Poesie Savante

Qu’est-ce que la poésie ? Question bien insignifiante pour un art aussi vaste… Nombreux sont les poètes et les époques qui ont essayé de la définir. Tout d’abord, on trouve à l’origine de cet art les aèdes de l’Antiquité, tels Homère et Virgile, qui retraçaient les péripéties des héros et dieux grecs ou romains, grâce à l’inspiration divine que leur procuraient les muses : « Car le poète est chose légère, ailée sacrée, et il ne peut créer avant de sentir l'inspiration, d'être hors de lui-même

Auteur : Fontenelle Titre : La dent d’or Date : 1687 Référence : Extrait d’Histoire des Oracles (1686) Sujet : Des savants écrivent des thèses et théorie sur une fausse dent d’or Thème : Fonder ses propos Biographie : Bernard Le Bouyer (ou Le Bovier) de Fontenelle, né à Rouen le 11 février 1657 et mort, presque centenaire, à Paris le 9 janvier 1757, est un écrivain français, il fait parti des lumières. Il est fils d’avocat, fait son droit mais devient vite écrivain. Il avait pour profession

La lyrique espagnole La poésie lyrique espagnole de la fin du Moyen Âge nous a été conservée dans de nombreux chansonniers, véritables collections ou anthologies de poèmes. On y a vu à la fois une source précieuse d’information sur de nombreux poètes, un témoignage important sur toute une civilisation, le champ où s’affrontent et s’harmonisent des influences étrangères (françaises et italiennes) et la tradition péninsulaire. La poésie cancioneril déconcerte parfois le lecteur moderne par son

L’épicerie, tout en étant une boutique assez matérielle et médiocre, est donc élevée dans ce poème à l’état sublime. Ce sonnet se présente comme un pastiche, visant à tourner en dérision, peut-être les épiceries, mais surtout sans doute la poésie savante et sérieuse. Le poème ‘’Les épiceries ‘’ est un pastiche du sonnet baudelairien. _ forme poétique du sonnet (4,4,3,3) telle celle utilisée par Baudelaire. _ atmosphère baudelairienne urbaine : ‘’nos cités’’ (v.12), ‘’les épiceries’’

3) Vagabondage heureux et insouciant qui domine le poème avec une idée de joie puisque ce voyage n'a aucun but, aucune contrainte donc insouciance du voyageur. On a l'impression qu'il se fond dans la nature. II) Le voyage, inséparable de la poésie 1) Le voyageur est un poète  "Ma Bohème" : Il est question de sa vie et individualise ce voyage. Vie d’artiste, de nomade, de errants. Le mot "bohème" établit un lien avec les milieux littéraires.  image du poète:

Dissertation Au début du XIXe siècle apparut le Romantisme, un mouvement littéraire qui permet d’exprimer ses sentiments dans la poésie. L’un des auteurs les plus connus et Lamartine qui affirme d’ailleurs dans la préface des Méditations poétique en 1820 « C’était un soulagement de mon propre cœur ». Peut-on donc ce demander si la poésie est l’expression des sentiments ? Pour répondre a cette question il faut chercher comment les sentiments sont utilisés. Le poème jadis, a servis pour

la Renaissance. Ronsard, fils d'un chevalier, est né en septembre 1524 dans le Château de la Possennière, près de Vendôme.  Ecrivain influent de la Renaissance, Ronsard a touché aussi bien la poésie engagée et « officielle » dans le contexte des guerres de religions avec les Hymnes et les Discours (1555-1564 ou la poésie lyrique avec les recueils Les Odes (1550-1552) et des Amours (Les Amours de Cassandre, 1552 ; Les Amours de Marie, 1555 ; Sonnets pour Hélène, 1578) Il est d'abord page de beaucoup d'aristocrates

chant " ŕ boire. " Cires vermeilles " et " lumičre " d’une part et " fraternité " d’autre part instaurent une tonalité de sincérité fraternelle et de franche clarté qui dominera le počme. Strophe 2 : Le vin ainsi personnifié, se fait intelligent et savant : il est conscient de la difficulté de planter et d’entretenir une vigne. Mais son savoir est bienveillant : il veut remercier les hommes de tous leurs efforts, il se veut responsable et bienfaisant. Il impose sa présence personnifiée dans un registre

n´était que son première fugue. Il refuse de retourner au lycée et se révolte (boit de l´absinthe). Il fuit à Paris et cette fois y reste un peu plus longtemps. Sa poésie se radicalise et devient plus critique. Il a critiqué surtout la poésie romantique et des Parnassiens (école poétique, qui s´oppose de la poésie romantique – poésie savante et impersonnelle). Il devient un ami de Verlaine et est logé chez lui. En 1872 il revient de nouveau à Charleville et finalement quitte Paris en compagnie de Verlaine

novateur, en 1871 ècrit «  La lettre du voyant » en s’addressent à son ami Paul Demeny. Cette œuvre ouvre la voie vers vers une poesie plus moderne. Grace à cette lettre Rimbaud exprime sa conception poétique le fait qu’un poète doit se faire VOYANT. A travers ses ouvres principales « Saison en Enfer » e « la lettre du voyant » , cet auteurcherche à moderniser la poésie. 1ère lettre 13 mai 1871 à George Izambard