Plaidoirie Le Bonheur Dans Le Crime

torturante posée à la société et à l’Histoire.«Drame intérieur», ce livre, dont l’auteur justifie l’appellation de «roman» dans une lettre à son éditeur, détaille au fil de 49 chapitres l’implacable marche à une mort annoncée pour prononcer une «plaidoirie générale et permanente pour tous les accusés présents et à venir».À la prison de Bicêtre, un condamné à mort note heure par heure les événements d’une journée dont il apprend qu’elle sera la dernière. Il rappelle les circonstances de la sentence

de la société du XIXe siècle tel que la corruption et l'antisémitisme. Zola s'engage dans une véritable plaidoirie contre l'injustice et l'intolérance, l'affaire Dreyfus prend une tout autre dimension et se dresse rapidement en conflit social et politique. Zola y fait le choix d'un vocabulaire agressif et injurieux pour les personnes mises en cause: «mensongers», «frauduleux», «abominable», «crime juridique», «viole le droit», «esprits de malfaisance sociale». Cette mise en accusation directe et franche

4. Marques d'exagération. Répétitions : de la forme négative dans le premier paragraphe, du verbe craindre (3e et 4e paragraphes), du déterminant « aucune » (3 e, 5 e et 7 e paragraphes), des substantifs « adultère » (2e, 4e et 6e paragraphes), « crime » (4e et 6e paragraphes) et « idée » (2 e, 3 e, 4 e et 6 e paragraphes) ; — adverbes : « tout à coup » (2e, 3e et 6e paragraphes), « en foule », « jamais » ; — adjectifs exprimant la subjectivité : « affreux » (cinq occurrences) ; « dégoûtant », «

débats des «Chambres». Il revient cependant, au sujet de la peine de mort en évoquant d’autres méfaits réels de la justice commis en 1831, non sans retomber encore dans un accès de pamphlétaire. Et il clame : «le gros du peuple souffre», est voué au «crime» et au «vice», au «bagne» et au «lupanar», est victime d’une «maladie» (79). Il établit une échelle entre des châtiments : «la flétrissure» (la marque au «fer rouge») qui a été supprimée, «le bagne» et «la peine de mort» qu’il faudrait supprimer aussi

témoin et non le personnage se faisant condamné. Il fait des réflexions, pense à la ressemblance de la prison à des livres qu’il a lus. Il dit même à la page 66 que tout paraissait comme « un jeu ». Il parait étonnamment calme et serein, mais après son crime.2. Qu’est-ce qui montre que Meursault ne se considère pas comme un criminel?Il dit :«[J]’allais même lui tendre la main, mais je me suis souvenu à temps que j’avais tué un homme.»Il se comporte et il parle comme il a fait tout au long de la première

honorable. Il montra ensuite sur un chariot qui le mènera sur la place Saint Georges devant n public nombreux. Placé sur un échafaud, il aura les mains brisées par le bourreau. Face tournée vers le ciel, pour vivre en peine et en repentance de son crime, tout en donnant terreur aux méchants  fonction de la peine, de manière théorique : montrer aux méchants ce qu’ils encourent face à une attitude semblable, mais il y a aussi une rédemption possible. Puis son corps mort sera brûlé, ses cendres dispersées

bonnes | | | |un soldat, |actions, Zadig n’est pas cité. A la fin de ces | | | | |plaidoiries le roi raconte la bonne action de | | | | |Zadig qui reçoit alors la coupe garnie de | | | |

fonctionné(couru), elle a été debout clignotant après eux et n'a pas suivi. Quand la classe a chanté des chansons du bonheur et la vie et des jeux ses lèvres à peine émues(déplacées). Seulement quand ils ont chanté du soleil et l'été a fait son mouvement de lèvres comme elle a observé les fenêtres trempées. Et ensuite, bien sûr, le plus grand crime de tout était qu'elle était venue ici seulement il y a cinq ans de la Terre et elle s'est rappelée le soleil et la façon(le chemin) que

sens premier + expliquer valeur étymologique du terme] 2. Etudier la structure du texte. Comment se structure ce passage ? [Trois parties • Introduction = premier §. Fait bilan de son état • Référence au passé « autrefois ». § sur le bonheur et la liberté. Nombreux termes aux connotations mélioratives. • Oppose « Maintenant » (reste du texte) càd, le présent misérable d’un condamné à mort enfermé dans sa prison. 3. Pour quelle raison le dernier § est-il plus long que le précédent 

la main jusqu’à la sonnette. » Livre I Chapitre 6Au chapitre 18, Madame de Rênal obtient que Julien puisse parader en habit de garde d’honneur lors de la visite du roi (Livre 1, chapitre 18). Julien se découvre beau et va ressentir une forme de bonheur.« Pendant qu’il était l’occasion de tant de propos, Julien était le plus heureux des hommes. Naturellement hardi, il se tenait mieux à cheval que la plupart des jeunes gens de cette ville de montagne. Il voyait dans les yeux des femmes qu’il était