Plassans

Grandmorin, le président de la Compagnie de l'Ouest et quand il est mort Grandmorin est devenu le parrain et tuteur de sa fille. Séverine n'a jamais connue sa mère et la mère Victoire étais sa nourrice. Roubaud a 40ans et est née dans le Midi à Plassans. Son père étais charretier. Roubaud qui est sous-chef a la gare du Havre est en déplacement a Paris pour une affaire avec le sous-préfet, une dispute avec le sous préfet a propos d'une place dans un train. Roubaud fera finalement une lettre d'excuses

d’état du 2 décembre 1851, organisé par Louis-Napoléon Bonaparte et ses conséquences . De nombreux soulèvements populaires ont lieu , notamment en Provence. Notre texte évoque une de ces insurrections républicaines dans les environs de la ville de Plassans . Zola y décrit dans un cadre naturel, l’avancée de milliers d’hommes, déterminés et combatifs. Il faudra s’intéresser à la manière dont l’auteur réussit à magnifier cet épisode et à lui donner une certaine grandeur . Nous verrons dans un premier

chez ces derniers et prends Virginie comme maîtresse. Il provoque la débauche et la ruine de la famille Coupeau . 4. Claude Lantier Claude est le fils cadet de Gervaise et Lantier , âgé de 8 ans au début du récit. Il est ensuite envoyé à Plassans chez un amateur de tableaux qui est chargé de son éducation. Il deviendra peintre. 5. Étienne Lantier Étienne est le fils cadet de Gervaise et Lantier, âgé de 4 ans au début du récit. Il se fait battre par Coupeau. Il travaille à la fabrique

vue omniscient et totalement objectif, à la troisième personne du singulier. Ils jouent un rôle important, voire majeur au sein d’un récit réaliste, et font partie du développement des personnages, notamment dans La Fortune des Rougon de Zola, où Plassans est au cœur de l’histoire de la famille des Rougon-Macquart et des amants Miette et Silvère. Les réalistes ont également recourt à des repères temporels, ce qui rend le récit plus vivant. Dans La Joie de Vivre, le lecteur est renseigné de l’heure

-Le- Vœu d'une morte (1866) -Edouard Manet (1867) -Les Mystères de Marseille (1867) -Thérèse Raquin (1867) -Madeleine Férat (1868) -Les Rougon-Macquart: -La Fortune des Rougon (1871) -La Curée (1872) -Le Ventre de Paris (1873) -La Conquête de Plassans (1874) -La Faute de l'abbé Mouret (1875) -Son Excellence Eugène Rougon (1876) -L'Assommoir (1877) -Une Page d'amour (1878) -Nana (1880) -Pot-Bouille (1882) -Au Bonheur des Dames (1883) -La Joie de vivre (1884) -Germinal (1885) -L'Œuvre (1886) -La

du XIXème siècle (1851). Le titre n’a pas de rapport visible avec le début du récit, il n’y a pas de marques temporelles, de datation absolue. C’est un incipit descriptif ; riche en descriptions du lieu à savoir l’aire Saint-Mittre, à la sortie de Plassans. Cette aire ne conduit nulle part, elle abritait un ancien cimetière abandonné dont les terres étaient très fertiles. Cette fertilité fut d’abord ignorée par la population répugnée avant que la flore et les fruits ne recouvrent le cimetière. Au bout

Gervaise à chaque étape de sa chute. Il devient la proie d'affreuses crises dedelirium tremens ; il est interné sept fois à l'hôpital Sainte-Anne, où il décède. Claude Lantier : fils aîné de Lantier et Gervaise ; au cours du roman, il est envoyé à Plassans chez un vieux monsieur, amateur de tableaux, qui, trouvant que Claude dessine bien, veut se charger de son éducation. Etienne Lantier : second fils de Lantier et Gervaise ; il travaille à la forge avec Goujet, puis part à Lille chez un mécanicien

de manière prémonitoire le rôle que ce lieu va jouer dans le destin de Gervaise. La jeune blanchisseuse subit aussi la fatalité de son hérédité. Celle ci est évoquée à travers le souvenir de sa mère : « avec sa mère, elle buvait de l’anisette, à Plassans (…) elle avait failli en mourir ». Coupeau, quant à lui, raconte que son père « s’était écrabouillé la tête sur le pavé ». Ainsi, l’accident, comme l’alcoolisme sont également pour lui héréditairement suggérés. Dans ce passage les deux personnages

soubresauts des corps malades dans ses romans. Tante Dide et Marthe Rougon théâtralisent leur corps, comme les patientes de la Salpêtrière. Ce corps pousse les personnages à agir de manière aberrante, comme Marthe, figure centrale de La Conquête de Plassans, qui se blesse la nuit dans des crises d’hystérie parce qu’elle perd tout contrôle de sa personne. De même, le fait religieux et ses dérives servent de prétexte à Zola pour décrire la dévotion comme une pathologie psychique qui rejette la réalité

Mais très vite, ce dernier, paresseux et profiteur l’abandonne avec leurs deux enfants, et Gervaise se retrouve en train de s’en occuper toute seule. Loin d’être découragée, elle met en bon usage ses talents de blanchisseuse qu’elle avait acquis à Plassans dont elle est originaire. Elle se fait employer dans la blanchisserie du coin, et son rêve étant d’ouvrir une blanchisserie qui portera son nom, Gervaise commence à économiser chaque centime qu’elle gagne. Elle marie Mr Coupeau (qui lui avait déjà