Plein Ciel Commentaire

espérait partir avec lui. Rodolphe se dérobe : elle vient de recevoir une lettre de rupture. " Tout épouvantée, (...) haletante, éperdue, ivre ", elle fuit jusqu'à la mansarde située au second étage de sa maison. En face, par-dessus les toits, la pleine campagne s'étalait à perte de vue. En bas, sous elle, la place du village était vide, les cailloux du trottoir scintillaient, les girouettes des maisons se tenaient immobiles ; au coin de la rue, il partit d'un étage inférieur une sorte de ronflement

Introduction Commentaire I/ Un poème en prose 1. Un poème en boucle Le 1er et le dernier § se font écho = même structure syntaxique impératif + infinitif « laisse-moi… », même thème du souvenir Cette structure donne un effet de cycle au poème = le 1er et le dernier § se répondent, ils reposent sur le même objet = la chevelure : fil directeur du poème Impression de voyage perpétuel 2. Rythmes syntaxiques et poétiques Répétitions adverbes « longtemps », GN précédés d’une préposition « plein de voitures »

Commentaire rédigé : Le Mal Intro "Le Mal" est un sonnet qui a été extrait du receuil Poésies en 1870. Il est composé de deux parties : - Deux quatrains qui parlent du champ de bataille et de la Nature. - Deux tercets qui parlent de la religion.

Commentaire composé : « Adieu » Adieu est un poème en prose écrit par Arthur Rimbaud au 19eme siècle, plus précisément en 1873. Ce texte du registre pathétique, marque la fin du recueil Une Saison en enfer. A cette époque, Rimbaud perd le goût de l'écriture. A ceci s'ajoutent des problèmes affectifs dût à sa rupture avec Verlaine. De plus, la maladie s'empare de lui. C'est donc une période noire pour lui, et certains événements marquants de sa vie font qu'il perd espoir. Ce dernier chapitre

A la recheche la musicalité et l’innocence dans le poème de Verlaine Le ciel est, par-dessus le toit Introduction Certains livres, il est vrai, possèdent un pouvoir de transformer ou de faire dévier l'existence de quelqu'un, mais les poèmes aussi, appartient à ces puissances. Ces jours-ci, j'ai lu Sagesse de Verlaine,. Ce qui me donne une impression profonde, c’ est Le ciel est, par-dessus le toit... Dans ce poème, le poète chante ses paroles au coeur et je réfléchis beaucoup sur ces mots

Commentaire de document de géographie Géographie des Etats-Unis 3e New-York : ville globale symbole de la puissance des Etats-Unis _________________________________ Cette épreuve à pour objectifs de vous faire parcourir un certain nombre de documents, de les comparer, de les confronter, de les analyser pour tendre vers une finalité claire, mais somme toute relative : répondre à une problématique géographique. Il vous donc partir de chaque document et en dégager les informations géographiques

en mutation, tartuffe porte u masque et c est typiquement baroque, c'est un héros multiforme et c'est bien sa un héros baroque mais Molière le dépouille de tout prestige. Il y a tartuffe dont les gens parlent et le Tartuffe que l'on voit. Commentaire sur Tartuffe Introduction :En 1664, en réaction contre les excès du parti dévot, Molière attaque les faux dévots dans Tartuffe, comédie sérieuse qui met en scène un faux religieux, imposteur et hypocrite, installé dans une maison bourgeoise par

|Cependant elle allait, et la mazurque[3] lente | |Moi, je buvais, crispé comme un extravagant[8], | | |La portait dans son rythme indolent[4] comme un vers, | |Dans son oeil, ciel livide où germe l'ouragan, | | |- Rime mélodieuse, image étincelante, - | |La douceur qui fascine et le plaisir qui tue. | | |Et son âme d'enfant rayonnait

Le ciel est, par-dessus le toit... Le ciel est, par-dessus le toit, (2+1+5) Si bleu, si calme ! (2+2) Un arbre, par-dessus le toit, (3+5) Berce sa palme. ( 2+2)   La cloche, dans le ciel qu'on voit, (3+3+2) Doucement tinte. (4) Un oiseau sur l'arbre qu'on voit (3+5) Chante sa plainte. (2+2)   Mon Dieu, mon Dieu, la vie est là, (2+2+2+2) Simple et tranquille. (2+4) Cette paisible rumeur-là (5+3) Vient de la ville. (1+3)   --Qu'as-tu

sujet comporte 4 pages. Le candidat ne sera autorisé à quitter la salle qu’au bout des 4 heures de composition. Texte A- Charles Baudelaire, « Paysage », Les Fleurs du Mal », 1857. Je veux, pour composer chastement mes églogues,Coucher auprès du ciel, comme les astrologues,Et, voisin des clochers écouter en rêvantLeurs hymnes solennels emportés par le vent.Les deux mains au menton, du haut de ma mansarde,Je verrai l'atelier qui chante et qui bavarde;Les tuyaux, les clochers, ces mâts de la cité