Plaidoyer Requisitoire

solidarité future. Meursault s'est rendu coupable d'un crime sans en connaître véritablement le motif. Il semble assister en spectateurs à son propre procès, retranché en lui-même devant la réquisitoire du procureur qui lui reproche son insensibilité au moment de la mort de sa mère, mais aussi devant le plaidoyer de son avocat face auquel il semble aussi dubitatif. Meursault donne une image de passivité : la narrateur exprime son étonnement devant ce qui lui arrive. Les moments d'absence et de retour

illustré par des exemples précis ; - une conclusion : elle comporte deux parties (récapitulation et ouverture). L'écrit d'invention Il existe plusieurs sortes d'écrits d'invention : les écrits à visée argumentative (éloge ou blâme, plaidoyer, réquisitoire, dialogue argumentatif) ; les réécritures (par imitation d'une forme de discours, d'un genre, d'un registre ; par transposition du genre, du registre ; par amplification : étoffer un récit, trouver un autre dénouement) La préparation

adverse est valide, pour ensuite, réfuter le reste de la thèse. C'est un bon moyen de convaincre dans la mesure où la concession permet d'entrer dans le raisonnement de l'adversaire pour mieux le dépasser. - Un réquisitoire : discours prononcé pour accuser - Un plaidoyer : discours visant à défendre - Implicite = ce qui est sous-entendu, présupposé - L'ironie : du grec « eironeia » qui signifie « interrogation ». Le terme doit son sens précis à la méthode de Socrate qui

achève la dernière préface du Dernier Jour d'un condamné en 1832. Quand il découvre dans la Gazette des tribunaux du 19 mars 1832, le compte rendu du procès d'un certain Claude Gueux condamné à mort pour meurtre, il y découvre comme un écho de son plaidoyer contre la peine de mort et décide alors d'en faire un roman. Il retranscrit donc la vie de Claude Gueux dès son entrée dans la prison jusqu'à son exécution en passant par les motifs de son crime et son procès. Suit ensuite une longue réflexion de

adverse est valide, pour ensuite, réfuter le reste de la thèse. C’est un bon moyen de convaincre dans la mesure où la concession permet d’entrer  dans le raisonnement de l’adversaire pour mieux le dépasser. -       Un réquisitoire : discours prononcé pour accuser -       Un plaidoyer : discours visant à défendre -       Implicite = ce qui est sous-entendu, présupposé -       L’ironie : du grec « eironeia » qui signifie « interrogation ». Le terme doit son sens précis à la méthode de Socrate qui

qu'il propose : il sait pouvoir compter sur sa cour... 3ème partie, v. 34-48 : la réponse des courtisans. "Sire, dit le Renard..." : on s'attend à un pareil examen de conscience, mais le Renard, fin courtisan, s'en garde bien. Il se contente d'un plaidoyer des plus flatteurs pour le Roi, justifiant à la fois son comportement de prédateur et ses crimes. Au passage, nous relevons la hiérarchie animalière – les moutons sont ici les représentants du peuple, profondément méprisé, et que l'on peut impunément

modalisateurs : « [je n’ai] pas trop » (l. 18), « n’est-ce pas assez que » (l. 20), • implique son interlocuteur à travers des questions rhétoriques • vivifie son discours par le style direct, en y insérant une conversation fictive III. Un plaidoyer-réquisitoire caractéristique des Lumières a. une vision nuancée et moderne de la femme • admet la différence et l’infériorité physique de la femme, elle est consciente des inconforts de la physiologie féminine • revendique l’égalité homme-femme, fondée

l’arrivisme du jeune homme. Par vengeance Julien tire sur son ancienne maitresse sans la tuer. Julien se retrouve donc à son procès. Dans cet extrait du chapitre 41 il va dénoncer la société qui l’accuse. Nous verrons comment ce discours, ce plaidoyer devient un réquisitoire contre la bourgeoisie. Texte de « messieurs les jurés » à « Mme Derville jeta un cri et s’évanouit. »Dans une première partie nous verrons que Julien se présente comme un jeune homme révolté assumant pleinement son crime puis qu’il en

|rationnelle) |harangue[xv] (discours militaire), l’oraison[xvi] | | | | |(discours religieux), le plaidoyer (discours | | | | |judiciaire) | |2. Genre critique |Réflexion intellectuelle sur |Analyse et compréhension

esclave, « Aujourd’hui son vainqueur », il s’en sert pour se désigner et ne cesse de faire référence à sa condition d’esclave tout au long du texte : « esclave » (5, 29, 55, 67), « chaînes » (31), « fers » (46; 63), « captivité » (36). 1-2 Un réquisitoire contre Rome Son histoire n’a pu lui inspirer que de la haine pour Rome qu’il blâme en utilisant des termes aussi péjoratifs que « brigand » (38), « barbare(s) » (18, 71) ou « vil amas » (60) ; mais aussi l’ironie : « Rome, voilà quels sont tes