Poignard

» (1.20),« ses doigts crispés» (1.29), la sueur (1.31). Ses gestes sont lents: « " .ses mains hésitantes tenaient, la droite un rasoir fermé, la gauche un court poignard. » (1.25-26). Sa longue hésitation à choisir le rasoir ou le poignard (1.26-31) n'est qu'un simple prétexte pour retarder le passage à l'acte. Le choix final du poignard est suivi encore d'une pause: « Il éleva légèrement le bras droit, stupéfait du silence qui continuait à l'entourer, comme si son geste eût dû déclencher quelque

qui battait son plein. description de l’œuvre : Ce tableau est composé de rouge (rosé), noir, bleu indigo et jaune Nous pouvons observer 2 femmes bleues dont une au premier plan la seconde en arrière-plan dans l'obscurité brandissant une sorte de poignard rouge. Il y a également la présence d'une girafe noir en feu avec de la fumée blanche au troisième plan avec derrière elle des montagnes.Cette femme du premier plan possède 8 tiroirs jaunes dont 1 dans sa poitrine. Elle semble être soutenue par des

pleurer sur les murs, Et ton visage continue à se promener Entre les miroirs et les tentures. Même la cigarette que tu viens d'allumer Ne fut pas éteinte, Et sa fumée persistante continue à refuser De s'en aller. Balkis, nous sommes poignardés Poignardés jusqu'à los Et nos yeux sont hantés par l'épouvante. Balkis, comment vas-tu pu prendre mes jours et mes rêves ? Et as-tu supprimé les saisons et les jardins ? Mon épouse, ma bien aimée, Mon poème et la lumière de mes yeux, Tu étais mon

cheval blanc du mamelouk centre la lumière, puisque tous ses alentours sont des couleurs obscurs. Guillem Garcia Production 11. COMPOSITION Au centre du tableau, on peut observer un mamelouk mort avec son cheval. Le reste des personnes en train de poignarder entre eux. L’arrière plan est la ville de Madrid qui est au dernier plan. Les visages des combattants reflètent la rage, la peur et l’indignation. Guillem Garcia Production9. INTRODUCTION Ce tableau a deux titres: « El dos de mayo de 1808 en Madrid

Italie. 2) Observation: Ce tableau est un tableau historique. Cette peinture représente la mort de César : celui-ci a été assassiné par des sénateurs, certains habillés de toges blanches, d’autres avec une toge rouge. Ces hommes sont armés de poignards. La pièce où a lieu l'assassinat est le Sénat : on peut voir trois statues, deux en haut à droite situées dans un creux dans le mur et une juste au-dessus de la scène du crime, la surplombant. On peut aussi voir d'autres personnes affligées qui

interne: Champ lexical des souffrances physiques et morales: "asphyxie", "sang", "me prend", "m'oppresse", "m'étouffe" (gradation ici). - Angoisse, Grande déception, écoeurement, degout (assimilé a un poignard) - Comparaison: "Ou le dégout s'ancre en moi aussi profondément qu'un beau poignard malais" - Raccourcissement des vers qui exprime la difficulté à respirer qui traduit la montée de l'angoisse. - La nuit, les nuits sans lune, sans nom: sa renforce l'angoisse et qui marque l'absence d'espoir

tuer.. .» Dans ses poches, ses mains hésitantes tenaient, la droite un rasoir fermé, la gauche un court poignard. Il les enfonçait le plus possible, comme si la nuit n’eût pas suffi à cacher ses gestes. Le rasoir était plus sûr, mais Tchen sentait qu’il ne pourrait jamais s’en servir ; le poignard lui répugnait moins. Il lâcha le rasoir dont le dos pénétrait dans ses doigts crispés ; le poignard était nu dans sa poche, sans gaine. Il le fit passer dans sa main droite, la gauche retombant sur la

Coupable : Parce-que deux témoins l'ont vu, et entendu. référence : Une femme l'aurait vu de l'autre bord de la rue, carrément poignarder son père. Et un homme l'aurait entendu dire je vais te tuer, entendu le corps tomber par terre, et vu courir dans les marches. Coupable : Il a sans cesse été frappé par son père, a coups de poing depuis qu'il à 5 ans… Alors il pourrait avoir reçu un coup de trop et s'avoir révolté puis avoir voulu se venger, ce qui pourrait être un motif du meurtre. Puis il

La table n'as pas de pied et les modèles ne sont assis sur rien si ce n'est de l'air .On compte 13 modèles mais seulement 17 jambes On voit des citrons dans les plats de la table Sous la table,une main tient dans son poing serré un poignard Une autre main sous la table tient une colombe blanche. ( *citation p.40 de « voir, lire, analyser les images) Cette photographie reprend le thème de la cène de Léonard de Vinci peinte entre 1495 et 1498 pour le réfectoire du couvent dominicain

Un collégien poignarde son professeur en Moselle Mots clés : agression professeur collège Lionel Terray, MOSELLE, COLLEGE Par Hélène Imatte 28/04/2010 | Mise à jour : 16:43 Réactions (33) Le pronostic vital de ce professeur de collège n'est pas engagé. Une réflexion sur un cahier mal tenu serait à l'origine du geste du garçon. C'est un drame qui a bouleversé le collège Lionel Terray d'Aumetz, en Moselle. Mercredi matin, après une réflexion que lui fait son professeur de Sciences de