Plaidoyer Ironique

questionnant sur leurs craintes, elle les balaie : elles sont infondées. - D’ailleurs, elle les oppose à « une si belle entreprise », l’adverbe intensif « si » insistant sur la beauté de leur action à venir. - Elle répond à la 1re question par une deuxième, ironique : « Le bon mot du législateur de Cana ? ». Le « législateur des noces de Cana » est une périphrase pour désigner Jésus. Elle effectue une parabole inversée, c’est-à-dire qu’elle se réfère à un épisode de la Bible pour le détourner, remettant en cause

représentations du Peuple dans les poèmes et dans les titres. Parcours n°1 : Le plaidoyer pour le peuple : « les mourants formidables » (p.179) Lecture analytique n°1 : Juin 1871, III, « Paris incendié », « J’accuse la misère … cette effroyable année » Projet de lecture : comment le poète se fait-il la voix du Peuple supplicié ?  Un formidable procès  L’épopée du mal Parcours dans l’œuvre : le sens du plaidoyer : innocenter le Peuple. Exercice d’écriture /Oral : Sujet d’invention : En vous inspirant

poète dans cette petite pièce de théâtre en plusieurs actes où alternent récit et paroles : - premier acte : les ravages de la peste (vers 1-14) ; - deuxième acte : le raisonnement du lion et sa confession (vers 15-33) ; - troisième acte : le plaidoyer du renard et la disculpation de tous les puissants (vers 34-48) ; - quatrième acte : la confession de l’âne ( vers 49-55) ; - cinquième acte : sa condamnation et son exécution (vers 56-62). Il se déroule, comme toujours chez La Fontaine, à travers

poète dans cette petite pièce de théâtre en plusieurs actes où alternent récit et paroles : - premier acte : les ravages de la peste (vers 1-14) ; - deuxième acte : le raisonnement du lion et sa confession (vers 15-33) ; - troisième acte : le plaidoyer du renard et la disculpation de tous les puissants (vers 34-48) ; - quatrième acte : la confession de l’âne ( vers 49-55) ; - cinquième acte : sa condamnation et son exécution (vers 56-62). Il se déroule, comme toujours chez La Fontaine, à travers

recruter des alliées pour Athènes. C un aristocrate ambitieux (l. 14 « fils d'Erasistratos ( :pas trouvé qui est, ce, les 2 seuls sont : soit un grd scientifique de Céos soit un grd tyran (l'un des 30 tyrans d'Athènes sur lequel Lysias (ecrivain de plaidoyers) mais les dates ne correspondent pas), son parcours politique avait été associé à des procés où il avait risquait gros. Cependant, il restait néanmoins un adversaire redoutable pour Alcibiade. Plutarque explique au ligne 15 à 18, que Phéax était

1829, il avait publié un court texte contre la peine de mort : le Dernier Jour d’un condamné. D’emblée, le récit hugolien, quoique pittoresque et romanesque, prit une orientation très critique : raillant les genres en vogue, il exposait, sur le mode ironique le plus souvent, les problèmes de l’actualité politique et sociale ou de la misère ouvrière (Han d’Islande), tout en s’interrogeant sur les moyens par lesquels le peuple pourrait conquérir le droit à la parole (Notre-Dame de Paris). Au fil du

abandonnés à une agonie effroyable ? » Comment ne pas plaindre aussi le héros, qu’Izquierdo torture ainsi savamment : « Et moi, je te plains. Je te plains de toute mon âme, car ton épreuve sera dure, très très dure ». Là où la réplique d’Izquierdo est « ironique », le public, lui, ne peut que partager l’angoisse de Montserrat. Mais c'est aussi la terreur que nous éprouvons devant le comportement d'Izquierdo, véritablement sadique, ou devant ce religieux, le Père Coronil, qui ne pense qu'à exterminer le “Damné”

interprétation.Plan de l’extrait : 1° mouvement (l. 1 à 6) = Un éloge paradoxal 2° mouvement (l. 7 à 14) = Déclaration d’amour du poète, célébration de la beauté de la boue […] cf. texte intégral3° mouvement = (l.15 à 23) : refus ironique des formes achevées, qu’elles soient matérielles ou poétiques)1° mouvement (l. 1 à 6) = Un éloge paradoxal l.1 : « La boue plaît aux cœurs nobles parce que constamment méprisée ». - La première phrase énonce tout de suite avec un présent

dont Usbek se croyait le bénéficiare privilégié : « tu me croyais trompée, et je te trompais », écrit l’épouse qui a feint la soumission pour ensuite se libérer. Si le discours de dénonciation est véhément chez Montesquieu, il prend un tour plus ironique chez Louis-Sébastien Mercier. Ce grand ami d’Olympe de Gouges y affirme l’« égalité de talent » entre les femmes et les hommes et montre que c’est du fait de la seule jalousie de l’homme qui « redoute toujours dans la femme une supériorité quelconque

| Une conclusion faite sur le talent de Molière puis trois exemples de comédies de Molière où l’on trouve le vice. | 5. Premier placet envoyé au roi sur la comédie du Tartuffe (XVIIème siècle) | Lettre | Comédie (théâtre) | Vertueux, moral | Plaidoyer : Il se défend en expliquant les faux dévots : * Ecrits contre la religion. | 6. Préface de Phèdre (XVIIème siècle) | Préface | Théâtre, tragédie | Vertueux et moral | Eloge de Phèdre car tous les défauts sont punis. | La Querelle du Cid :