Plaidoirie De Baudelaire

est  une  volonté  muette  et  absolue.  Aussi  comme  il  refuse  de  jouer  le  jeu  de l'accusé, il refuse de jouer le jeu d'une défense, maintenant ou plus tard. "[16]             Là, nous aboutissons à l'un des points clé du roman, celui de la plaidoirie de Julien, affirmation de la légitimité du désir:             "Messieurs les jurés,                L'horreur  du  mépris,  que  je  croyais  pouvoir  braver  au  moment  de  la  mort,  me  fait  prendre  la  parole. Messieurs,  je  n'ai  point 

elliptique « Cette atroce persévérance ! » poursuivent la défense de la boue comme victime innocente et font du passage d'un réquisitoire : le poète est profondément investi dans sa défense de la boue (l’un des nombreux titres envisagés est Plaidoirie au procès de la boue ) et l’attaque de ses contempteurs. 2° mouvement (l. 7 à 14) = Déclaration d’amour du poète, célébration de la beauté de la boue l.7-8 : Boue si méprisée, je t'aime. Je t'aime à raison du mépris où l'on te

général des sujets publicsla législation, les finances, la paix, le chômage, la sécurité, la diplomatie… cf. : opportun =/= inopportun | | le discours judiciaire | le tribunal • dans les procès : les plaidoiries cf. les 2 pôles accusateur - défenseur ! [ le réquisitoire =/= la plaidoirie ] • un auditoire spécialisé | Sujets abordés : par ex. • le vrai , le faux • l’(in)justice cf. les faits qui se sont déjà passés établir, qualifier, juger | le discours démonstratif | Il concerne par

respire jusque dans les Femmes d’Alger, son tableau le plus coquet et le plus fleuri. Ce petit poème d’intérieur […] exhale je ne sais quel haut parfum de mauvais lieu qui nous guide assez vite vers les limbes insondés de la tristesse. » disait Baudelaire à propos de l’œuvre de Delacroix. La tristesse surpasse donc la beauté de cette représentation du huis-clos, et la peinture reste teintée d’une mélancolie implicite, mais bien présente et qui va être mise en parole dans le récit d’Assia Djebar.

la sensibilité à la raison classique. Parmi les écrivains de ce siècle nous trouvons Mme de Staël, Alfred de Vigny, Alfred de Musset, Victor Hugo, Benjamin constant, Lamartine, Gustave Flaubert, Verlaine, François- René de Chateaubriand, Charles Baudelaire et ainsi de suite. 2 Le romantisme a ses thèmes propres à savoir; le lyrisme personnel, l’ennui, la mort, la nature, l’amour, le destin, la fatalité, l’exaltation du moi et le souvenir. Enfin, le romantisme poursuit la libération de l’art ; le

peut refuser). ✓ Quand ni coordonne deux termes appartenant à la même catégorie, ni doit être répété devant chaque terme et le verbe est précédé de ne : - Cela ne pouvait être dit ni plus tôt ni plus tard. (Diderot) - Il n’y aura ni procès ni plaidoirie. (Tournier). Selon leur fonction, les constituants coordonnés par ni précèdent ou suivent le verbe : - Ni les conseils de ses amis ni les critiques de ses ennemis ne peuvent le faire changer d'avis. - Il n'aime ni Andromaque ni Phèdre. ✓

ouvrages scolaires, les réglementations liés aux bibliothèques publique. En 1857, deux procès intentés contre Flaubert et Baudelaire: Flaubert, Madame Bovary, pour immoralisme pour avoir présenté comme héroïsme, une adultère, qui délaisse ses enfants et qui se suicide. Acquitter car il dénonce le vice et c'est un roman très moral et qu'il ne fait pas l'éloge du vice. Pour Baudelaire, les fleurs du mal, homosexualité féminine, drogue, perversions sexuelles... Il a été condamné, 6 poèmes du recueil ont

points de vue, chacun ne doit pas être enfermé dans son impression personnel, c’est un jeu de renvoi entre les impressions dans un monde commun, il ne faut pas appeler un chat un chat parce qu’un chat est beaucoup plus qu’un chat (les chats de Baudelaire), un chat peut désigner, évoquer une quantité extraordinaire d’états d’âme la poésie ⇾ créer un monde à partir des mots il n’y a pas de monde sans parole, la parole est toujours indissociable de la culture dans laquelle on est, la culture est

ses enfants pris en bloc. Le destinataire peut être aussi le narrateur lui-même, accréditant par là l'interprétation religieuse (le récit étant proche alors d'un examen de conscience tel que le pratiquaient Thérèse d'Avila, citée en épigraphe, ou Baudelaire à qui renvoie le titre («Ah ! que n'ai-je mis bas tout un nœud de vipères,/ Plutôt que de nourrir cette dérision !» [dans le poème liminaire des “Fleurs du mal”, ‘’Bénédiction’’]). On lit page 72 : «Au fond, c'est pour moi-même que j'écris». La

ses enfants pris en bloc. Le destinataire peut être aussi le narrateur lui-même, accréditant par là l'interprétation religieuse (le récit étant proche alors d'un examen de conscience tel que le pratiquaient Thérèse d'Avila, citée en épigraphe, ou Baudelaire à qui renvoie le titre («Ah ! que n'ai-je mis bas tout un nœud de vipères,/ Plutôt que de nourrir cette dérision !» [dans le poème liminaire des “ Fleurs du mal ”, ‘’ Bénédiction ’’]). On lit page