Plaute Mercator

Séquence 1: La comédie au XVII. LE CLASSICISME « Il corrige les mœurs par le rire. » En latin : « Castigat ridendo mores » I°) Introduction : Les origines de la comédie. Les origines antiques. Les origines Grecques. Théâtre = religieux. La comédie vient de Dionysos. Les citoyens faisaient des défilés en son honneur. Les KOMOS (d'où le mot comédie.) NOM = COMÉDIE. ADJECTIF = COMIQUE. Les défilés ressemblaient un peu à des défilés de carnaval. Ces jours là, il y avait aussi

Ainsi, pour illustrer l'argument du succès de la farce au Moyen âge, on peut évoquer la Farce de Maître Pathelin ( Xvè siècle ) qui joue sur la caricature des personnages, les situations grotesques, etc. La farce est un genre hérité de l'Antiquité (Plaute, par exemple) et le Moyen Age n'hésite pas à en reprendre les ficelles. Il s'agit d'un pur divertissement, parfois un peu facile et grossier.Un second argument peut s'appuyer sur les comédies de Molière, à la fois inspirées des farces antiques (on

gentilhomme en 1670. Il écrira Amphitryon, la même année que l’Avare, à ce moment il enchaîne les comédies et les succès. Amphitryon est une comédie de Molière en trois actes et en vers, qualifiée de classiques. Il s’inspira en grande partie de l’Amphitryon de Plaute. La première représentation eut lieu au Palais-Royal le 13 janvier 1668. Le 16 janvier, la pièce est jouée au Tuileries devant Louis XIV. Dans le prologue, Jupiter le roi des dieux est amoureux d’Alcmène qui est mariée à Amphitryon qui lui est

Le Modèle de Molière dans l’ Avare est caractérisé par l’Aulularia de la ² Plaute, la méfiance de l’harpagon envers la Flèche (acte I, scène trois) ressemble à celle de l’ Euclio au Strobilus.  En supposant que la comédie devrait être et satire, mais aussi de critiquer le mouvement des défauts, les pièces de Molière va plaider pour des attitudes humanistes morale. L'auteur choisira les vices inépuisable nature humaine éternelle: l'avarice, l'arrogance, la jalousie, l'ignorance, l'hypocrisie et l'hypocondrie

descendant de noble race n'a offert une ressemblance de famille aussi frappante que celle qui existe entre Arlequin et ses aïeux2. Quant à la personnalité d'Arlequin, elle fut sans doute empruntée aux personnages d'esclaves des comédies latines (celles de Plaute et Térence, eux-mêmes très inspirés par les spectacles comiques latins pré-classiques), au caractère souvent très proche (goinfres, poltrons, fanfarons, paresseux, lascifs...), aucune trace textuelle d'atellane n'ayant subsisté après l'Empire Romain

créé par le dramaturge pour provoquer crainte et pitié chez le spectateur. Il en va de même du personnage de comédie. Bien sûr le « soldat fanfaron » de Plaute emprunte beaucoup de ses traits à des personnes réels, mais le comique n’est obtenu que par l’hyperbole qui le caractérise, celui qui fait tomber les tours et soumet les villes. Ainsi Plaute a volontairement déformé le réel, créant de toutes pièces un personnage dans le seul but de faire rire les spectateurs. C’est du regard distancié que l’auteur

chargent le grec Andronikos de donner les premiers ludi scaenici (jeux scéniques) et lui demandent de traduire en latin des pièces de théâtre grecques, faisant ainsi naître officiellement le théâtre romain. Ensuite seulement, différents auteurs comme Plaute, Térence et Sénèque écriront des pièces originales mais fortement inspirées des mythes et des pièces grecques. Au départ, les nobles romains ne veulent pas d'un théâtre dans Rome car ils pensent que le peuple utilisera les édifices pour des débats

Les relatiosn maitre valets au théatre Grèce antique : Ménandre Rome antique : Plaute & Térence France XVIIème : Molière Italie : Commedia dell' Arte France XVIIIème : Marivaux ( + Beaumarchais, à part ) Le valet de comédie [modifier] Il regroupe toutes les fonctions de tous les valets de la maison, c'est donc un symbole, une représentation du valet. Le valet n'est pas un esclave, il est rémunéré (de gages), mêmes si ceux-ci sont rarement perçus. En effet, le valet est logé, nourri, blanchi

cursive d’un extrait de P. Grimal (La civilisation romaine manuel p.242) « Naevius et Plaute puisèrent dans le répertoire de la comédie grecque nouvelle (…). Ces adaptations plaisaient, car elles mettaient en scène des types humains (…) » Deux études comparées : 1- Plaute Le soldat Fanfaron (manuel p. 248 extrait de la scène d’exposition) et Corneille L’Illusion comique II, 2 (manuel p. 250) 2- Plaute La marmite (manuel p.41 ; monologue d’Euclion) et Molière L’Avare IV, 7 (monologue

Commentaire de texte, Plaute ; Casina Introduction : Plaute est l’auteur de joyeuses comédies qui dénoncent les travers de la condition humaine. Les jeux de mots et les jeux de gestes se moquent allègrement de l’amoureux naïf comme celui du vieillard fourbe ou du valet manipulateur. Le public rit de bon cœur face aux malheurs qui finissent par frapper ces piètres héros, apparus au IIème siècle avant notre ère. L’extrait présenté ici est le dénouement d’une comédie de Plaute nommée Casina