons, malgré ses imperfections

d’Espard et dans l’espoir qu’il atteigne une réputation. Elle abandonne Lucien sur les conseils de sa parente. Madame de Bargeton s'aperçoit que sa propre tenue ainsi que celle de Lucien est ridicule et s'appuie sur son ancienne compagnie le baron du Châtelet, courtisant de « La reine de province ». Elle voit en ce dernier, un espoir de rejoindre la noblesse parisienne. Représentative de la provinciale « montée » à Paris, elle espère convaincre par son caractère qui se veut malicieux en jouant de ses

Barre (1766) Entré au Panthéon en 1791 modifier François-Marie Arouet, dit Voltaire, né le 21 novembre 1694 à Paris, ville où il est mort le 30 mai 1778 (à 83 ans), est un écrivain et philosophefrançais qui a marqué le xviiie siècle et qui occupe une place particulière dans la mémoire collective française et internationale. Figure emblématique de la philosophie des Lumières, chef de file du parti philosophique, son nom reste attaché à son combat contre le fanatisme religieux, qu’il nomme « l’Infâme »

polovtsiennes mêlant danses folkloriques russes au ballet classique. Summum de la gloire « […] 1909 est l'année charnière qui va changer sa destinée. » (lignes 48 à 49) Du 18 mai au 18 juin 1909, les Ballets Russes se produisent au théâtre du Châtelet. Le public est conquit par ce programme et cette représentation d'art total. En effet, DIAGHILEV s'entoure de danseurs, chorégraphes mais aussi de peintres pour les décors et costumes et de musiciens. Parmi les peintres on trouve Alexandre BENOIS