Pointe-Claire

croyance. La maïeutique, contrairement à l'ironie, s'appuie sur une théorie de la réminiscence pour faire ressurgir des vies antérieures les connaissances oubliées. La grisaille, en peinture, est une technique picturale synonyme de chiaroscuro, ou clair-obscur comme le précise Vasari. Elle n'utilise que des nuances d'une même couleur afin d'imiter le marbre, la pierre, le bronze (XVe siècle). Elle est similaire, par ce principe, au camaïeu, dans sa variante à plusieurs tons d'une même couleur.

des regards et des attitudes, le Docteur Tulp ne vient qu’en seconde position. Il est évident, outre la composition attentive des personnage, le décor sobre et le goût pour le détail, qu’il s’imprime nettement dans les techniques caravagesques du clair-obscur tout en donnant un sens différent à son ensemble. Plus Rembrandt avancera en âge et plus il laissera l’ombre, la « ombra mortis » prendre de la place dans ses oeuvre, comme si il existait une imprégnation de la mort elle même dans son pinceau

xviiie siècle dont ils constituent à la fois un chef-d'œuvre et un extrême. Les gravures qui les accompagnent, aussi insupportables soient-elles, recourent en revanche à des techniques graphiques de l'époque qui sont bien souvent peu innovantes d'un point de vue formel. Aujourd'hui, la pornographie est un enjeu de débat sociétal essentiellement à cause des moyens de reproduction technique (selon l'expression de Walter Benjamin) — photographie, cinéma, vidéo, Internet — qui donnent à ces images une

questions 1, 2 et 3 1. Léonard consacre une partie de sa vie et de sa carrière aux sciences et aux techniques. Il a réalisé dans des travaux dans les domaines de l’architecture, de l’hydraulique, de l’urbanisme et de l’ingénierie militaire, mettant au point des inventions pour améliorer les techniques de l’époque. D’autre part, il s’intéresse aux sciences pures, telles que la médecine. Léonard est un scientifique qui touche à de nombreux domaines. 2. La méthode scientifique suivie par Léonard consiste

son ouïe, son toucher et sa parole. D'abord avec ses yeux, il aime la voir, il aime voir le clair de lune, le ciel noir. Avec son odorat, il aime la sentir puis avec ses oreilles, il aime écouter le silence de la nuit, le chant des chouettes. Enfin avec sa chair, il aime sentir les caresses des ténèbres, il se sent démon. Il montre que la nuit le transperce, il dit l'aimer avec passion au point de l'aimer comme si c'était sa maîtresse ou son pays. On peut penser qu'il est vraiment tomber

Librement inspiré de Producteur Chef Opérateur Chef Décorateur Créateur des costumes Conseiller musical Chorégraphie Montage Sound Designer 6/12/2000 Gérard CORBIAU Benoît MAGIMEL (Louis XIV) Boris TERRAL (Jean-Baptiste Lully) Tchéky KARYO (Molière) Claire KEIM (Julie) Ève DE CASTRO, Andrée CORBIAU, Gérard CORBIAU (avec la participation de Didier DECOIN) Philippe BEAUSSANT, Lully ou le musicien du soleil (Éd. Gallimard) Dominique JANNE Gérard SIMON, A.F.C. Hubert POUILLE Olivier BERIOT Daniel LIPNIK

du spectateur, l'obligeant à se concentrer sur la scène représentée au 1er plan. Aucun décor Antique ni surcharge classique. - Les compositions sont d'une grande simplicité et ouverte (absence de 1er plan) essentiellement en largeur . Le point de vue est souvent frontal, avec des angles de vue de face ou et des légères contre-plongée. Utilise des plans rapprochés. - Les formes sont créées directement par la couleur sans dessin préparatoire. - Les personnages, accessoires et

année que le Salon de 1844. Totalement à gauche derrière l’artiste nous pouvons apercevoir un livre ainsi qu’un bâton. La scène semble se passer en hauteur étant donné que le spectateur peut avoir une vue dégagé sur le paysage d’arrière plan. D’un point de vue morphologique, l’huile sur toile propose une organisation simple et ordinaire composée de lignes verticales, horizontales et courbes ainsi que des masses bien distinctes. En effet Gustave Courbet met en évidence deux grandes masses que formes

matières : Français et Histoire ; • Histoire : création et développement de la presse féminine jusqu’à nos jours Premières publications, premiers ouvrages • Français : La presse en elle-même Analyse littéraire du magazine Marie Claire Personnes emblématiques L’intérêt étant de pouvoir montrer le lien entre les deux disciplines par rapport à notre sujet de la presse féminine. Je pense que notre sujet répond aux critères, il est dans le cadre de la fusion de ces

effet de clair-obscur), rend le tableau un peu flou grâce aux glacis qui est une superposition de plusieurs couches de peinture extrêmement délicates qui donne au tableau des contours imprécis. Cette technique a été employée en particulier au niveau des yeux dans la mise en ombrage. Il est aussi utilisé pour donner une impression de profondeur aux tableaux de la Renaissance. On parle aussi de perspective atmosphérique. Léonard n’invente pas cette technique de peinture mais la porte à un point de perfection