Poilu

date est encadree par une feuille de chene qui symbolise la force, la puissance, et la resistance. Description générale : Les femmes ailées représentent la nation victorieuse, elles portent un glaive symbole de la mort et un casque de poilu. Elles tiennent une palme de laurier symbole de la victoire militaire. Sur le centre on peut lire en grosses lettres le nom des grandes batailles de la guerre : Marne Yser Artois Champagne. Et une dédicace « hommage a tous les versaillais

Le passé c’est retour Aujourd’hui 11 Novembre jour de commémoration en France. Plus de poilus en vie pour témoigner. Le premier volet de la saga « guerre mondiale » est près d’un siècle derrière nous et bien d’autres conflits nous ont atteints depuis. Alors au 12.45 de M6 on entend à nouveau la question « faut-il continuer les cérémonies du souvenir ce jour là ? » Et là j’entends mon voisin un homme respectable de 70 ballets, il vocifère, et clame à plein poumon « comment peut-on seulement y songer 

couleurs les plus employées sont le gris, le marron et le rouge. Elles symbolisent la pluie, la boue et le sang dont parlent tous les témoignages de poilus. Dans cette œuvre Otto Dix utilise principalement des nuances de rouge et de brun. La couleur dominante est le brun, brun de la terre des tranchées, environnement quotidien et unique horizon des poilus. - La touche : elle est très lisse, on ne peut distinguer les coups de pinceaux. Cet effet est dû à la technique utilisée (tempera et glacis).

3e Epreuve Corrigée Collège jean Giono – Orange - 1 Analyse et compréhension de textes et de documents, maitrise de différents langages Exercice 1. Analyser et comprendre des documents (10 points) HISTOIRE Document 1. Le témoignage d’un poilu « Ce matin, 16 avril 1917, […] après une nuit sans sommeil, […] attaque à 5 heures […]. Déjà l’ennemi attend, il est prêt, il guette, il bombarde presque aussi fort que nous. […] Je porte mes vivres, […] quatre grenades […] un couteau poignard […]

remplacé par un uniforme bleu horizon. Les Français sont appelés les poilus, les forces militaires sont complétées de coloniaux. Le monde rural devient pauvre en main d'œuvre, la France fonctionne désormais grâce aux femmes, épouses des poilus. ►Il y a un conditionnement des populations et mentalités à cette époque. Une manipulation politique est mise en place, surnommée le "bourrage de crâne" (censure de lettres de poilus, journaux véhiculant des infos positives, victorieuses); Le moral des

les « poilus ».  2/. Le moral mis à mal : - peur constante des bombardements, des assauts et de la mort, - attente et ennui, - manque de sommeil, - bourrage de crâne dénoncé.  3/. Un lieu de sociabilité malgré tout : - spectacles organisés à l’arrière des tranchées : concerts, pièces de théâtre, - artisanat des tranchées : sculpture sur bois, sur obus.  III. Tenir au front  1/. Les liens avec l’arrière : - correspondance avec les familles, - permissions accordées aux poilus à partir

conditions de guerre. En effet, ils n'avaient pas de casque, et portaient des uniformes voyants. De plus, les combats se faisaient souvent à découvert, sans que les soldats puissent se protéger. C'est donc par des pertes de combattants innombrables que les poilus vont prendre conscience de l'horreur de la guerre. En automne 1914, les soldats vont commencer à creuser des tranchées pour se mettre à l'abri. Cette évolution de la guerre donne l'avantage aux soldats qui défendent par rapport à ceux qui attaquent

l'Hippopotame Pourquoi il a les yeux rouges ? L'hippopotame le cogne de son gros, gros pied Sa maigre tante la girafe Pourquoi elle a la peau tachetée ? La girafe le cogne de son dur, dur sabot Son gros oncle poilu le babouin Pourquoi les melons ont ce goût là ? Le babouin le cogne du revers de sa main poilue A tous il demande ce que le crocodile mange pour dîner. Tous le cognent L'oiseau Kolokolo Il ne lui pose pas de question, il se plaint. Il lui conseille d'aller sur les rives du grand fleuve Limpopo

services non marchands. Le poilu pouvait-il tout écrire sur son carnet ? Il était évidemment obligé de réduire le vécu d’une journée à quelques lignes, donc de résumer et de sélectionner. (…) La peur est toutefois bien présente et beaucoup savent évoquer, à côté des souffrances physiques, l’angoisse, la détresse morale qui leur fait parfois souhaiter la mort et songer au suicide. D’un autre côté, certains ont su noter la grande importance des petites joies du poilu. (…) Et les sentiments de révolte

mitrailleuses, des obus, des gaz asphyxiant .Les soldats vivent et meurent dans les tranchées, dans la boue, dans la vermine avec les rats et les cadavres , dévorer par les poux , le poilu est piégé dans l'étroitesse des tranchées avec ses camarades . Ils vivent vraiment l’enfer d’où l’expression « l’enfer de Verdun» Le terme " poilu " utilisés pour designer les militaires français dans les tranchées . Les conditions de vie y sont difficiles et l'oxygéne est faible les soldat qui s'entretuer se cacher