Plaisir Des Yeux Ruy Blas

la population française, notamment jeune, n'ayant de choix, dans le marasme économique et politique où nous baignons, qu'entre radicalisme religieux, extrémisme politique et émigration professionnelle. «Quand l'âme a soif, disait Victor Hugo dans Ruy Blas, il faut qu'elle se désaltère, fût-ce dans du poison!»,en l'occurrence celui du radicalisme salafiste et djihadiste. Ils révèlent aussi un affaissement intellectuel. Celui de la pensée musulmane d'un coté, incapable de colmater l'hémorragie djihadiste

Érec la quête, en deux phases : – la lutte pour le « moi » (vers 2761-3924) : Érec ne cherche pas mais subit l’aventure (attaque des trois, puis des cinq chevaliers, prétentions du comte de Galoin et combat avec Guivret le Petit). Il retrouve le plaisir du combat chevaleresque ; – l’aventure acceptée et la lutte pour le « toi » (vers 3925-5358) : après un interlude permettant de mesurer le parcours accompli par Érec, le chevalier se montre prêt à se sacrifier (et à sacrifier son amour) pour secourir

maître.  Écrivain sans cesse en quête de perfection esthétique, d’un style brillant et aéré, Henry de Montherlant est le créateur d’une œuvre où se font écho en s’opposant la morale chrétienne et la morale profane, le culte de l’héroïsme et celui des plaisirs.  Month range ses pièces en deux catégo : - les pièces « en costumes » = pièce histo. ( RM (Portugal du XIVe s.) ( Le Maître de Santiago (1947 : Castille du XVIe) ( Malatesta (1950, It de la Rens) ( Port-Royal (1954 Fr du XVIIe s.) (

écrit ainsi : «Le romanticisme est l'art de présenter aux peuples les œuvres littéraires qui, dans l'état actuel de leurs habitudes et de leurs croyances, sont susceptibles de leur donner le plus de plaisir possible. Le classicisme, au contraire, leur présente la littérature qui donnait le plus grand plaisir à leurs arrière-grands-pères.» (Racine et Shakespeare, 1823). Par là s'explique aussi le goût des Romantiques pour le folklore et la couleur locale. « Le classicisme, c'est la santé; le romantisme

« tyrannos » (roi élu par acclamations), il était un « basileus » (fils d’un roi de droit divin). Il se croyait un époux, il était un fils. Il se croyait le héros sauveur d’une cité, il était sa honte et la cause de sa perte. Et c’est après s’être crevé les yeux qu’enfin il voit clair. 3. Euripide (-480/-406, 74 ans). Le grand classique des –4ème et –3ème siècles. On joue encore un peu Sophocle, mais plus du tout Eschyle. Sa gloire posthume sera immense   c’est lui qu’on adapte, c’est lui qu’on imite

retentissant dans la préface de Cromwell (1827), ainsi qu’un recueil (Les orientales, 1829). Le romantisme en tant qu’école est né. ZOOM Le drame romantique Le théâtre classique, avec ses règles, ses contraintes techniques et ses bienséances morales aux yeux des romantistes est une muraille à abattre. Refusant la structure de la tragédie comme forme d’un autre âge, et s’inspirant de la liberté du théâtre Shakespearien ils portèrent contre elle les plus virulentes attaques. Racine et Shakespeare de Stendhal

cette nature déchaînée et hostile correspond cependant bien à l’état d’agitation et de crainte qui assaille le personnage, tandis que dans le document 4, elle accompagne René en proie à ses désirs d’évasion, et que dans le document 7 elle suscite le plaisir et l’admiration du poète (« et l’âme qui fait que ces choses sentent et qu’on les sent ») ; dans le document 3, c’est le mouvement régulier de l’eau qui suscite la rêverie du poète et son sentiment de bien-être ; enfin, l’ensemble du dernier paragraphe

qui serait malade et l’aurait chargé de le remplacer pour la leçon de musique de Rosine. Pour vaincre la méfiance de Bartholo, il doit inventer un mensonge beaucoup plus compliqué : non, il n’est pas maître à chanter, mais doit passer pour tel aux yeux de Rosine ; c’est lui qui renseigne Bazile sur les faits et gestes du comte Almaviva ; il produit une lettre de Rosine au comte : Bartholo pourra s’en servir pour faire croire à sa pupille que le comte la trahit. Dès lors, Bartholo a toute confiance

tient les fils qui nous remuent » vers 13) : Satan s'empare de la volonté de l'homme (vers 11 : « le riche métal de notre volonté » qui est « vaporisé »). Le vers 12 montre la puissance de Satan qui peut vaporiser du métal. De plus, on retrouve le plaisir chez Satan avec l’oreiller qui y fait référence. L’emphase « c’est Satan [..] qui » souligne de nouveau l’attrait du Mal, c’est Satan qui dirige l’homme, et non dieu. - Des vices mortels L’homme n’a pas le courage de ses vices et cela est visible

était devenu un brigadier fort bien noté. Il était en passe d’être nommé maréchal des logis quand, étant de garde à la manufacture des tabacs de Séville, il vit pour la première fois la gitane Carmen qui y était cigarière. Dès le premier regard de ses yeux de braise, la belle, de noir vêtue, bouquet de cassie sortant de sa chemise, cigarette aux lèvres, lui fit perdre la tête. L’interpellant avec effronterie, elle le scandalisa et l'enflamma, même s’il voyait en elle le diable incarné. Deux heures plus