Plaisir Des Yeux Ruy Blas

Puis me baise et me presse et nous entrelassons Comme, autour des ormeaux, le lierre se plie. Dégraffe ce colet, m'amour, que je manie De ton sein blanchissant le petit mont besson : Puis me baise et me presse, et me tiens de façon Que le plaisir commun nous enivre, ma vie. L'un va cherchant la mort aux flancs d'une muraille En escarmouche, en garde, en assaut, en bataille Pour acheter un nom qu'on surnomme l'honneur. Mais moy, je veux mourir sur tes lèvres, maîtresse, C'est ma gloire

France par Victor Hugo avec la préface de Cromwell (1827) dans laquelle il proclame la liberté totale de l’invention et de la création théâtrale et rompt ainsi avec le théâtre classique et emprunte autant au baroque qu’au romantisme allemand (Hernani, Ruy Blas). On parlera alors de « drame romantique ». - Le théâtre du XXe siècle : Sur l'idée que l'homme n'existe que par ses actions et ses rapports avec les autres, Jean-Paul Sartre a produit Huis Clos et Albert Camus Caligula. D'autres auteurs appartiennent

représentatifs de ce siècle. Comme tous les modules d’Histoire littéraire, ILF II demande une grande participation de l’apprenant dans son apprentissage. En ce sens, nous vous invitons à lire les textes suivants : R. de Chateaubriand, Renée V. HUGO, Ruy Blas Hernani H. de Balzac, le Père Goriot STENDHAL, le Rouge et le Noir Flaubert, Madame Bovary ZOLA,l’Assommoir Introduction générale au module Qu’est-ce qu’un mouvement littéraire ? Cette notion, essentielle à la lecture historique de la littérature

lectures et activités » à titre de groupement de textes en rapport avec un objet d’étude ou de documents complémentaires. Nous espérons ainsi que la collection Bibliolycée sera, pour vous et vos élèves, un outil de travail efficace, favorisant le plaisir de la lecture et la réflexion. Table des corpus – 4 TABLE DES CORPUS Corpus Les morceaux de bravoure (p. 70) Composition du corpus Texte A : Extrait de la scène 4 de l’acte I de Cyrano de Bergerac d’Edmond Rostand (p. 55, v. 310, à p. 59,

sauraient nier le plaisir de pouvoir lire à son rythme, de revenir à un passage choisi, de corner ou annoter une page plus charmante qu'une autre. L'argument peut paraître trivial mais il a son poids de réalité quotidienne, une salle de théâtre ne tient pas dans la poche ! Un livre c'est aussi à ce titre la possibilité d'emporter l’œuvre avec soi, de l’assujettir un peu à nos caprices géographiques et d'en faire un gage « d'autonomie intellectuelle ». Plus peut être que le plaisir inhérent à la lecture

garde aussi l’image de la femme mais oppose à la mère de Tebaldeo, la « catin » car Florence est devenue une ville de débauchés. 3 a) Lorenzo est décrit par le duc dans la scène 4 : « ce petit corps maigre, ce lendemain d’orgie ambulant (…) ces yeux plombés, ces mains fluettes et maladives ». C’est un jeune homme frêle que le duc présente comme une femme : « une femmelette » qu’il appelle Lorenzetta. Pour sa mère, « il n’est même plus beau », sali par la débauche. C’est donc un portrait peu flatteur

complices et dont nous décodons avec plaisir le double langage (prise de fuite purgative, deux drachmes de matrimonium…). Nous avons compris qu’à la barbe de Géronte, la solution proposée par Sganarelle aux amoureux est la fuite et la mariage secret. ÉCRITURE Voici la dernière scène de la pièce, Acte III, scène onze (et dernière). LÉANDRE, GÉRONTE, SGANARELLE, MARTINE, LUCINDE, JACQUELINE, LUCAS. LÉANDRE – Monsieur, je viens faire paraître Léandre à vos yeux, et remettre Lucinde en votre pouvoir

de la poésie est-elle, selon vous, de célébrer l’amour ou privilégiez-vous d’autres fonctions ? Invention : Dans la préface d’une anthologie de poèmes d’amour que vous avez réunis, vous démontrez comment l’inspiration poétique et l’amour sont à vos yeux liés. Rédigez cette préface. Question : Quels sont les différents destinataires de ces poèmes ? Commentaire : Musset, « A George Sand », Poésies posthumes Dissertation : « Ah, insensé, qui crois que je ne suis pas toi ! » a écrit Victor Hugo dans la

mets piquant, varié, savoureux, de ce qui sur le théâtre classique est une médecine divisée en deux pilules. 1 Celles dont il est question plus haut dans le texte, c’est-à-dire « le plaisir sérieux » et « le plaisir folâtre ». Quelques drames romantiques : Hugo (1802-1885) : Cromwell (1827) Hernani (1830) Ruy Blas (1838) Musset (1810-1857) : Lorenzaccio (1834) Vigny (1797-1863) : Chatterton (1835) Conseils de lecture Comment étudier un roman ? À quoi doit-on s’intéresser lorsqu’on étudie

aussi l’image de la femme mais oppose à la mère de Tebaldeo, la « catin » car Florence est devenue une ville de débauchés. 3 a) Lorenzo est décrit par le duc dans la scène 4 : « ce petit corps  maigre, ce lendemain d’orgie ambulant (…) ces yeux plombés, ces mains fluettes et maladives ». C’est un jeune homme frêle que le duc présente comme une femme : « une femmelette » qu’il appelle Lorenzetta. Pour sa mère, « il n’est même plus beau », sali par la débauche. C’est donc un portrait peu