Poilu

fragments d’Antonin, 2006, Gabriel Le Bomin Ressources CDI : -BD C’était la guerre des tranchées 1 et 2, Tardi, 1993. -BD Varlot soldat, Daeninckx et Tardi, 1999. -BD et doc. Paroles de poilus, Soleil France inter, 2006. - J’ai vécu la Première Guerre mondiale, J.Y Dana, Bayard jeunesse, 2006. -Paroles de poilus, Librio, 1998. -D’Art d’Art, F et M.I Taddeï, Chêne, 2010, p216 La Guerre M. Grommaire

1916, il est 7H15 du matin, lorsque l’armée Allemande fait donner l’artillerie sur les lignes Française sur Verdun même les 1 er obus tombent a 8H15. Les deux tiers de l’armée française combattent à Verdun. Des combats particulièrement durs.  Les poilus qui en réchappent peuvent jouir de quelques moments de répit à l’arrière- pour 4 jours de combat , deux jours de repos - et se refaire - dans la mesure du possible - un moral. Ce n’est pas le cas des troupes ennemies jamais relevées, usées par « l’enfer

pour l’exposition « Art dégénéré » mais fut caché des nazi qui auraient pu le détruire. Description générale : Panneau de gauche : des soldats en armes portant sac au dos (il est possible d'identifier là les armes et l'uniforme portés par les poilus) tournent le dos au spectateur et marchent dans la brume, ainsi ils forment une armée humaine sans visage et sans identité, masse aveugle avançant d'un même pas vers le front et ses atrocités. Panneau central : Alors qu'aucun décor n'est représenté

et début de l'immigration africaine subsaharienne. Les immigrés viennent en France car la France a besoin de main d’œuvre après la guerre pour reconstruire tout ce qui a été détruit. II. Travail sur document (7 points) Lettre d’un poilu (Verdun, 15 juillet 1916). « Mes chers parents, Je suis encore vivant et en bonne santé, pas même blessé, alors que tous mes camarades sont tombés morts ou blessés aux mains des Boches qui nous ont fait souffrir les mille horreurs, liquides enflammés

les attend et l'auteur met une forme d'ironie quand il dit que la vie des soldats est « utile » car les milliers de morts n'ont pas encore fait gagner la guerre. Refrain : Le refrain est un chant d'adieu à tout ce que représente la vie pour les poilus, et surtout (« l'amour »), (« les femmes »). L'auteur insiste sur la longueur de la guerre « c'est pour toujours » et estiment que les soldats sont (« sacrifiés ») . Il évoque le plateau de Craonne, lieu d'une lourde défaite française en 1917.

***Prédelle : C'est la partie inférieure du retable DESCRIPTION I. Les éléments iconiques (ce qui est représenté) Panneau de gauche : des soldats en armes portant sac au dos (il est possible d'identifier là les armes et l'uniforme portés par les poilus) tournent le dos au spectateur et marchent dans la brume, ainsi ils forment une armée humaine sans visage et sans identité, masse aveugle avançant d'un même pas vers le front et ses atrocités. Panneau central : Alors qu'aucun décor n'est représenté

faits historiques, il a était aidé par un historien. Dans ce livre il raconte la vie d’un poilu dans les tranchées (chronologiquement).l’œuvre est tout publics (ados, adultes). Le livre est salué par la critique. L’œuvre est très proche de la réalité historique. II Description : Au premier plan : A droite : un soldat Français vivant qui porte un uniforme (capote).il protège son visage avec sa main, c’est un poilu. Il y a des barbelés qui protègent les soldats qui sont dans les tranchées. Au deuxième

Tengu Fuji : Le donjon le plus long du monde ? (repop du groupe) Bonjour, La sortie de Frigost II, le premier donjon, une aventure épique... Nous avons survécu 4heures pour vaincre la grosse bête poilue... Cette satanée bestiole ne voulait pas chier les bons gosses : deux bonne heures à attendre que le Yomi sorte... Tout ça dans le froid et avec une s...orte de boulet collant qu'il ne faut pas taper sous peine de voir one-shot ton super tank à 5.000++ PDV (qui n'a plus que 1500 PDV MAX).

Verdun, sont deux épisodes malheureusement connus pour leur caractère extrêmement meurtrier et leurs atroces conditions de vie. En effet, cette guerre ayant eu lieu de 1914 à 1918 est la représentation même de l'enfer pour les soldats français, les Poilus, mais aussi les soldats étrangers qui y ont combattu. Ceux ci vivaient dans des tranchées sales, boueuses, où ils étaient victimes de maladies, intempéries, bombardements, le manque d’hygiène était devenu leur quotidien, tout comme le manque de leur

devoir patriotique, et à jusqu’où elles pouvaient aller pour soutenir les hommes dans leur lutte. Dans une édition du Petit Parisien paru le 29 septembre 1914, un article est publié en hommage à une autre « femme soldat », sœur Julie, qui sauve un poilu d’une agression allemande. La religieuse tenait un hospice à Gerbéviller où elle soignait à l’aide d’autres bénévoles les blessés de guerre. Un matin, des allemands pénètrent dans son établissement et menacent d’abattre un soldat français alité qu’il