Plèbe

besoin que de la majorité simple. Pour ce qui était de la République romaine, l’assemblée fonctionnait de façon différente. Elle était divisée en trois : les comices curiates, les comices centuriates et les comices tributes ou assemblées de la plèbe. Tout d’abord, les comices curiates s’occupaient de religion et votaient pour les magistrats supérieurs, les consuls et les préteurs. Elles se composaient de 30 licteurs qui se rassemblaient pour prendre des décisions. Le second type d’assemblée était

Tout les autres (artisans, commerçants et paysans) représentent la plèbe. Ils sont largement majoritaires. Ils doivent faire la guerre mais n’ont aucun droit politique. => Cette situation est insupportable. En 494 avant notre ère, les Plébéiens font sécession et se réunissent sur l’Aventin. Ils refusent de faire la guerre. Ils trouvent cependant un accord et occupent désormais une place dans la République grâce aux tribuns de la Plèbe. Par ailleurs, en 367 av. JC : les lois licinio-sextiennes (un consul

n’avait besoin que de la majorité simple. Pour ce qui était de la République romaine, l’assemblée fonctionnait de façon différente. Elle était divisée en trois : les comices curiates, les comices centuriates et les comices tributes ou assemblées de la plèbe. Tout d’abord, les comices curiates s’occupaient de religion et votaient pour les magistrats supérieurs, les consuls et les préteurs. Elles se composaient de 30 licteurs qui se rassemblaient pour prendre des décisions. Le second type d’assemblée était

anonyme) ce qui favorise la pression sur les citoyens. Pour la République romaine, l’assemblée fonctionnait de façon différente. Elle était divisée en trois : les comices curiates, les comices centuriates et les comices tributes ou assemblées de la plèbe. Tout d’abord, les comices curiates s’occupaient de religion et votaient pour les magistrats supérieurs, les consuls et les préteurs. Elles se composaient de 30 licteurs qui se rassemblaient pour prendre des décisions. Le second type d’assemblée était

n’avait besoin que de la majorité simple. Pour ce qui était de la République romaine, l’assemblée fonctionnait de façon différente. Elle était divisée en trois : les comices curiates, les comices centuriates et les comices tributes ou assemblées de la plèbe. Tout d’abord, les comices curiates s’occupaient de religion et votaient pour les magistrats supérieurs, les consuls et les préteurs. Elles se composaient de 30 licteurs qui se rassemblaient pour prendre des décisions. Le second type d’assemblée était

avec la création des consulats par les patriciens qui se sont réservés l'accès, ce que Michel Humbert qualifie de « caste politique ». Ils ont la maîtrise de tout le système juridique, ce qui déplait fortement au reste de la population, nommé la Plèbe. En effet, cette situation va générer un conflit interne. Les plébéiens parviennent, par la suite, à limiter la puissance des consuls en donnant aux grandes règles du droit civil une base légale avec la création de la Loi des XII Tables. Cette loi

ceux qu’on appelle la Plèbe. Les plébéiens n’ont pas le conubium, le droit de se marier avec le patricien, mais ils possèdent le commercium, le droit de pratiquer le commerce, et ils ont aussi la Legis Actio, le droit d’intervenir en justice et le droit de soutenir une action en justice. Le Conubium ne leur sera accordé qu’en 445 Av JC avec le LEX CANULEIA. Les rapports entre patriciens et plébéiens seront orageux pendant cette période. On assistera à des soulèvements de la plèbe contre le patriciat

l'équilibre social I. Caïus et sa politique popularis polarisent de nombreux soutients et ceci en répondant aux attentes des différentes catégories sociales A/ alliés et plèbe, divisés à propos de la réforme agraire, voient en Caïus l'homme pouvant réaliser leurs revendication. 1) la plèbe dans l'impasse Si la plèbe est détentrice de la citoyenté romaine complète défavorisé par le partage foncier, elle reste extrèmement dépendante des décision des « grands propriétaire » (l.1) et du Sénat

immigrants ou honorées peut-être pour des raisons sociales, parce qu'elles ne sont pas des dieux du patriciat. Le temple de Cérès (de 499 avant J.-C.) est un lieu de ralliement populaire, et les progrès du culte de Cérès sont parallèles à ceux de la plèbe. Pour en savoir plus, voir l'article mythologie grecque. Au moment d’entrer en guerre contre Carthage, en 264 av. J.-C., Rome a atteint un point d’équilibre incontestable dans tous les domaines : son autorité est acquise sur toute l’Italie péninsulaire

Un personnage hostile envers la plèbe, colérique mais tout de même un homme intrépide. Alors qu’il confirme ses qualités de guerriers dans la guerre contre les Volsques en triomphant sur Aufidius, leur dirigeant, il s’assure une gloire et une renommée auprès du peuple. Il obtient même le surnom de Coriolan pour avoir dominé sur la ville de Coriole . Profitant de sa situation, il se présente aux élections consulaires. Les tribuns de la plèbe, craignant une prise de pouvoir