Poilu

meurent dans la boue, les rats sont partout; les coulées de boue envahissent régulièrement les aménagements. Les soldats subissent la pluie, le froid ; ils manquent de nourriture ; ils ne peuvent se laver, se raser, d’où le nom des soldats français, les Poilus. Les puces, poux et rats prolifèrent. On risque de se faire tuer à tout instant ; les cadavres restent dans les tranchées les jours de combat (faute de temps pour les évacuer) et pourrissent. On entend le râle des blessés. La mort est constamment

du trône d'Autriche-Hongrie assassiné le 28juin 1914, va conduire à d'innombrables déclarations de guerres du fait des alliances. Début août L’Allemagne déclare la guerre à la France, et chacun pensent qu'il s'agit d'une guerre courte ainsi, les poilues partent « la fleur au fusil ». 1_ PHASE 1 : GUERRES DE MOUVEMENT:1914 Début août les allemands conformément au plan Schlieffen ; lancent une attaque sur le front ouest. Lors de leur arrivé aux portes de Paris, le gouvernement français fuit à Bordeaux

champs  femmes dans les usines DES CONDITIONS DE VIE EPOUVANTABLES MOBILISATION DES RESSOURCES - Froid, , boue, humidité, pluie, corvées, rats, poux, promiscuité, manque d’hygiène - Poilu : surnom donné au soldat français de 19141918 (après 3 semaines sur la première ligne, les soldats reviennent poilus car ils n’ont pu se raser) Blocus et combats  Difficultés de transport en Europe et en mer + Economie de guerre - usines d’armement produisent des armes en masse  PGM = 1ère guerre

importantes de la planète, la Russie devient le premier pays capitaliste. Alliance (ou triplice) Entente Allemagne Autriche-Hongrie Italie (puis dans la triple entente à partir de 1915) France Grande-Bretagne Russie Etats-Unis (depuis 1917) Les poilus : ce sont les soldats de la 1re guerre mondiale Gaz asphyxiant : ypérite : Les Allemands sont les premiers à les avoir utilisés. L’allié Dressage « Pékin » : Personnes « dresses » pour la guerre = marche = armes = blessures

à l'intérieur: notre qualité d'homme. Le destin, douloureux et irrépressible, de Bérenger est d'être humain. Même si d'autres identités auraient été plus séduisantes et plus impressionnantes (comme les rhinocéros au corps qui n'est ni "blanc" ni "poilu"), Bérenger a du faire au fil de la pièce l'apprentissage de l'humanité, sous toutes ses formes: la médiocrité (de Jean), la méchanceté (Dudard), la faiblesse (Mme Bœuf), la naïveté (Daisy) mais aussi le charme et les sentiments (avec Daisy). Et apprivoiser

mais qui sont toutes associées à la mort, la violence et la destruction. Les couleurs les plus employées sont le gris, le marron et le rouge qui symbolisent la pluie, la boue et le sang, choses que l’on retrouve très souvent dans des témoignages de poilus. La touche quant à elle est très lisse et on ne peut distinguer les coups de pinceaux. Cet effet est dû à la technique utilisée, la tempera. Analyse de l’œuvre : Cette œuvre a pour but de dénoncer les atrocités et la violence de la guerre et de la

DONC ? BUT ? A QUELLE si la majorité ne se révolte pas. CONDITION ?    CONDITION EXERCICE 1 : Je sais reconnaître un rapport logique.  Identifie le rapport logique présent dans chaque phrase. Les poilus ont peur lorsqu’ils doivent monter à l’assaut de la tranchée ennemie. Les poilus ont peur puisqu’ils doivent monter à l’assaut de la tranchée ennemie. Le courrier était contrôlé afin que l’horreur de cette guerre ne soit pas racontée. Les soldats étaient fusillés s’ils refusaient le combat

des tranchées » en effet pendant la guerre de position entre 1915 et début 1918, les soldats français, plus connus sous le nom de poilus, s'enterrent dans les tranchées où ils se reposaient, attendaient ou préparaient un assaut, un moment très difficile mentalement car le soldat n'est pas prévenu et le taux de mortalité durant ces assauts est très important . Les poilus doivent vivre dans des conditions d'hygiène insoutenables, dont les causes principales sont par exemple les rats qui empestent les

témoignages mêlent fiction et autobiographie pour les écrivains, recourent à des formes esthétiques nouvelles pour les artistes : ils manifestent leurs difficultés à exprimer l’horreur de l’indicible. Dans les années quatre-vingts, à la mort des derniers poilus, de nombreux écrivains (A. Ferney, L. Gaudé, C. Michelet), dessinateurs (Baroux, J. Tardi…), et cinéastes (B. Tavernier, F. Dupeyron, J.-P. Jeunet) français évoquèrent à leur tour ce qui aurait dû être la « der des ders ». Activité 1 : Repérer les

plutôt devrais-je dire « ses pattes » étaient cambrées vers l'intérieur et très poilues. Au niveau du ventre, sa peau n'était pas recouverte de poils mais d'écailles. Ses bras étaient très longs : ils lui arrivaient aux genoux mais ceci était accentué par le fait que ce monstre était penché en avant à cause de sa très grande taille : le plafond était trop bas pour que la bête puisse se tenir debout. Ses bras étaient aussi poilus que ses pattes et se terminaient par deux mains prolongées de griffes ; de