Points Communs Classiques Et Néoclassiques

utilisé la parabole du poêle à charbon par laquelle il compare l'économie à une pièce chauffée au charbon. Quand l'occupant a froid, il garnit le poêle et il faut un certain temps avant que le charbon ne brûle. Quand la combustion est au plus haut point, il fait très chaud dans la pièce et on n'ajoute plus de charbon jusqu'au moment où le feu tombe ainsi que la température et qu'il faut alors recharger le poêle. Il y a un décalage entre le cycle de l'activité économique et l'investissement. C'est

Le Keynésianisme Le Keynésianisme est un courant d’idées inspiré par l’économiste anglais J.M. Keynes, dont le point commun est le rejet du libéralisme économique au profit d’une économie mixte, constituée d’un secteur privé et d’un secteur public, et dont le fonctionnement est régulé conjointement par le marché et par les décisions de l’Etat. Dans ce type de système économique, préconisé par le keynésianisme, l’Etat, respectueux des libertés individuelles joue le rôle de garant de l’intérêt

L'économie classique par Jean Boncoeur. (CEDEM, Université de Bretagne occidentale, Brest) Les cahiers français, n° 280 (03/1997) - page 08 Une école introuvable Il n'est pas facile de dire ce qu'est l'économie classique : objet de définitions surabondantes, elle ne laisse pas apparaître clairement ce qui la distingue d'une économie qui serait " non classique ". Des définitions multiples Pour de nombreux économistes, le vocable " classique " désigne une époque de l'histoire

la dimension sociale du service public dans la mesure où il contribue à la réalisation de l’ « interdépendance sociale » (on parlerait aujourd’hui de cohésion sociale). Jugeant cette définition trop juridique, trop politique, les économistes néoclassiques ont alors proposé une définition du service public par rapport au marché. Par suite, les économistes interventionnistes adoptent une conception plus large du rôle de l’Etat en lui assignant, en plus des missions sociales, une fonction de régulation

caractérisée par son pouvoir libératoire général c'est-à-dire qu’elle permet de s’acquitter de toutes les dettes. Cette condition, impératif de l’échange donne à la monnaie une place centrale dans l’économie mondiale et sa gestion est désormais un point majeur de débats entre les économistes. La plus part des débat économiques sur la monnaie, se portent si cette dernière est active ou neutre, c’est l’objet de notre thème. Certains auteurs considèrent la monnaie comme « voile » : monnaie dichotomique

égale. Il distingue ainsi les cycles longs (Kondratiev : 55 ans), les cycles majeurs (Juglar : 6 à 10 ans) et les cycles mineurs (Kitchin : 40 mois). Par exemple, pour Schumpeter, la crise des années 30 était un phénomène inéluctable se situant au point de retournement d’un cycle. Actualité de la pensée de Schumpeter et prolongements 1. Les théories de la croissance endogène : la croissance est traditionnellement dite exogène, c’est-à-dire que ses déterminants sont extérieurs à la sphère économique

commerce. Œuvre de St Thomas d’Aquin: 70 000 pages : La somme théologique. Citation célèbre : « je ne crois que ce que je vois ». Début approche « scientifique » de la connaissance dans le cadre des principes religieux. Apparition notion de bien commun (avec respect du peuple du christ) et dignité du peuple= début féodalité fin esclavagisme « antique »= reconnaît intérêt éco marchande mais faut moraliser son fonctionnement càd ce qui est bien pour la collectivité (juste prix celui qui assure artisan

 INTRODUCTION : LES INSTITUTIONS Les institutions facilitent la vie éco. Théorie standard : néoclassique crée se courant en 1870. Walras=> courant de pensée éco qui reprend les points essentiels de Smith (1776= classique) Smith développe la théorie éco = si on respecte certain principe, l’éco doit être à l’équilibre, la plus importante est de respecter la concurrence pure et parfaite. On est dans un concept economicus Toute intervention extérieure au méca du marché est bannie. Quels sont les institutions

l'observation des faits. Cela va amener Simon à se démarquer de la « rationalité substantive » (substantive rationality) et à se tourner vers la rationalité procédurale. La rationalité substantive est comprise comme la rationalité parfaite des néo-classiques français et d'une partie de l'école autrichienne, qui suppose que de facto l'individu dispose de toute l'information pour prendre la décision optimale ou, en utilisant une formule du dix-huitième siècle français, celle menant au meilleur des mondes

s’effondrent. C’est l’éclatement de la bulle spéculative. 2 / les causes de la crise actuelle On pourrait dire que la crise actuelle est provoquée, comme la crise de 1929, par l’éclatement de la bulle spéculative. Cependant, elle n’est pas le point de départ de la crise. En effet, elle tire ses origines de la « crise des subprimes* » provenant des Etats-Unis.  Une période relativement prospère Tout comme 1929, on a une période d’« avant crise » où l’économie se porte – relativement – bien