Poignard

pas de front, une bouche énorme et terrible. Il avait un pantalon à pied, des pantoufles, un gilet qu i semblait avoir été de satin blanc, et par-dessus ce gilet une roupe dans les plis de laquelle une ligne dure et droite laissait deviner un poignard. Le premier de ces hommes s’appelait Robespierre, le second Danton, le troisième, Marat. Plan : On distingue deux axes : • I - Objectivité et réalisme historique du texte. • II - Dimension épique et les trois symboles de la Révolution

hésitation : « mains hésitantes » qui tiennent « un rasoir fermé », « un court poignard ». Tchen réfléchit à la manière de tuer sa victime. Il y a donc à la fois action et paralysie qui produit comme un arrêt sur image => suspense • Tchen préfère le poignard qui « lui répugnait moins » : acte moins lâche, question de la dignité : il est plus loyal car donne la possibilité de « se débattre ». • Geste avec le poignard qui crée pour lui la surprise : « stupéfait du silence» « comme si son geste eut

était constamment fermée. Mais tous les cinq ans, le cinq 3 de mai, à une heure précise du matin, le fantôme sortait de son asile. 4 C'était une religieuse couverte d'un voile, et vêtue d'une robe souillée de 5 sang. Elle tenait d'une main un poignard, et de l'autre une lampe allumée, 6 descendait ainsi le grand escalier, traversait les cours, sortait par la grande porte, 7 qu'on avait soin de laisser ouverte, et disparaissait. 8 Le retour de cette mystérieuse époque était près d'arriver, lorsque

|meurtre : il a été poignardé | | |« Le grand Cuchillo était effondré dans un fauteuil de rotin, bras ballants jusqu'au sol, jambes étalées | | |et tête basculée sur la poitrine. Il était en costume de piste (mexicain à paillettes), et un de ses | | |fameux poignards était enfoncé dans sa poitrine

réplique de Jason « horreur de la nature, exécrable tigresse », on voit alors qu’il est dégouté, son inhumanité est donc rappelé. Après quoi, on remarque l’infanticide de Médée « et reconnais ce bras / Qui t’a déjà vengé de ces petits ingrats / Ce poignard que tu vois vient de chasser leurs âmes ». L’acte de tuer ses propres enfants rend Médée encore plus effroyable qu’elle ne l’est déjà, ce qui mène à l’épouvante du lecteur. Médée est effrayante. En effet, la monstruosité de l’héroïne est d’abord

qu'elle inspire à trois hommes. Convoitée par l'archidiacre Frollo, elle est enlevée sur son ordre par le sonneur de cloches difforme de Notre-Dame, Quasimodo, puis est sauvée par le beau capitaine Phoebus dont elle s'éprend. Mais Frollo, jaloux, poignarde Phoebus, et n'intervient pas lorsque Esméralda est accusée de ce meurtre. Elle est emprisonnée, puis délivrée, cette fois, par Quasimodo, épris d'elle, qui l'entraîne au sein de l'inviolable cathédrale. Les truands de la cour des Miracles, inquiets

nom d’un couteau ou d’un poignard. Dans la saynète El Soldado Fanfarrón, écrite par González del Castillo au XVIIIe siècle, on peut lire: El melitar, que sacó para mi esposo, un flamenco (« Le militaire, qui sortit pour mon époux, un flamenco »). Dans une autre copla (chanson) reprise par Rodríguez Marín, il dit : Si me s’ajuma er pescao (« Si le poisson brûle) / y desenvaino er flamenco (« et si je dégaine mon flamenco) / con cuarenta puñalás (« avec 40 coups de poignard ») / se iba a rematar el

mon cœur vil poussera son dernier soupir, Me poussera dans le vide avec le sourire, Il me poussera des ailes pleines de plume Je ne serai plus qu'un titre, un titre posthume. Seul, j'irai poignarder le Ciel avec mon âme Avant que l'écriture encor, ne me réclame. Je finirai avec dans les mains un poignard, Gravant sur un arbre, mon ultime point noir. « C'est qu'il y a un désespoir presque macabre « Que de voir une fleur mourir au pied d'un arbre. » Écrire, c'est enfermer des sentiments

la mort : « spectre de la mort » (l 3), « ténèbres » (l 5), « je meurs ainsi » (l 21). Cette opposition est aussi présente par les gestes : Gestes d’amour : « l’étreinte » (l 13), « le baiser » (l 14) Gestes de mort : « poison » (l 25), « poignard » (l 35). Il y a aussi une tension pathétique que l’on retrouve dans la ponctuation car il y a beaucoup de phrases exclamatives et interrogatives Texte 2 : La tension dramatique est aussi démontrée par une ponctuation expressive « mon Dieu 

solitude de la chambre » (ligne 119), objets « un rasoir fermé » (ligne 35) « un court poignard » (ligne 35) « lit » (ligne 51) « sommier métallique » (ligne 94), atmosphère de l'heure « la vague de vacarme retomba » (ligne 16) « immobiles dans cette nuit où le temps n'existait plus » (ligne 20-21), actes particulier « Dans ses poches, ses mains hésitantes tenaient, la droite un rasoir fermé, la gauche un court poignard » (lignes 33 à 35), pensées « les paupières battantes, Tchen découvrait en lui, jusqu'à