Point d'exclamation

plan : - Opposition de l’enfant riche et l’enfant pauvre, placés face à face, incarnent deux vies et deux mondes parfaitement antithétiques - antithèse souligné par « ces barreaux symboliques séparant deux mondes » - Le texte fait jouer point par point l’opposition. Le contraste est visible à travers les lieux, l’aspect physique des enfants et les joujoux. - lieux de vie des deux enfants, deux oppositions. La première concerne la nature : l’existence protégée par la grille « d’un vaste jardin

la nuit', qui obtient le Prix Renaudot en 1932. Grâce à une écriture proche du langage parlé et de l'argot, Céline restitue l'émotion vécue et bouleverse la littérature. L'extrait que nous allons étudier est une description de la bataille selon le point de vue du personnage de Bardamu.Celui ci est au front et tient le role de soldat. Il s'agit de montrer comment le perssonnage de Bardamu dénonce la folie des soldats face à la guerre ? Dans une premiére partie nous étudirons la vision pessimiste

et de l’autre, il y a la belle Saint-Yves qui est embarrassée de la reconnaissance que son amant lui porte. De plus, à la seconde phrase de la citation, il y a une antithèse. Celle-ci s’exprime par les mots douleur et joie. Cela montre bien à quel point la malheureuse Saint-Yves se sent désespérée par sa situation puisqu’elle est accablée, lorsqu’elle devrait normalement être joyeuse comme le reste de sa famille. Ses remords se perçoivent aussi lorsque sa bonne amie de Versailles vient déranger le

ponctuations. Pour cela, appliquons le principe de base suivant, facile à retenir : Les signes de ponctuation simples comme la virgule, les points ou les points de suspensions sont collés au mot qui précède et sont suivis d’un espace. Les signes de ponctuations doubles ou superposés comme les deux points, le point virgule, le point d’interrogation ou le point d’exclamation sont précédés et sont suivis d’un espace. Questions : 1- Saisir le texte. 2- Enregistrer le document sous le nom « exercice2 » dans

utilisées. Souvent les textes réalistes sont riches en vocabulaire et ils sont remplis de ponctuations, exemple : «Comment ? votre mari ! … Il va donc là-bas lui aussi ?» L’utilisation des points d’interogations met en évidence son questionnement d’une sitution aussi surprenante, et l’utilisation du point d’exclamation marque sont grand étonnement. À part les détails pointilleux, l’auteur n’avance que des faits vérifiables : «C’étais ce qu’on appelle le relais de Saint-Vincent : cinq ou siz mas,» Le

voiture) L-6 : Autre erreur P = Ponctuation P-1 : Erreur relative au point P-2 : Erreur relative au point dans les abréviations h.  h (pour heure) P-3 : Erreur relative au point d’interrogation P-4 : Erreur relative au point d’exclamation P-5 : Erreur relative au point de suspension P-6 : Erreur relative à la virgule P-7 : Erreur relative aux deux-points P-8 : Erreur relative au point-virgule P-9 : Erreur relative à l’emploi des parenthèses ou des crochets

quatrième syllabe : « Ô doux regards, ô yeux pleins de beauté » / « Ô cœur félon, ô rude cruauté » L’opposition « doux regards » / « cœur félon » ; « yeux pleins de beauté »/ »rude cruauté » structure le poème. La ponctuation est forte : le point d’exclamation témoigne de l’emprise des sentiments 1er quatrain : énonciation : il s’agit d’une apostrophe aux yeux de l’être aimé le quatrain joue sur les regards : ceux de l’aimé « doux regards, yeux plein de beauté » / ceux de l’amante « mon œil ». Le

éloge et une valorisation du voyage. ⇨ «usage et raison », introduit par l’adjectif « plein de » insiste sur l’ampleur des vertus envisagées. ⇨ Le point de vue de Du Bellay sur le voyage est exprimé absolument par : 1. le pronom relatif « qui » qui désigne tout le monde, n’importe qui. 2. Le point d’exclamation « ! » qui est une ponctuation expressive, qui traduit l’insistance, donc la fermeté de son opinion. Une valorisation des valeurs de l’humanisme (Antiquité

avec la première strophe, car la dernière c’est là où tout aboutit. On ressent que la neige, l’obscurité de l’hiver ont désemparé le poète qui éprouve maintenant un dégout existentiel. Par ailleurs, on y retrouve une phrase exclamative avec le point d’exclamation ce qui intensifie son blasement. Bref, ce passage marque encore une fois l’ennui du poète durant l’hiver. En somme, le sentiment d’ennui chez le poète a été bien illustré dans cette analyse et le poète a su utiliser différents procédés stylistiques

l’alternance droite-gauche du balancier. Les vers sont rythmés très régulièrement : par 6 syllabes (malgré quelques ruptures dans le rythme aux vers 9, v11, v15, v19), par la ponctuation : virgule (v1, v18, v22, v24), tiret (v 10), point d’exclamation (v1, v10, v13), point virgule (v20), parenthèses (v14, v23), par la grammaire : conjonction de coordination (v2), préposition (v3, v4, v8, v12, v16), relatif (v21). Le poème fonctionne comme une mécanique d’horloge. Champs lexical de l’horlogerie