Pline le Jeune

consommé son arrestation et son plongeon dans une chaudière d’huile bouillante. En dépit de tout, le Seigneur lui a sauvé la vie et il n’en était pas mort. Alors, pour se débarrasser de lui, Domitien le fit exiler à Patmos. • Pline l’ancien, oncle de Pline le Jeune, qui vécut au premier siècle et qui a écrit 37 volumes d’histoire naturelle, véritable encyclopédie de la connaissance des anciens, rapporte que Patmos était une île désertique, rocheuse et vraiment aride, utilisée généralement comme

LE senex (LE vieillard), La Lena ou Le Leno (entremetteuse, maquerelle), les jeunes : LE servus (L'esclave), le jeune homme (l'adulescens) et la jeune fille (souvent prostituée). Ce sont les personnages de base de sa comédie). Sujet : le jeune homme a besoin d’argent pour s’offrir la jeune fille. De aide de l’esclave (pour escroquer le vieux pour qu’il finance) l’obtention de la jeune fille. IV La poésie lyrique. A) Platon et Aristote

Auguste est représenté nu, sous la forme d'un athlète au repos. Elle contraste avec la sculpture de la Prima Porta. Il se veut un nouveau Romulus. On l'honorait comme un pater familias. Il est le père de la patrie, il est toujours représenté comme un jeune homme ce qui évoque le mieux une société apaisée. Son expression est presque juvénile, mais délicate et distinguée. Ils personnifiait la paix. Il était parfois représenté velato capite dans une volonté de pietas. La piété doit conditionner la victoire

mais qui s’adresse à DES destinataires, nombreux et virtuels. Le genre de la lettre ou du journal intime, mais ces formes rendent dans le champ littéraire à partir du moment où elles sont détournées de leur but premier. Dès l’antiquité les lettres de Pline : il savait qu’elles allaient être lues par d’autres, elles sont donc particulièrement soignées. Madame de Sévigné a aussi su très tôt que son style était apprécié, qu’on se passait ses lettres, donc l’auteur de la lettre écrit différemment. Le journal

identifiables. Outre la fiche d’état civil lacunaire, dans le roman, la description physique se fait très rare. Il y est dit que Gabriel est un « colosse » doté d’une pochette de soie mauve. On apprend de Charles qu’il n’est « Pas trop vieux. Pas trop jeune » et la veuve Mouaque est appelée « la vieille », « la moche », « le vieux débris » .Ainsi ces informations sur les personnages, loin de l’exhaustivité, ne permettent pas au lecteur-spectateur de doter les personnages d’une certaine réalité. Plus déconcertant

détrônant l’ours, omniprésent dans les légendes germaniques, celtiques et slaves. Animal de la tradition orale, l’ours est le héros de nombreux récits soulignant sa ressemblance avec l’homme : il se tient debout, se sert de ses mains, et, d’après Pline, s’accouple comme l’être humain. On raconte même des histoires de rois « fils d’ours », enfantés par des femmes enlevées et violées par ces bêtes lubriques. Pour l’Église, cet animal assimilé à l’homme sauvage, objet d’un culte païen, ne pouvait être

parfois, que se faisant il se ruine et soit obligé de trop charger ses sujets (Cicéron, dans la République, dit que le prince libéral perd plus de cœurs qu’il n’en gagne, car la haine de ceux à qui il ôte et bien plus grand que celle à qui il donne. Pline le jeune et Tacite sont, eux aussi, de cet avis). Le vice de l’avarice est donc, pour qu’un prince se maintienne en sûreté, nécessaire et donc, une qualité. Ici donc, un vice pourrait-il être vu comme une vertu ? Le prince doit donc être généreux et

ont un coté technique qui ne s’apprend que par travail et hbte. Par ailleurs, artiste ne doit pas se contenter de son génie : il doit avoir expérience humaine, même si on peut en ce sens distinguer les arts : talent musical peut se trouver chez jeune, alors que talent poétique est plus svt fait d’ho mur. 2° Remet en cause hiérarchie établie entre oeuvres de la nature, vivantes et animées > oeuvres de l’art, inanimée, produit de l’homme : Hegel mtre que ce n’est pas réalité extérieure qui constitue

Et tel est le sentiment qui inspirait à la sagesse antique tant de maximes découragées : que nul ne peut être heureux ou malheureux avant sa mort, que les dieux sont jaloux du bonheur humain, qu'il vaudrait mieux n'être pas né ou au moins mourir jeune; et c'est ce qui semble animer parfois, chez les tragiques, les plaintes d'Oedipe on de Philoctète, et, dans une autre civilisation, ce qu'expriment, avec une puissance et une profondeur qui n'ont pas été dépassées, les imprécations de Job. Mais la

Sabinus était un plébéien engagé et parvenu, dit-on, jusqu'au grade de centurion primipile avant de quitter le service, d'exercer des fonctions financières en Asie, puis de finir comme banquier dans la cité d’Avenches. Son fils Vespasien entre très jeune dans l’ordre équestre: il obtient ensuite de Tibère la tunique laticlave qui donnait accès à l’ordre sénatorial où il entre en 51 en tant que général expérimenté. Après quelques missions en Bretagne, il vécut dans l’inaction puis finit par être chargé