Plan La Cantatrice Chauve

fantaisies les plus débridées qu’il refuserait dans la vie réelle. Barème utilisé pour l’évaluation des copies : I) Introduction (3 points) 1) Présence et pertinence d’un préambule (0.5) 2) Annonce correcte du sujet (1) 3) Annonce correcte du plan (1.5) II) Développement (8 points) 1) Intérêt des arguments (3) 2) Intérêt des exemples et développement suffisant (3) 3) Intérêt de la progression des idées (2) III) Conclusion (2 points) 1) Bilan pertinent (1.5) 2) Ouverture appropriée (0

Soulier de Satin ; GIRAUDOUX, Electre). 2. Le théâtre engagé : auteurs ayant réfléchi et s'étant engagé dans la réflexion de l'atrocité de la vie (CAMUS et SARTRE). Auteurs existentiels. 3. Le théâtre de l'absurde : IONESCO, BECKETT, ADAMOV (La Cantatrice Chauve, En Attendant Godeau). Ce n'est plus le terme de l'absurde qui est développé, mais la communication entre les êtres qui est montré par un langage détaillant. Les mots n'ont plus de sens. C'est drôle, mais profondément tragique Le théâtre

bien ce côté factice et illusoire. Problématique : mais le théâtre est-il seulement artifice et conventions, qui, paradoxalement, créent l'illusion théâtrale à laquelle le spectateur aime se laisser prendre ? Ou dévoile-t-il la vérité ? Annonce du plan : s'il n'est pas, comme le dit Hugo, « le pays du réel », ne dépasse-t-il pas l'artifice pour viser une authenticité humaine et nous reconduire, par des détours, à ce que Hugo appelle le « vrai » ? I. Le théâtre, art de l'artifice et de l'illusion :

conventionnel de cette histoire. Le film surtout présenté de façon visuelle, paroles qui servent uniquement à échanger un amour d’amour : « Il dit je vous aime. Elle dit je vous aime aussi. ». Images percutantes comme dans le cinéma muet. Gros plan sur la baiser montrant un aspect agressif de la sensualité « on les mutile de leurs corps ». Aspect lié à la mort « comme dans la mort », « fatal », « linceul ». Baiser assimilé à un acte grotesque (« comme des poulpes ») et anthropophage : métaphore

paraît cupide et magicien de l’illusion, mais à certains moments, le protagoniste apparaît comme une victime de son propre comportement, et des mystères qu’il a lui-même entretenus. À ces instants précis, Knock a une dimension de sincérité qui laisse planer le doute quant à sa véritable identité. Par exemple, dans la dernière scène de la pièce, le docteur confesse la chose suivante : dès qu’il voit un visage, il ne peut désormais plus éviter d’y apposer un diagnostic. Le phénomène est si aliénant

ce côté factice et illusoire. Problématique : mais le théâtre est-il seulement artifice et conventions, qui, paradoxalement, créent l'illusion théâtrale à laquelle le spectateur aime se laisser prendre ? Ou dévoile-t-il la vérité ? Annonce du plan : s'il n'est pas, comme le dit Hugo, « le pays du réel », ne dépasse-t-il pas l'artifice pour viser une authenticité humaine et nous reconduire, par des détours, à ce que Hugo appelle le « vrai » ? I. Le théâtre, art de l'artifice et de l'illusion

écrite à l’aide écriture automatique) de A. Breton, La Courbe de tes yeux P. Eluard 4) En + : -explorer écriture automatique (état somnolence)=> Produire phrases que la raison n’aurait jms produite -affirmer puissance des images => mettre sur mm plan 2 termes opposés ex : « le ciel est bleu comme une orange » -multiplier jeux sur langage, volonté de langage neuf, sans contrainte -différence entre conscience et inconscience -existence d’un univers surréel ds lequel raison et logique n’ont

 Dans la  première moitié du XVIIe siècle . L'implication féminine dans la vie intellectuelle · Le mouvement précieux met les femmes au premier plan de la vie intellectuelle et littéraire : dans leurs  salons ,  Mme de Rambouillet  ou  Mme de Scudéry

Il faudra aussi imaginer les attitudes physiques des personnages. Pour Les Femmes savantes, il existe une version de la Comédie Française en cassette vidéo. * Molière : Les Femmes savantes : La scène du sonnet (III,2) * Ionesco : La Cantatrice chauve (scène 8) : le pompier raconte des anecdotes absurdes * Tardieu : Un mot pour un autre extrait à lire avec un autre de Un geste pour un autre (Théâtre de chambre, Gallimard) qui permet de comparer code conversationnel et code gestuel.

représentant du théâtre de l'absurde. Lorsqu’on évoque aujourd’hui le nom d’Eugène Ionesco, on pense d’abord à son théâtre et à la vague d’innovation dramatique de l’après-guerre qui l'accompagne. On songe aussi, presque immédiatement, à La Cantatrice chauve et à La Leçon, que le Théâtre de la Huchette n’a cessé de jouer depuis 1957. Des termes génériques nous viennent ensuite à l’esprit, comme le « théâtre de l’absurde » (Martin Esslin, 1961) ou le « théâtre de dérision » (Emmanuel Jacquart, 1974)