Poeme Anaphore

l’amour (parallèle négatif). Mot clef : Orage Ú naufrage. Les mots placés à la fin des quatrains évoquent les dangers de la mer. Pris dans un sens figuré, ils renvoient à la flamme amoureuse qui est en train de s’éteindre. 2- Un poème lyrique. Le poème procède par métaphore. Cela donne une image de l’amour qui brule. Le vers 7 exprime l’idée que l’amour est symbolisée par la flamme. Rapprochement accentué par les sonorités. De manière inattendue, le poète rapproche l’eau du feu par

Introduction : - Le poème fait partie de la série des « Rhénanes » - Double symbole du fleuve : à la fois passage du temps et la permanence (symboles contradictoires, comme dans le pont Mirabeau)  cf. l’Héritage symboliste chez Apollinaire (Rimbaud, Verlaine…) - Apparence aux premiers vers : chanson banale sur Mai, bucolique - Prose ≠ Poésie : sens unique ≠ polysémie qui permet à l’auteur de jouer avec le lecteur  beaucoup utilisé dans la poésie moderne et chez Apollinaire Pb : Quelle est

ntroduction : Le poème Le Pont Mirabeau est un extrait du recueil Alcools paru en 1913. Apollinaire y fait allusion à sa rupture avec une femme avec qui il eut une liaison, et au-delà évoque la fuite du temps semblable à l'eau qui s'en va. L'eau est un thème romantique et lyrique qui renvoie au passage du temps et à la fuite de l'amour. Le pont Mirabeau (moderne pour l'époque de l'écriture du poème) est situé à Auteuil et fut emprunté par le poète lorsqu'il rentrait de chez son amante

renouvelle le genre poétique, il donne à son poème un aspect alliant texte littéraire et non littéraire. En effet dans ce poème on peut relever de nombreux jeux de mots et d’images qui participent à la création de fantaisie verbale et poétique. Par quels moyens Prévert change-t-il notre vision du monde ? D’une part nous verrons la composition du poème et d’autre part nous analyserons la nouvelle imagine donnée du poète. Développement : En observant le poème en remarque que Prévert renouvelle sa forme

Dans ce poème, l’enfance est connotée positivement avec la métaphore filée « le monde parfumé / Plein de rires » (v.15-16) nous révélant un monde joyeux  Tout d’abord, la présence d’une métaphore sur l’enfance brisée par la guerre aux v.15 à 17 : « Voilà le monde parfumé […] Soudain griffé d’un coup de feu » peut s’interpréter par le fait que la guerre détruit tout et en particulier l’enfance. Une autre métaphore renforce cette idée : « Un monde neuf où sur un corps / Qui va tomber / Grandit

I. Poème éclaté 1) Temporalité complexe Mélange de passé/présent injustifié Valeur des temps : « j’ai aimé » = amour révolu -v.2 « regardaient » = description - « Vous êtes » = discours (ponctuation) - « S’éloigne » = discours ? Description ?  Juxtaposition des temps (// cubisme), éclatement temporel 2) Mélange des genres et des registres Elégie, tristesse « Or » en début de vers, qui n’introduit pas un

à travers par exemple son travail sur les rêves, ou sur les maladies mentales. « Le Grand Violon » est un poème en prose tiré du recueil Plume. Celui-ci met en scène le personnage de Plume, personnage léger qui se laisse souvent porter par les événements, dans des aventures surréalistes. Dans ce poème, Michaux décrit une histoire d’amour entre un homme et son violon. Pour écrire ce poème, il s’inspire d’une photographie surréaliste de Man Ray Le violon d’Ingres prise en 1924. Celle-ci fait référence

Corrigé du devoir 3 Première partie 1 h 00 (25 points) I. Questions : étude de texte et points de langue (16 points) 1- a) Les anaphores qui rythment le poème sont « une voix » et « elle ». b) Ces anaphores mettent en valeur la voix et l’espoir qu’elle représente. (2 points) 2- C’est le poète (représenté par « je » au vers 9) qui parle dans ce poème de « la voix » qu’il entend. Il n’est pas le seul à qui elle parvient comme l’indique le « nous » du vers 4 (qui désigne ses contemporains)

cette analyse que la valeur d'un poème réside dans l'indissolubilité du son et du sens « le poème - cette hésitation prolongée entre le son et le sens » (Valéry) En guise de conclusion, une citation du critique Gérard Genette, dans Mimologiques : « Le propre de la prose [pour Valéry, "prose" désigne, comme le rappelle GG, le langage courant et ne s'applique pas à la prose littéraire] est de toujours tolérer plusieurs formes pour un seul sens ; celui du poème, inversement, de toujours proposer

tradition, il s'agissait pour lui de suivre le mouvement du temps et non du passé ou du futur. Si je mourais là-bas est un poème tiré du recueil Poèmes à Lou écrit en 1915. Il est le fruit d'une relation brève et ardente avec Louise de Coligny-Châtillon, une belle aristocrate rencontrée à Nice en 1914. Le poète imagine sa mort sur le front et en fait part à sa bien-aimée. Le poème est constitué de 5 quintils en alexandrin et d'un vers isolé en alexandrin. Ancrage réalité guerre. Caractère testamentaire