Point d'exclamation

pense pas il songe il imagine une autre tête et il a beau se répéter depuis trois jours Ça ne peut pas durer que de barricades pour six malheureuses sardines… et dans l’intérieur de sa tête un brouillard de mots un brouillard de mots Point de vue interne Presque tout le poème se passe dans la tête de l’homme. Le début et la fin : c’est le poète qui s’exprime. Le fait divers est un extrait de journal. II 2 et il remue doucement la mâchoire doucement et il grince des dents

: avec だれと行きましたか。 - Dare to ikimashita ka. - Tu y as été avec qui? 華子と日本へ行きました。 - Hanako to nihon e ikimashita. - Je suis allé(e) au Japon avec Hanako. ※ La particule よ (yo) : l’emphase La particule よ peut être employée comme le point d’exclamation en français pour exprimer une forte émotion. Dans le texte, elle est utilisée pour amplifier le sens de la phrase ; le locuteur détient une information inconnue de son interlocuteur et est sûr de lui. Dans ce second cas, よ est utilisé principalement

après le rêve. La ponctuation particulière du vers renforce le sens de ces deux mots. Après « un éclair », les points de suspension marquent une sorte d’ellipse : quelque chose s’est produit, qu’on ne raconte pas, mais qu’on laisse au lecteur le temps de deviner : le trajet intérieur de la sensation, la répercussion intérieure du regard échangé. Après « puis la nuit », le point d’exclamation dramatise la brutalité du retour au monde réel. Enfin, le tiret sépare le récit du début de la méditation, et

après le rêve. La ponctuation particulière du vers renforce le sens de ces deux mots. Après « un éclair », les points de suspension marquent une sorte d’ellipse : quelque chose s’est produit, qu’on ne raconte pas, mais qu’on laisse au lecteur le temps de deviner : le trajet intérieur de la sensation, la répercussion intérieure du regard échangé. Après « puis la nuit », le point d’exclamation dramatise la brutalité du retour au monde réel. Enfin, le tiret sépare le récit du début de la méditation, et

l’auteur a voulu faire de son personnage principal, un héros anonyme et ordinaire afin qu’il puisse correspondre à la plupart des gens. Cette première caractéristique montre que Louis Ferdinand Céline a fait de lui un anti héros. Pour continuer, le point de vue interne de l’extrait permet une nouvelle fois au lecteur de pouvoir s’identifier à ce protagoniste facilement. L’emploi du pronom personnel « je » l.1, à la ligne 6 dans l’expression « je le concevais », ou encore à la ligne 12 « je le regardais »

« ornements folâtres », « lumière tranquille », « grandes coquilles roses » … Ce surplus de descriptions du langage, des comportements et du mobilier nous montre combien cette scène est loin d’être trivial, mais au contraire elle correspond en tout points aux valeurs (respectables) que s’inculque Emma et qu’elle s’efforce d’entretenir, et qui sont bien souvent exagérées. C’est dans ce lieu aisé et qui ne manque pas de confort, qu’Emma Bovary et son amant s’adonnent aux plaisirs du luxe : « le vin de

être aussi que la reine complimente énormément Ruy Blas pour qu'à son tour il révèle ses sentiments ? 2) Ruy Blas se dévoile Cette manœuvre est d'ailleurs payante puisque la réponse de Ruy Blas comme par « Parce que je vous aime ! » Le point d'exclamation rend la réponse de Ruy Blas encore plus forte. Il répond ici à l'éloge de la reine en attribuant ses qualités à son amour pour elle. Il lui attribue de fait toutes les qualités qu'elle vient d'énumérer, car elle en est la cause. De surcroît

coupe le premier hémistiche en deux dans les 2 premiers vers. On constate que dans le second vers, l’ordre des mots est bouleversé. Cet ordre syntaxique rend compte de façon mimétique du trouble intérieur de Mithridate. Au premier vers, le point d’exclamation se lit comme s’il s’agissait d’une virgule : cela permet un rapprochement de « quitte » et « moi ». On voit donc nettement apparaître le contraste avec le caractère de Mithridate, ce qui souligne l’effet de choc. De plus, malgré le fait qu’une

primaires, vulgaires, dénués de sensibilité et de jugement. Ce sont des êtres grossiers qui s’amusent à torturer un être faible : « L’un agace son bec avec un brûle-gueule », v.11, « L’autre mime, en boitant, l’infirme qui volait ! », v.12. Le point d’exclamation est à relever parce qu’il est signe de révolte, d’une part, parce qu’il souligne que l’on se moque de la même personne que celle qu’on admirait auparavant, d’autre part. Les marins sont donc à la fois inconscients et aveugles. C’est exactement

après le rêve. La ponctuation particulière du vers renforce le sens de ces deux mots. Après « un éclair », les points de suspension marquent une sorte d’ellipse : quelque chose s’est produit, qu’on ne raconte pas, mais qu’on laisse au lecteur le temps de deviner : le trajet intérieur de la sensation, la répercussion intérieure du regard échangé. Après « puis la nuit », le point d’exclamation dramatise la brutalité du retour au monde réel. Enfin, le tiret sépare le récit du début de la méditation, et