Plotin

le changement. -Dans les Ennéades , Plotin définit l’éternité comme « Vie immuable, ensemble tout entière et infinie, totalement exempte de changement » · Il ajoute que dans l’éternité il n’y a pas de temps, ni de mouvement, le mouvement étant toujours mouvement vers l’autre (= le différent) et non vers le même (= l’identique). · Et c’est par l’apparition du mouvement que Plotin explique l’apparition du temps, qui est un désir de nouveau, une aspiration

chaque religion des courants mystiques. Certaines « écoles » ou certaines sectes ont particulièrement valorisé ces vécus (les Soufis en Islam, les Hassidiques dans le Judaïsme, les Evangélistes chez les chrétiens, le Zen chez les bouddhistes etc.) {cf Plotin} - Des cultes ont pu s’organiser autour de visions et de pratiques mystiques. On propose alors d’accéder à une vérité supérieure par une véritable conversion de l’individu qui passe par une transformation, une régénération. L’aspirant doit être

une perte de qualité, une dégradation de la de vérité, chacun n’étant que le reflet du précédent. En admirant une oeuvre d’art, l’on est donc confronté, sans le savoir, à un trompe-l’oeil, une image-simulacre (eidolon). C’est le néoplatonicien Plotin qui, dépassant cette théorie, définit l’art comme passerelle entre le sensible et l’intelligible. S’il conserve la distinction entre matériel et spirituel, la beauté d’ici bas n’est plus perçue comme une ombre pernicieuse, mais comme le fruit de

cherche qu’à vous offrir un moment de détente dans le labyrinthe de l’action quotidienne. Des pensées pour s’apaiser, réfléchir et progresser. La plupart des grands courants de pensée y sont représentés : d’Hippocrate à Andy Warhol ; de Pablo Picasso à Plotin ; d’Emmanuel Kant à Jean Cocteau, etc. Dans ce florilège de penseurs, il faut bien signaler que tous ne vont dans le même sens, mais comme nous avertissait déjà Paul Léautaud, dans « Propos d’un jour », « il n’est pas de sentences, de maximes, d’aphorismes

de La Tentation Flaubert a réalisé une recherche importante, il a lu la Bible, il est allé aux bibliothèques impériales de l’Institut et de l’Arsenal, la plus importante a cette époque a Paris. Il a étudié Spinoza, les gnostiques, les Ennéades de Plotin etc. La Reine de Saba appert dans la Bible. Laurence M. Porter l’a décrit comme cela « In the Bible and in antiquity, the Queen of Sheba was the ruler of a very prosperous kingdom southwest of what is today Yemen who visited Solomon and was dazzled

voir son passé comme un outil utile, lui servant plus de leçon que de fardeau. Par cela il en serait l’héritier. Enfin, même si la mémoire est un outil fragile, en avoir conscience n’assure pas forcément la liberté de l’individu, ni son bonheur. Pour Plotin, « l’âme bonne est oublieuse », par cela, l’oubli serait nécessaire pour accéder au bonheur et à la pleine liberté, car le souvenir de la tristesse et de quelque carcan instauré par autrui nous empêche d’être pleinement libres et heureux. Par cela

l’homosexualité masculine AUCUNE répugnance, et qu’elles entretiennent au contraire de façon forte une atmosphère de masculinité fortement érotisé et pimenté de plaisir et du désir. A Rome, vers la fin de l’antiquité païenne, un philosophe mystique, Plotin souhaitait que les vrais penseurs ‘’méprisent la beauté des garçons et de femmes ‘’ , ‘’Aimer un garçon ou une femme’’ cette expression (appliqués à un homme) revient plusieurs fois sous la plume des anciens. Les maîtres pouvaient sodomiser leurs

des essences, des formes qui ne sont pas perceptibles par les sens et qui constitue la Vérité, la Beauté et le Bien éternels. La réalité matérielle ne nous offre qu’un aperçu, une pâle copie du monde éternelle. Il s’appuie aussi sur le philosophe Plotin (III s.ap J.c) qui fait de « l’UN », un idéal inaccessible et indicible. Ces philosophes antiques sont à l’origine de la théorie de Swedenborg (mystique du XVIII)  selon laquelle « le monde naturel correspond au monde spirituel » et sur les romantiques

à l’œuvre, elle apparaît à l’enfant comme son œuvre, donc comme un reflet de lui-même. Il est clair qu’il ne s’agit pas ici de l’image de soi dans l’eau qui renvoie au vieux mythe de Narcisse qui se serait noyé en voulant étreindre son reflet (cf. Plotin, Ennéade, I, 6 Du beau). Le reflet ici est l’œuvre de l’enfant. Elle n’est pas son image. C’est parce que c’est son œuvre que c’est son reflet et qu’il peut à la fois s’y reconnaître sans s’identifier au point de se confondre avec. Aussi Hegel après

Dissertation Mémoires d’HadrienIntroduction « Un pied dans l’érudition, l’autre dans la magie, ou plus exactement, et sans métaphore, dans cette magie sympathique qui consiste à se transporter en pensée à l’intérieur de quelqu’un » « Peu de bipèdes depuis Adam ont mérité le nom d'homme »« Si j'ai choisi d'écrire ces Mémoires d'Hadrien à la première personne, c'est pour me passer le plus possible de tout intermédiaire, fût-ce de moi-même. Hadrien pouvait parler de sa vie plus fermement et plus