Plaidoirie Robert Badinter

et un grand Jean Moulin l'attendent au pied de la passerelle.) Le 5 février 1983, il est livré à la justice française et conduit à la prison de Montluc, à Lyon. (L'arrivée de Barbie à la prison de Montluc à Lyon. Le ministre de la justice,Robert Badinter, a fait réaménager à la hâte cette prison : Barbie devait être emprisonné là où il avait sévi, coucher là où il avait torturé.) Comme la prison de Montluc n'offre pas toutes les garanties de sécurité, le détenu sera transféré à la prison Saint-Joseph

décisions sur des désaccords et des litiges (contentieux) et préserver les valeurs essentielles de la société. Le palais de justice d’Albertville a été inauguré le 15 avril 1985 en présence de Monsieur le Garde des seaux, Ministre de la Justice Robert Badinter (stèle à l’entrée du Tribunal de Grande Instance d’Albertville). Il est situé 32 Avenue des Chasseurs alpins à Albertville en Savoie. Le tribunal d’Albertville est composé de 4 étages et de 10 services. Les services du tribunal sont :

mieux, pour l’ordinaire, par les raisons qu’on a soi-même trouvées, que par celles qui sont venues dans l’esprit des autres »(Esprit Géométrique). 3 Les types de discours de la persuasion et de la non per- suasion Les discours de la persuasion : la plaidoirie, la harangue politique, le sermon, le tract, le placard publicitaire, le pamphlet, la fable, la lettre de demande, l’essai, le traité philosophique, théologique, ou de sciences humaines. 4Les discours de la non persuasion : le poème lyrique, la

Candide de Voltaire + textes fin du livre : lutte contre l’esclavage → Le dernier Jour d’un condamné de Victor Hugo + discours de Badinter et procès de Ranucci avec Paul Lombard : lutte abolition de la peine de mort (atteinte) → La Déclaration des droits de la Femme et de la Citoyenne d’Olympe

« Voilà à peu près textuellement…. » : l’ironie se lit dans les expressions connotant une approximation « à peu près », « plus ou moins ». Ces parquets apparaissent comme des lieux où l’on radote, où la justice devient mécanique et non réfléchie. Les plaidoiries deviennent vides de sens à force d’être répétées. La justice n’est plus individuelle (alors que c’est un principe fondamental de la justice française), ce que soulignent le pronom « tous » et le chiffre « cinq cents » : la justice s’uniformise.

« Voilà à peu près textuellement…. » : l’ironie se lit dans les expressions connotant une approximation « à peu près », « plus ou moins ». Ces parquets apparaissent comme des lieux où l’on radote, où la justice devient mécanique et non réfléchie. Les plaidoiries deviennent vides de sens à force d’être répétées. La justice n’est plus individuelle (alors que c’est un principe fondamental de la justice française), ce que soulignent le pronom « tous » et le chiffre « cinq cents » : la justice s’uniformise.

« Voilà à peu près textuellement…. » : l’ironie se lit dans les expressions connotant une approximation « à peu près », « plus ou moins ». Ces parquets apparaissent comme des lieux où l’on radote, où la justice devient mécanique et non réfléchie. Les plaidoiries deviennent vides de sens à force d’être répétées. La justice n’est plus individuelle (alors que c’est un principe fondamental de la justice française), ce que soulignent le pronom « tous » et le chiffre « cinq cents » : la justice s’uniformise.

pouvoirs », Le Monde, 2 mars 2010. Document 2 : Conseil constitutionnel, décision n° 88-244 DC du 20 juillet 1988, « Amnistie » Document 3 : Conseil constitutionnel, décision n° 93-325 DC du 13 août 1993, « Maîtrise de l’immigration » Document 4 : Robert Badinter, « Le pouvoir et le contre-pouvoir », Le Monde, 23 novembre 1993 Document 5 : Extrait de l’entretien de Pascal Clément, Garde des Sceaux, à la station « France-Info » de RadioFrance, le lundi 26 septembre 2005 ; et réponse de Pierre Mazeaud, président

participation de nombreuses personnes que je remercie pour leur accueil et leur soutien. J'adresse d'abord mes remerciements au Ministère de la Justice à qui je dois la mise en place administrative et financière de ce projet. Je remercie Philippe Robert pour son soutien dans mon entreprise, les magistrats et avocats qui ont accepté de se prêter aux entretiens, aux greffiers qui m'ont permis l'accès aux sources de données, ainsi qu'au personnel de la Bibliothèque de la Chancellerie et du

jusqu’à nos jours, Paris, Larose et Forcel, 1882, p. 419). C’est d’ailleurs cette crainte instinctive des jurés d’être à leur tour jugés par l’opinion qui offrira à certains avocats la trame de mémorables plaidoiries, comme celle de Robert Badinter, lors du procès Patrick Henry en 1977 (Robert BADINTER, L’abolition, Paris, Fayard, 2000, p. 99). 25 GILLET, op. cit., T.II, n°3748. 26 Les circulaires ministérielles du 16 août 1842 (Recueil officiel des instructions et circulaires du ministère de la Justice