Planteurs De Surinam

Pendant cette période, les producteurs européens ont pris des directions différentes : pendant qu’aux Canaries, on développait en même temps une politique de qualité et des efforts de marketing en direction du marché espagnol, en Martinique les grands planteurs tentaient plutôt de copier les méthodes de la banane-dollar : industrialisation des techniques de production, réduction des coûts de main-d’œuvre... Les conséquences ont été désastreuses. « Après dix ans de ce régime totalement inadapté aux caractéristiques

années 1680 face à la concurrence des tabacs virginiens de meilleure qualité. Elle est remplacée par l’indigo et le sucre à la fin du XVIIème siècle. Or ces deux cultures demandent de gros investissements sur de grandes exploitations. Les anciens planteurs blancs de tabac, souvent étranglés financièrement et expropriés, se voient relégués aux activités secondaires ou aux tâches d’encadrement dans les grandes plantations. Ce sont eux qui, par concubinage avec des négresses, car la population compte

l’Inde et jusqu’au 19e pour l’Afrique et le reste de l’Asie. Le dernier quart du 18e, les anglais s’installent en terres australes (Australie puis Nouvelle Zélande). Les hollandais sont présents aux indes orientales (Indochine) et indes occidentales (Surinam, Aruba, Bonaire, Curaçao). La formation d’un empire colonial britannique se fait dans une relative continuité. La colonisation française est chaotique : elle est d’abord lancée en ordre dispersé par des entreprises privées et consolidée en un premier

syndicale et la protection du droit syndical Pays Argentine Bélize Bolivie Brésil Chili Colombie Costa Rica Cuba Équateur Guatémala Haïti Honduras Jamaïque Mexique Nicaragua Panama Paraguay Pérou République dominicaine Sainte Lucie Salvador Suriname Trinité-etTobago Uruguay Vénézuela 02/10/1968 14/11/2001 22/09/1970 27/03/1968 20/10/1971 02/09/1981 16/01/1967 15/12/1972 22/09/1966 18/01/1983 19/12/1972 10/10/2002 04/06/1971 20/02/1975 15/02/1978 16/08/1967 18/08/2003 29/11/1971 25/04/1983

le deux Ces par à la à qui société leurs et expor­ qu'action­ mieux fournisseur, mûris­ économi­ ont la à lui fournir la l'approvisionnement, le trame les et à semi- planteur et société de et circuit mûrisserie intérêts que distribution Bien la qui techniques mûrisseurs connaître plus prin­ petites exploitations. et production. l'offre un risque sage

s'étend sur 7 millions de km² et la forêt elle-même sur 5,5 millions de km², situé sur huit pays, essentiellement le Brésil (avec 60% de la forêt), mais aussi l'Equateur, la Colombie, le Venezuela, la France (via le département de la Guyane), le Suriname, le Guyana, la Bolivie et le Pérou. Cette forêt représente plus de la moitié des forêts tropicales restantes. La forêt amazonienne est la région la plus riche et diversifiée de toutes les forêts tropicales existantes. 1. Qu'est-ce que la déforestation

d'un point de vue sur la colonisation européenne: l'Europe soutenue par l'Afrique et l'Amérique (1796), illustrant un ouvrage de John Gabriel Stedman racontant une expédition de cinq ans (1772 à 1777) au Guyana contre les esclaves noirs révoltés du Surinam. Article détaillé : Empire britannique. L'Empire britannique est l'empire colonial le plus étendu au monde à partir de 1763. Au XIXe siècle il est sur tous les continents (on dit, comme pour l'Empire espagnol ou même encore comme l'Empire Français

EUROSTAT) Trois différentes structures de production peuvent être distinguées dans les pays producteurs (Fabre, 1997). - Structure monopolistique : C’est une organisation de plus en plus rare où l’Etat contrôle le secteur productif (exemple du Surinam) (cf. Annexe 5) - Structure oligopolistique : formée de quelques grandes unités de production qui représentent une majorité, voire la totalité des capacités de production et d’exportation des pays. (Côte d’Ivoire, Cameroun, Belize). (cf. Annexe

différentes. Haïti a proclamé son indépendance en 1804, et la première république noire du nouveau monde fut divisée par des rivalités internes. Le pays s’est rapidement enfoncé dans la misère parce qu’il s’est attelé a payer une dette colossale aux planteurs français qui avaient perdu « leurs terres ». pourtant ce pays qui détient le record de pauvreté dans l’hémisphère nord, est aussi celui qui a nourri un nombre record de talents. Trois autres territoires, naguère français, sont aujourd’hui des département

départ et d'arrivée les plus fréquentés : à Freetown (ici il y avait la plus grande concentration des commissions : l'anglo-allemande, l'anglo-espagnole, l'anglo-portugaise puis l'anglo-brésilienne), à Luanda, au Cap, Boa Vista, Rio de Janeiro, au Suriname, en Jamaïque, à La Havane et New York. Mais, malgré toutes ces mesures, la traite fleurissait comme jamais : la réalité était que, en effet, la demande en Europe des produits réalisés avec la main-d'ouvre esclave avait augmenté et ni le Brésil